Babette

Je n’aurai jamais du accepter d’aller à cette soirée d’anniversaire: Je suis retombée sur celle qui m’a tout appris. Evidemment elle s’est approché de moi pour m’embrasser sur la bouche. Je n’ai pu m’empêcher de répondre quand sa langue est venue dans ma bouche. J’ai fondue, me suis laissée aller pour retomber vers les mêmes errements. J’ai résisté pour ne pas recommencer à faire l’amour avec elle.
Il faut que je revienne en arrière.
Il y a trois ans, j’étais une fille comme les autres, attirée surtout par certains plaisirs solitaires. Je me masturbais depuis toujours, au grand dam de ma mère qui m’avait surprise un jour dans ma chambre où j’étais monter étudier: elle me voyez la jupe bien retroussée, ma main sur mon entre jambes bien agitée par les mouvements réguliers que je faisais sur mon bouton. Il ne FALLAIT PAS DU TOUT QUE JE ME TOUCHE LA. Je promettais sans trop tenir à ce que je pensais. Une fois partie j’ai recommencé. Je crois que l’ai eu là un orgasme plus fort que les autres. J’ai rencontré Babette, une fille un peu plus âgée que moi. Elle aussi admettais volontiers quelle se masturbait souvent. Que faire quand on à 18 ans et que votre copine vous invite chez elle pour une petite surprise partie. Je le demandais à ma mère qui m’accordait cette faveur. En guise d’amusement avec CD, il y avait bien amusement sans CD, dans le séjour, sa mère travaillait dehors et ne devait pas rentrer tôt. Babette faisait bien les choses: quand j’entrais chez elle, je la trouvais totalement nue. J’allais partir quand elle m’a retenu pour m’embrasser. Sa langue venait chercher la mienne: j’en fondais. Elle en profitait pour me convier à m’assoir que le divan, en face de la télé. Assise près de moi, elle me tenait par l’épaule, bien serrée contre elle. Elle mettait en route et la télé et le lecteur de DVD: J’étais au début choquée par ce que je voyais et petit à petit je commençais à apprécier le scènes qui défilaient. Je pensait que ce nouveaux écran très grand permettaient de voir plein de détails, comme un grain de beauté sur la fesse d’une fille qui en suçait une autre.

C’était la première fois que je voyais une fille qui faisait jouir une autre fille. Ensuite, cette même fille était au centre d’un cercle d’autre filles qui lui faisait tout ce que j’aimais au moins dans mes fantasmes. Elle-même avait sa bouche sur ou dans le sexe d’une belle blonde, elle avait deux autres filles qui s’occupaient de ses seins et une dernière qui la branlait.
Je devenait de plus en plus mouillée et j’avais envie que Babette me caresse aussi. Quand le film court s’achevait, je recevait encore une fois un baiser sur la bouche. Puis:
- Avoue que c’est excitant de voir les filles qui se donnent du plaisir.
- C’est vrai, je suis tellement excitée.
- Je vais te branler, moi, une fille.
- J’attends que tu me fasse jouir, depuis un moment. Je n’osais pas te le demander.
- Il faut que tu me rendes la même caresses.
- Bien sur.
J’écarte mes cuisses pour qu’elle puisse venir passer sa main sur ma chatte. Elle ne vient pas rapidement: elle s’arrête en route, sur mes seins, ce que je ne regrettais pas. Je les sentais durcir ainsi que les pointes. Pour me faire patienter, elle embrassait les tétons en les léchant.
Enfin elle passe une main entre mes cuisses, là où la peau est tendre. Elle monte vers ma moule lentement pour finalement arriver là où je la voulais.
- Tu es sacrément mouillée.
- Oui, je me suis trop excitée avec ces filles qui je caressaient.
- Elles se faisaient l’amour, tout simplement.
- Fais moi l’amour.
- C’est-ce que je vais faire, et tu me rendra tout ce que je te ferai.
- Bien sur.
Elle passe et repasse ses doigts dans toute ma fente. Je m’étonne qu’elle me caresse le petit trou. Je m’en étonne moins quand je sens qu’elle me donne un autre plaisir quand elle y entre ses doigts. Elle arrive tout en restant dans mon cul à poser son pouce sur ma perle. Je ne tiens pas longtemps à ce régime, mon clitoris n’avait jamais été caressé par une autre fille.
Finalement je me demande à combien de fille Babette a déjà fait une telle chose.
- C’est bon ce que tu me fais. Tu as souvent fait l’amour ?
- Oui deux fois avec un cousin.
- Et avec des filles ?
- Tu es la première.
- C’était bon avec ton cousin ?
- Oui, enfin pas la première fois, après oui, j’ai jouis.
- Il te la mise où ?
- D’abord devant et après derrière. Je l’ai même sucé.
- Tu as sucé une bite ?
- Oui, c’étais bon quand il a jouit dans ma bouche.
Plus nous parlions plus j’étais excitée. Je me décide à lui rendre les caresses. Je lui met un doigt dans le cul. J’essaye de caresser le bouton; je n’y arrive pas. Par contre j’arrive à entrer le pouce dans le vagin. Je sens que je peut faire pratiquement se toucher les deux doigts à travers ses cloisons fines. Je les fait se toucher sans arrêt. Je sens qu’elle ne connait pas cette nouvelle caresse. Elle gémit:
- N’arrête pas ce que tu fais, c’est trop bon.
- Tu peux te branler le bouton, je n’y suis pas arrivée.
Son plaisir devient encore plus fort que je vois ses trois doigts posés en biais caresser son petit bouton. Elle jouit par saccades. Je n’arrête pas jusqu’au moment où!
- Putain, que te me fait jouir.
- Toi aussi tu m’a faite bien jouir.
- Je te mettrait mon gode dans la chatte, tu verra, ce sera aussi bon que ce que tu me fait.
- Tu ne pourra pas, je suis vierge et ton cousin n’est pas là.
Je sort d’elle, je ne la caresse plus.
- Tu sais je peut te dépuceler.
- Tu n’as pas de bite.
- Si, mon gode.
- J’ai peur d’un gode.
- Nous pouvons chercher au frigo un légume.
Je ne refuse pas, sans réfléchir. Nous faisons l’inventaire des légumes: des carottes, des aubergines, des concombres, des poireaux. Nous choisissons deux concombres de taille moyenne. Elle en veut un pour elle: pour me sodomiser, me rapporte-t-elle. Nous revenons sur le divan, elle étale un vieux torchons sur le siège pour que je ne tâche pas le meuble.
Je poses mes fesses sur ce torchons, (ce qui n’est pas très romantique, mais est-ce que c’est romantique de se faire dépucelée par une fille.)
Elle me fait assoir au bord, le fait ouvrir largement les cuisses et me masturbe, juste avant que je jouisse, elle arrive à entrer d’un seul coup le légume dans la chatte. Je pousse un cri quand elle entre et ensuite je subit tout simplement. Elle fait durer longtemps la baise quand enfin je commence à ressentir au fond de mon ventre un drôle de plaisir arriver. C’est ma première jouissance avec le vagin. J’en reste un peu sonnée. C’est à moi, maintenant à lui faire l’amour. Elle cherche son gode pour le mettre dans le con, ce qu’elle fait sans gêne devant moi. Elle se tourne pour me donner son cul. Je mouille pas mal l’autre légume et le pose sur son anus. J’admire ce petit trou à cause de sa beauté plissée. Il luit sous toute ma cyprine. J’entre lentement. Je peux voir la main qui tient le gode aller et venir dans son corps. Je ne vais pas me gêner pour l’enculer? Petit à petit, millimètre par millimètre, j’arrive à le faire entrer.
- Vas y mets moi la. J’ai mal, mais ça commence à me faire du bien, mets moi là bien au fond.
- Je t’encules comme je veux.
- Vas plus vite, c’est bon, tu vas me faire jouir encore une fois.
- Jouis bien salope. Tu me la mettra après.
- Oui, dégueulasse, je te la mettrai.
Je continue mes vas et viens quand elle arrête de se baiser. J’arrête moi aussi; elle a mal au cul est au con. Je tiens quand même à ce qu’elle m’encule aussi. Elle m’a baiser et dépucelé, elle peux bien m’enculer pour la première fois.
Je me met en levrette. Je me mouille l’anus et enfin elle vient me mettre le concombre dans le cul. Elle entre en moi comme un escargot, aussi lentement. Je ne sais si je suis prédisposée à la sodomie en tout cas, elle me fait jouir bien avant d’être au fond de mon cul. Nous jouissons une dernière fois en pratiquant un 69. C’était un essai: essai réussi.


