Guide Touristique...

Les trois premiers jours du congrès s'étaient très bien passés ; le directeur de Exxan-France, François, était un homme d'une cinquantaine d'années avec une empathie évidente .Ses employés l’appréciaient, et tout le monde, une vingtaine de personnes, avait l'air très heureux de participer à ce bilan annuel de l'entreprise.
La dernière soirée se déroulait à San Sebastian ; au programme : visite de la vieille ville et bar à tapas. En raison du faible nombre de participants, il n'y avait pas de bus au départ et un simple covoiturage était prévu. Le directeur m'avait prévenu :
- Isabelle, pas question de prendre votre voiture, je conduirai à l'aller et vous nous ramènerez au retour.
-Avec plaisir, Monsieur, lui avais-je rétorqué.
Ça ne me déplaisait pas de conduire la superbe berline haut de gamme, siège en cuir etc. Le départ était fixé à 20 h à l’hôtel. J'arrivai pile à l'heure et le directeur m’accueilli avec un grand sourire ;
-Je vous présente Bernard L.... et André M... , qui feront le voyage avec nous, Bernard est le DRH et André s'occupe du département Afrique.
Ils étaient tout deux plutôt beau, surtout André en fait, un grand noir aux traits fins et au regard charmeur. Tout le monde embarqua, et 4 autres voitures nous suivirent. Le voyage fut rapide ; la voiture était silencieuse, très puissante et, 20 mn plus tard nous arrivâmes à San Sé.
Je commençai la visite, racontant l’histoire de la vieille ville. L’auditoire était attentif ; François appréciait mon discours …et mes jambes, ma petite robe noire s’arrêtant à mi cuisse. Au premier bar, tout le monde pris tapas et vin de la région. Je refusai le vin, mais le groupe insista bruyamment et je pris finalement une coupe de champagne. Nous continuâmes le tour des bars de la vieille ville. Tout le monde était joyeux, ravis de ces quelques jours et de cette soirée .Vers 23h, nous retournâmes aux voitures après 5 visites de bar et autant de coupes de champagne.


