Elodie

J’aime me promener sur la plage, au bord de la Méditerranée, quel que soit le temps. Je croise souvent une femme un peu plus âgée que moi. A force, nous nous faisons un signe de tête. Hier matin le temps était particulièrement désagréable: vent violent: une bonne tramontane, accompagné de grain de pluie. De quoi arrêter le plus intrépide des explorateurs. Je n’ai même pas aperçu mon inconnue.
J’entre dans le premier bistrot venu pour prendre un café. J’ai la surprise de la voir buvant déjà un café. Elle me fait signe de venir à sa table: nous bavardons du temps et de nous. Elle aime beaucoup se balader sur le sable. Par contre aujourd’hui ce n’est pas le moment. Nous devons pratiquement passer la matinée à bavarder. Elle me fit beaucoup de chose sur elle, j’en fais autant. Je sens que nous devenons amies. Elle part la première, m’embrasse sur les joues avant d’aller chez elle.
Ce matin nous nous croisons de nouveau: encore des baisers sur les joues. Nous faisons notre footing ensemble. Il fait bien meilleur qu’hier. Nous arrêtons notre course au même bistrot que la veille. Nous reprenons la même table. Quand nous sommes servies nous reprenons notre conversation. Connaissant à peut près tout sur l’autre, il reste quand même un domaine où ne nous sommes pas aventurées: toutes la zone des plaisirs. Elle commence par parler de recettes de cuisine, pour finalement arriver à décrire notre sexualité.
Nous sommes divorcées depuis plusieurs années et souvent nous avons des envie de sexe dans nos bas ventre. Je lui dit que je me calme moi-même, ce n’est pas l’idéal, ça me calme au moins trois fois pas jour. Pour elle c’est à peu près la même chose.
Ce qui nous manque le plus est un corps humain. Pas ment celui d’un homme. Elle a déjà essayé une fois avec une autre fille quand elle était jeune. Elle n’ose pas demander à une autre de coucher avec elle.
Je prends main et lui dit
- C’est vrai, moi nous plus je n’ose pas demander.


- Pourtant j’en ai envie.
- Moi aussi.
- Et si………….
- Pourquoi pas !
Finalement nous n’avons rien demandé que par sous entendus. Nos mains sont bien réunies, nous les caressons, nous allons même caresser les bras pour monter bien haut. Elle arrive à mon épaule en touchant un peu mon sein. Je n’en peux plus, j’ai envie d’elle.
- Si nous allions chez moi pour le reste de la journée ?
- Jusqu’à ce soir ?
- Oui, pourquoi pas.
- Pourquoi pas, j’habite à deux pas.
Nous sommes vite chez elle. En y allant nous ne nous tenions que par la main, comme des écolières. Par contre dés l’entrée nous changeons de tenue. Nous nous embrassons sur les joues deux fois, sauf que la deuxième fois nos bouches ont glissées sur la bouche de l’autre. Finalement nous échangeons notre premier baiser.
Elodie reste collée à moi longuement. Je ne m’en plains pas du tout, ses lèvres sont douces et sa langue plus qu’agréable dans ma bouche. Elle passe sa main sur mon jean, juste entre les jambes. Elle ne s’en sans doute pas compte; elle m’excite beaucoup. Je sens ma culotte toute mouillée.
- Je te désire, j’ai envie de toi !
- Moi aussi, je te veux.
- Viens avec moi dans ma chambre.
- Si vite, on se connait peine?
- Et alors, ne perdons pas de temps.
Elodie a raison, nous avons envie de jouir toutes les deux , pourquoi trainer en route, nous ne sommes pas des rosières, nous savons que nous avons besoin de nous faire jouir.
Pour Elodie s’est facile de se déshabiller pour enlever un short et un polo? Pour moi, j’ai le jean, ma culotte et mon t-shirt. Je peux la regarder pendant que je finis d’enlever mon jean. J’admire ce corps plein de belles choses, avec des seins qui me semblent assez durs, des aréoles brunes er des mamelons qui sortent bien. Son ventre plat surmonte un pubis glabre qui permet de voir le début de sa fente et un tout petit bout de clitoris. J’admire ses jambes: je les connais pour les avoir vues quand elle est en short, mais là, nues devant moi elle me semble plus belle.

