Voyage Aux Antilles

Voyage aux Antilles ( 1 partie)


Les aléas de la vie professionnelle, et la vie familiale ont mis un tempo dans nos aventures , mais pendant tout ce temps, nous avons eu le loisir d’évoquer ces deux expériences et de nous conforter sur notre accord à ce niveau ; nous avons tous les deux envient de voir notre partenaire faire l’amour avec un autre, et cela en étant parfois de simple voyeur ; notre jouissance dans les deux soirées s’était située au même désir de voir l’autre se faire pénétrer ; si je n’aime pas le terme de cocu consentant, il faut bien reconnaitre que pour nous deux ce fut le cas ; et nos activités sexuelles furent souvent agrémentées de souvenirs de cette période , pour se terminer en jouissances ardentes.
6 mois plus tard, un ami, directeur d’un gros chantier naval, connaissant notre amour de la mer et mes expériences nautiques ( j’ai déjà travaillé sur des plans de bateaux et effectué de nombreuses virées), nous proposa de participer à un convoyage vers les Antilles d’un gros catamaran, voyage d’environ 20 jours et nécessitant, malgré notre expérience à tous, la présence d’un équipage aguerri ; Partant de la rochelle, nous devions prendre un troisième équipier à Madère. La première partie du voyage se fit avec un temps déplorable et c’est avec soulagement que notre escale de Madère se profila, avec le retour du beau temps.
Dès notre arrivée Mico ressortit la panoplie d’été, à savoir petit maillot de bain et le soir , petit corsage dévoilant parfois ses seins, short court mettent en valeur sa croupe attirante ; après un bon repas , enfin au calme, nous avons profité d’un bon repos, non sans avoir remplit nos »devoirs amoureux », devoirs d’autant plus fougueux que cela faisait 7 jours que nous étions au repos ; nous avons du être un peu bruyant car , max le lendemain matin au petit déjeuner, eut un petit sourire en nous disant « que le début de nuit avait été un peu agité » ; comme le port était particulièrement calme, Mico se piqua d’un joli rouge sur les joues et voyant sa gène, Max lui caressa le joue en lui disant « j’ai envié ton mari » ; je vis dans les yeux de Mico une petite lueur, qui annonçait sans doute d’autres envies ; le reste de la journée se passa en courses diverses , indispensables pour 20 jours de mer, formalités de douane puis retour au bateau ; vers 18 h, max nous proposa de prendre l’apéro et ensuite de faire une dernière sortie avant notre départ le lendemain : nous acceptâmes avec joie .


Autour du salon, max nous servit un planteur, accompagné de quelques gourmandises ; nous étions restés en tenue décontractée, les hommes en short et Mico en maillot de bain deux pièces, sobre mais mini, son corps bronzé par les UV ressortait sur la couleur immaculée blanche du maillot et je vis les petits regards en coin de max, qui au vue de la bosse dans son short n’était pas insensible au charme de son amie ; pour nous la situation devenait intéressante et Mico commença à onduler sur le siège, signe évident d’un désir naissant ; max avait envie mais max n’osait pas et comme nous n’avions pas parlé avant, nous n’avons pas bronché, malgré l’envie de plus en plus évidente de Mico, dont les pointes de seins étaient saillantes dans les bonnets ; » par hasard » quelques effleurements, une main sur l’épaule en conversant, max s’échauffait et par jeu, aucun de nous deux ne bougeât, alors que mon sexe était tendu et que le désir se voyait de plus en plus chez Mico ; d’un commun accord nous nous sommes levés pour nous changer, laissant un peu max dans ses baskets. Dès arrivé dans la cabine sans fermer la porte j’arrachais le bas du maillot et je plongeais ma bouche sur le sexe luisant de Mico, ma langue partit en une toilette de son antre, léchant le jus qui coulait entre ses lèvres , puis ni tenant plus je baissais mon short et d’un grand coup, je pénétrais entre ses lèvres ma queue gonflée à bloc, « baise –moi, défonce moi, enfonce ta bite profondément » Mico ne se retenait plus et notre ami, plus haut, ne devait pas en perdre une miette, au vue des cris de ma femme ; ma décharge fut brutale et vient frapper les parois de son sexe ; un râle sortit de sa gorge puis un cri que j’essayé d’atténuer en l’embrassant, mais impossible de tout cacher ; un bruit , haut dessus confirma la présence discrète de max et nous l’entendîmes redescendre dans sa cabine ; nous étions d’accord, le voyage allait être chaud ; après une douche réparatrice, Mico ressortit de la cabine très BCBG, pantalon blanc légèrement moulant, cardigan bleu, légèrement et sagement déboutonné, laissant deviner la naissance de sa gorge, mais sans plus , escarpins dorés; je fus très surpris car je m’attendais à une tenue plus olé olé ; un petit sourire de Mico me rassura, ses idées n’étaient certainement pas très sages, le chaud et froid étaient au programme.