Je me mis au volant et je démarrais en douceur. L’odeur du cuir, les bulles de champagne et les vibrations du gros moteur me grisaient légèrement et je sentais le regard du directeur sur mes cuisses et l’atmosphère qui se chargeait peu à peu de tension sexuelle. François rompis le silence :
-Isabelle, non seulement vous êtes une guide remarquable mais vous êtes d’une beauté animale, je suis sûr que vous savez que vous ne laissez pas les hommes indifférents.
J’avais la bouche sèche et je sentais mon sexe s’humidifier, sa main gauche se posa sur ma cuisse et remonta sous ma robe, ses doigts s’insinuèrent sans difficultés dans ma fente.
-Vous êtes toute humide, je dirai même fondante, je crois que vous ne refuseriez pas une bonne queue, est ce que je me trompe ?
Je ne pouvais pas répondre, des pensées contradictoires se bousculaient ; devais je refuser, arrêter la voiture et descendre ou me laisser aller, comme mes émotions me le demandaient. Des mains firent tomber les bretelles de ma robe, dévoilant mes petits seins, puis commencèrent à les malaxer avec douceur, les émotions prirent le dessus…
La voiture fit un écart, je ne voyais plus vraiment la route.
-Arrêtez-vous dès que possible, sinon on ne rentrera jamais, dit André.
Je titubai en sortant de la voiture et m’appuyai contre la carrosserie, le directeur fit le tour, se mit face à moi et déboutonna sa braguette. En voyant ce sexe dressé, je n’eu qu’une envie : l’avaler et le sucer jusqu’à ce que le sperme jaillisse, que je puisse me rassasier de foutre. J’adore l’odeur et le goût du sperme et les éjaculations me font jouir quasi instantanément.
J’enfournai la bite dans ma bouche et commençai à le sucer goulûment, le DRH arriva à coté et sortit aussi sa queue du pantalon. Elle était plus petite mais bien proportionnée ; je commençais à la caresser avec ma main libre avant de la sucer aussi.
J’étais dans un état second, entre le champagne, les odeurs, la vue de ces queues dressées, ma raison avait disparue et je n’avais qu’une idée en tête : vider ces paires de couilles et avaler tout ce foutre pour jouir en même temps qu’eux.
J’avais conscience que, quelque part, je m’avilissais selon la bonne conscience judéo chrétienne, mais, sur l’instant, j’aimais cette transgression, les émotions me submergeaient, j’avais l’impression de dominer ces hommes, de décider de leur bonheur, de leur jouissance en fonction de la chaleur de ma bouche et de la cadence à laquelle je les embouchai, l’un après l’autre.
Il me manquait quand même quelque chose ; mon sexe était toujours brulant, je sentais mes grandes lèvres gonflées et mon clitoris grossir, je mouillais à un point que j’avais l’impression de fondre vraiment: il me fallait une queue au fond de ma chatte.
Brusquement, une main s’insinua entre mes jambes et m’écarta doucement, mais fermement, les cuisses et, d’un seul coup, je me sentis pénétrée. La queue devait être belle, elle m’emplissait complètement, me dilatant le vagin mais sans me faire mal. Je calquai les va et viens de la queue dans ma chatte avec ceux de ma bouche sur les bites de mes partenaires.
Je gémis de plaisir et entendis une voix dire :
- Baise moi, enfonce bien ta queue à fond et vide moi bien tes couilles surtout-
et je me rendis compte que …c’était la mienne !!
Mes partenaires m’encourageait et leur paroles me faisaient légèrement honte, mais m’excitaient énormément :
-suce ma belle, applique-toi
-vas y continue, t’es la meilleure tailleuse de pipe que j’ai connu
- et ta chatte, elle est brulante et onctueuse, j’y enfonce ma queue jusqu’à la garde et j’ai encore l’impression qu’elle est trop petite.
Le temps s’arrêtait, je n’existais plus qu’à travers le plaisir qui montait en moi et que j ‘allais donner à ces hommes. Je sentis le liquide séminal légèrement salé sourdre de la queue que je suçais et, soudain, un flot de sperme jaillit emplissant ma bouche et dégoulinant par la commissure de mes lèvres. Le foutre était épais et, compte tenu du volume, l’homme n’avait pas vidé ses couilles depuis plusieurs jours.

Je jouissais intensément, me rassasiant de la semence qui continuait de jaillir, puis François se retira et je tournai la tète, juste à temps pour voir la queue turgescente de Bernard éjaculer un jet de foutre. J’ouvris immédiatement la bouche en tirant la langue et le foutre m’éclaboussa les lèvres. 2 autres jets couvrirent mes seins de sperme avant que je puisse sucer les quelques gouttes qui continuaient de perler au bout du gland.
La vision de cette bite violacée et de ces jets de sperme maintenaient mon orgasme à son niveau maximum pendant que la dernière queue me labourait la chatte. Je sentis soudain des spasmes réguliers au fond de mon sexe et des jets brulants arrosèrent le fond de mon vagin.
La queue ressortit et je sentis une dernière éjaculation sur mes fesses. Mes jambes flageolaient et je m’allongeais par terre.
Je reprenais conscience alors que la voiture s’engageait dans la rue devant chez moi.
-J’ai préféré conduire et vous ramener chez vous, je me suis permis de regarder dans votre sac pour trouver votre adresse, veuillez m’excusez. Avant de partir, mes amis et moi-même voudrions vous remercier pour ces 3 jours et cette soirée, n’en n’ayez surtout pas honte, vous êtes quelqu’un d’exceptionnel, d’empathique qui aime donner et se donner, surtout restez comme vous êtes, je suis sûr que vous serez heureuse.
Je leur souris et les remerciais à mon tour, puis rentrais chez moi. J’ôtais ma robe pleine de sperme et entrais dans ma chambre. J’adorais garder la semence de mes amants sur moi et en moi, mon sexe était gluant de sperme et je me massai le ventre et mes seins déjà luisants en m’approchant de mon lit.
-Isa tu sens le sexe et le sperme, viens, dit une voix.
Eric, mon compagnon, m’attendait dans le lit, il me faisait la surprise quelques fois de m’attendre chez moi à mon retour, et ce soir, c’était le cas…
J’essayais de balbutier quelque chose mais il me coupa :
-Tu sais que je t’aime et que je n’ai pas une once de jalousie, viens t’allonger.