- Tu es drôlement bien fichue.
- Et toi, tu t’es vue
- Non pas encore.
Je suis enfin nue, elle me prend par la taille et nous nous regardons devant la glace. C’est vrai que je suis bien foutue aussi. Par contre je trouve mes seins un peu petits. D’après elle je suis parfaite. Nous nous embrassons encore cette fois près du lit. Conscientes de la suite nous restons un bon moment debout, bien serrées, seins contre seins. Que cette sensation d’avoir sa poitrine contre la mienne est bonne, excitante. Je pose ma main entre nous deux: je suis à la recherche de son jardin secret. J’arrive bien vite, trop peut être? sur sa fente: elle écarte les jambes, juste ce qu’il faut pour que je la caresse. J’ai laissé ma bouche sur la sienne pour que nos languies continuent leur petit jeu.
Elodie frémit sans arrêt pendant que je la branle. Elle ne peut plus faire un mouvement: elle n’attend qu’une seule chose, un orgasme. Je trouve son bouton très doux, il me semble plus doux que le mien. Je le frotte lentement sans y appuyer trop. En gros je fais comme pour moi. Mais comme chaque femme a ses façons de faire, je ne sais pas si ce que je fais lui convient bien.
Elle se pend à mon cou, juste au moment où je sens qu’elle jouit. Elle ne peut pas rester debout,; il faut qu’elle soit assise ou couchée pour bien jouir. Elle s’assoit au bord du lit, les jambes toujours ouvertes. Cette fois je vois toute sa fente bien ouverte depuis son petit trou jusqu’au capuchon du clitoris.
Elle est plus que satisfaite de ma masturbation. Je lui demande de se faire jouir seule devant moi. Elle n’a aucun complexe: elle prend un peu de salive pour venir la poser sur son clitoris qu’elle décapuchonne. Elle se caresse sans a priori, simplement pour me faire plaisir. Elle préfère se coucher, les jambes pendantes pour s’astiquer.
Je n’en peux plus de la voir faire,; moi aussi j’ouvre le haut de mes lèvres, fait sortir le clitoris et avec deus doigts j’y fais des aller et venue.
Elle me regarde faire comme je le fais pour elle. Je trouve agréable le fait de me branler ainsi devant elle. Elle se fait jouir: je vois les spasmes autour de son entrée secrète. Elle pose ses deux mains sur son sexe en les appuyant bien fort.
Je ne peux pas tenir moi nous plus: j’ai un rare orgasme.
Nous nous couchons bien serrées. Elle se penche sur moi pour sucer mes tétons. Je la laisse faire: c’est dans son genre une as. Il faut dite aussi que je n’ai pas été sucée à cet endroit depuis longtemps. Je met mes bras au dessus de ma tête pour mieux profiter de sa bouche. Son autre main descend vers le pubis. Elle peigne mes poils avant de sauter par dessus pour caresser mon clitoris. Elle ne fait pas comme moi: ce n’est pas grave elle me fait gémir et trembler. Je ne sais comment elle fait, elle arrive à entrer deux doigts dans mon sexe et avec un autre elle continue la destruction de mes pudeurs sur le grain de blé. Je me tortille dans tous les sens. Je pose mes deux mains sur mes seins qui sont devenus très durs. Je les caresse légèrement. Au moment de la jouissance, je cri un peu, serre mes mains sur les seins et entoure sa main avec mes cuisses.
Je suis crevée, ce n’est pourtant pas le temps que nous avons passé, c’est surtout le nouveauté. Elodie s’est retourné, sa tête sur mon ventre, le visage tourné vers mon sexe. Je lui caresse les cheveux un bon moment avant qu’elle se décide à me faire encore jouir. Elle avance sa tête sur mon pubis.
- Tu veux me sucer ?
- Tu n’aimes pas ?
- Si, au contraire, seulement il y a tellement longtemps qu’une langue n’est pas venue.
- C’est pareil pour moi.
- Et si nous faisions un 69.
- Je n’en ai jamais fait avec une autre.
- Moi nous plus, ou alors j’étais très jeune, je crois que j’avais 15 ans.
Nous arrêtons de parler. Je reste sur le dos pendant qu’elle vient sur moi. Je sens ses seins sur mon ventre. Nos jambes écartées laissent la place aux têtes. Je suis étonnée de son odeur qui me semble un peu forte: j’oublie que nous nous sommes aimé plusieurs fois.
Quel bon gout que se cyprine: elle entre dans ma bouche dès que ma langue la lèche un peu. Je fouille toute sa chatte avant d’aller me fixer un moment sur le clitoris. C’est par là qu’elle aussi commence. Je vais plus loin en lui mettant deux doigts bien enfoncés dans son anus. Elle ne refuse pas cette mini sodomie. Mais elle agit autrement et j’aime: elle m’a embrassé autour de l’anus, elle a tourné sa langue contre mon cul avant de la mettre presque toute dans mon derrière.
Nous nous retournons: je suis sur elle. Je prends son clitoris longuement dans la bouche, je l’aspire pour le lécher. Je mets deux doigts dans son con, du=directement. C’est aussi ce qu’elle me fait. Quand nous jouissons, nous restons dans la même position: si un homme était là………
Nous sommes liées par ces plaisirs que nous ne dédaignons pas. Nous arrêtons quelques fois, avant de recommencer;
Quand nous sommes sur le point d’arrêter elle me dit des mots qui me touchent, même si vraisemblablement ils ne sont pas vrais:
- Je t’aime.
Reviens demain pour baiser encore, on s’entend bien toutes les deux. Je sais que je reviendrai baiser avec Elodie: c’est bien meilleur que mes doigts.

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