Le diner dans un super resto, se passa sans problème, de grande qualité, arrosé d’un très bon vin des vignobles espagnols, accompagné il est vrai des regards flatteurs envers notre Mico qui sous son aspect classe dégageait une aura de sensualité ; notre hôte la ressentait sans aucun doute, je surpris plusieurs regards révélateurs et la voie chaude et charmeuse de Mico allumait encore un peu plus le pauvre garçon ; mais lui resta aussi très classe et pas un geste ou une parole ne laissa percer son intérêt ; le retour au bateau se fit joyeusement, Mico accrochée à nos deux bras, sous prétexte de ses talons ; la petite garce savait y faire et vers 11 h du soir ,Max nous proposa un dernier verre avant de se coucher ; nous nous installons autour du salon et bavardons gentiment ; nous avons retirer nos chemises et je propose à Mico d’aller se mettre à l’aise , ; sitôt dit, Mico nous quitte et revient une dizaine de minutes après : et là le choc pour max mais aussi pour moi : sous un voile transparent , Mico est en string, petit soutien gorge sans bonnet , ses seins simplement entourés de ruban noir, avec des bas noirs retenus par un collant dans le haut ; le contraste enter les deux tenues nous frappent ; et de suite , je bande, je ne peux voir le sexe de Max d’où je suis mais je ne doute pas du résultat ; Mico s’installe à coté de moi, face à Max et croissant ses jambes découvre un peu plus son intimité, à peine cachée par la bordure du string qui lui rentre dans le sillon ; Max reste sans voix, et pendant quelques secondes un silence s’installe ; afin de rompre le silence je me lève pour fermer les rideaux, par précaution pour l’entourage, je ne tiens pas à voir débarquer les autorités ; je ne rassoie à coté de mico et tout en discutant , je lui caresse les épaules encore couvertes du voile, et comme par hasard celui glisse progressivement, découvrant la poitrine presque totalement nue ; les pointes sont saillantes et le sein gonflé de désir ; la tension est totale.

Mico tend la main vers max et lui dit de venir s’assoir près d’elle ; tel un pantin, Max jaillit de son siège et prend place à coté de Mico et libéré par son geste , il comme à lui caresser le bras , pour très vite trouver le chemin de ses seins qu’il pelote alors sans vergogne, ses gestes sont d’abord désordonnés puis très vite il prend place, ses mains courent sur le corps de Mico , qui posant sa tête sur ma jambe, offre alors à sa vue et à ses mains la totalité de son corps ; les mains quittent alors ses seins et se réfugient sous le string ; très vite, un doigt, puis deux, lui pénètrent son intimité et les allées et venues se font de plus en plus rapide ; pour mieux s’ouvrir, Mico écarte ses cuisses au maximum et c’est maintenant trois doigts qui lui fouillent le ventre ; les gémissements nous stimulent, et Max maintenant écarte la chatte et essaie de faire pénétrer sa main ; Mico tend son ventre à la pénétration et stupéfait, je m’aperçois que toute la main est à l’intérieur ; c’est la première fois que je vois Mico se faire fister ainsi et à entendre ses cris de jouissance, elle y prend son pied ; la main lui fouille le ventre et ressort pour y retourner ; soudain son corps se cabre et un long feulement emplit la cabine, son corps est parcouru de soubresauts tant sa jouissance est grande, puis épuisée, elle retombe sur le siège et s’endort. Nous la descendons sur sa couchette et après un dernier verre, nous allons nous coucher.
A suivre

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