Je m’allongeais sur le dos et, immédiatement, il s’allongea sur moi.
-Tu es couverte de sperme, ils devaient être plusieurs, comme j’aurais aimé être là. Ton sexe dégouline de sperme et tu as du en avaler une bonne rasade, connaissant ton goût pour le foutre.
Il m’embrassa longuement. Je sentais sa bite bien dure sur mon ventre et mon excitation remonta.
-Ta chatte est complètement dilatée mais j’ai l’impression que ton joli petit cul est intact. Guide moi ma belle.
Mes émotions reprirent le dessus, j’étais très excitée et je voulais réellement offrir mon cul à l’homme que j’aime. En plus, la pensée que, dans une même soirée, tout mes orifices vont être pénétrés par des bites différentes fit me fit approcher un peu plus d’un nouvel orgasme. J’enduisais la queue de mon amant du liquide qui continuait de dégouliner de ma chatte et je la guidais d’une main ferme à l’entrée de mon cul. Il me pénétra doucement, me faisant soupirer de plaisir. Je me massai le clitoris d’une main pendant que l’autre tenait sa bite, mais maintenant, je lui caressai les couilles, car sa queue m’avait complètement pénétrée.
Humm, que la sodomie est agréable lorsqu’elle est douce. Je sentais le va et viens du membre bien raide dans mon anus dilaté, les couilles venant cogner contre mes fesses. La queue alla un peu plus loin en moi et s’arrêta, je sentis les jets de sperme au fond de mon ventre.
Je jouis de nouveau intensément.
-Je t’aime me dis Eric.
Je souris intérieurement, me blottis contre lui, et nous nous endormîmes.


Epilogue.

Une semaine plus tard, je consultai tranquillement mes mails. Comme d’habitude, j’avais de nombreux spam que je supprimai au fur et à mesure, mais un mail attira mon attention : l’expéditeur était drh.exxxn@exxxn.com.
J’ouvrais le message ; il n’y avait pas de texte mais un lien internet, je cliquai dessus.
L’écran s’ouvrit sur un site internet intitulé « VidéoXamateur » et, au centre une vidéo commença de défiler.
Je vis une belle queue en érection, elle devait faire 20-25 cm de long sur 5 ou 6 cm de diamètre, d’un noir d’ébène. L’homme se masturbait vigoureusement d’une main et devait se filmer de l’autre, l’image était très excitante. Une jolie paire de fesses féminines apparue dans le cadre, la caméra s’attarda sur l’entrejambe, montrant une belle chatte poilue aux grandes lèvres gonflées et luisantes de sécrétion. L’image remonta vers le dos et on vit une chevelure chatain bouger de haut en bas ; la femme suçait un homme. Sur la droite, sa main masturbait une queue régulièrement.
L’image revint sur les fesses, et on vit la queue s’approcher et, d’une seule poussée elle disparut jusqu’à la garde, la femme poussa un petit gémissement, sa tète se releva et j’entendis : « Baise-moi, enfonce ta queue … »
Ce n’est qu’à ce moment que je compris que j’étais l’héroïne du film.
La suite du film était aussi excitante ; on me voyait suçant avidement une queue, le sperme dégouliner au bord de ma bouche lors de l’éjaculation, les jets de sperme de mon autre partenaire sur mon visage et mes seins et enfin, la belle queue noire et luisante sortir de ma chatte, dégoulinante de sperme et éjaculer une dernière giclée sur mon petit cul. Heureusement, mon visage n’était reconnaissable sur aucune scène.
Le film s’arrêta et je remarquai alors que dessous, des commentaires étaient postés par tous les internautes qui l’avaient visionné. Chaque internaute donnait une note entre 0 et 10.
Je remarquai avec une petite fierté que j’avais une moyenne de 9.43 et que j’étais dans les vidéos les plus vues de la dernière semaine …

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!