Plus tard je rencontre Lucien, un garçon qui me plait beaucoup. Il est beau, grand fort et vigoureux. Je sens qu’il a une bonne bite quand il est contre moi. Par instinct, mon ventre frotte contre sa queue. Il me pelote aussi bien, sinon mieux que Babette. Je mouille encore plus qu’avec elle. J’ai envie de lui. Je masse sa pine qu’il sort pour être à l’aise. Je l’ai dans la main au début et pour finir je l’ai dans la bouche. Je le suce comme je pense que se soit être fait. Quand il jouit, je reçois sa semence dans la bouche: c’est agréable son liquide chaud sur ma langue. Je le déguste avant de l’avaler. Le pauvre débande: je le reprends dans la bouche. Je caresse ses couilles et lui met à peine le bout d’un doigt dans son cul. Je pense que c’est mon doigt qui le fait bander.
Je me donne à lui, tant pis s’il me prend pour une pute. En ce moment j’agit pourtant comme une pure salope. Il s’assoit sur un banc à l’abri, des curieux, me fait monter sur ses genoux après m’avoir enlevé le string. Je ne sais ce qu’il veux me faire, devant ou derrière. Je préfère derrière, s’il veut devant, j’ accepte aussi. Je n’ai pas le choix. Pour notre première fois il pose sa queue sur ma fente, la fait passer partout, depuis le cul jusqu’au clitoris. Je suis penchée en arrière. Il entre dans mon con. Il y entre avec tendresse. Il ne veut surtout pas que je bouge, pas encore. Quand c’est le moment nous sommes déchaînés. Je ne sais qu’un seule chose, sa bite est bien meilleur que n’importe quel gode !! Il me fait jouir avant lui. Je me demande si je doit me retirer quand je le sens jouir en moi. Puis je sens ses spasmes, il me semble qu’à chacun je reçois une dosse nouvelle de sa semence.
Notre relation dure longtemps, jusqu’à ce que le cul lui démangeant, Babette arrive à me faire l’amour encore. Elle me tient par le sexe…………….
J’arrive à retrouver un amant que j’aime. Nous baisons souvent et je me délecte avec lui qui me prend comme il veut et me fait jouir à chaque fois.
Je gifle Babette devant tout le monde, devant surtout mon nouvel aimé qui sait tout sur Babette.

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