Amours Estudiantins

Un soir vers 18h00, en allant au gymnase, je croise une copine sur laquelle je flashais, sans le lui avouer. Elle m’invite à passer la voir après mon entrainement, ce à quoi je lui dis qu’après je dois aller boire un pot avec des potes et ce serait peut être un peu tard, et elle m affirme qu’il n’y aurait pas de pb, elle bosse jusqu’à tard ! Ok je passerais !
De la ville mes potes me déposent en voiture devant la résidence étudiante, précisément devant la cité U internationale, il est ooh45. Il y a bien encore quelques lumières allumées dans quelques chambres, mais d’en bas impossible de distinguer si c’est le cas pour celle de Céline. Je ne connais d’ailleurs que son numéro de porte et l’étage, même pas le code d’entrée et en 1990, pas encore le portable surtout pour les modestes bourses d étudiants, ni de téléphone dans les chambres !
-Ben vas y me poussent les copains, c’est elle qui avait insisté
-oui, mais sans savoir que ce serait si tard
- de toute façon, si elle dort, t’insistes pas, et si elle te rembarre, tu joues celui qui réalise plus après un coup dans le nez !
Je finis par me glisser derrière un étudiant rentrant tard, et hop, pour le code ce n’est plus un pb. Je monte à l’étage repère la chambre, mais ne pouvant distinguer si il y a encore de la lumière, j attends que la minuterie du couloir s’éteigne. Pas de lumière filtrant sous sa porte, si elle lit , c’est avec une lampe de chevet mais rien de certain alors je gratte un peu la porte, tape doucement, rien ! Quelques minutes de silence, je réitère mes coups sur la porte , à peine plus fort et j entends un bruit de sa chambre, mon cœur bat de plus en plus, et avec une simple lumière venant des veilleuses du couloir, à moitié endormie elle m’att par le poignet me tire à l intérieur et immédiatement me prends la nuque, m’embrasse fougueusement, sans même me reprocher l’heure ou quoi que ce soit. Pas le temps de parler tout va vite très vite, elle a les yeux fermés, je ne le vois pas mais le sens en caressant son visage.

Pour être directe, elle est plus que directe !
Je suis scotché, j’ignorais même si je lui plaisais jusqu’à il y a 2 minutes et la voilà me plotant les fesses, et moi dans le mouvement je me laisse emporter à lui peloter les fesses par-dessous sa nuisette, sans arrêter de l’embrasser. Avec une facilité déconcertante, elle m ôte mon tees shirt que je porte très ample, moi je défais l’attache devant sa nuisette et sans même la lui ôter je lui masse ses petits seins en poire, fermes et très érectiles. Je les dévore avec grand plaisir, laissant courir mes mains sur tout son corps. Une silouhete fine avec des formes agréables, des hanches de jeune femme de 20ans, une peau douce, agréable. Je découvre le tout en aveugle et cela en est presque meilleur, la prochaine fois je regarderais. Mon corps a très vite réagit à 21 ans, en de pareilles circonstances, avec une fille aussi chaude et directe, je bande instantanément.
Je ne sais même plus qui m a retiré mon jogging, elle ou moi, mais je me rappelle avoir gouté sa minette sans même lui enlever son string. Je l’ai léché par-dessus le tissu au contact agréable mais vu notre état d’excitation, rapidement mes doigts écartaient le tissu pour lui lécher son bouton d’amour… Je le découvre lisse de tout poil, gonflé de plaisir et juteux à souhait. De son coté, placés en 69, sa langue s’active à parfaire mon érection. C’est une pipe d’enfer, endiablée et vorace qu’elle me prodigue. Je bande à mort. On se dévore comme si on attendait çà chacun depuis si longtemps, comme une énergie contenue, à peine libérée, c’est fort, c’est musclé et qu’est ce que c’est bon !!! Chacun gémit la bouche pleine, des hum, ah, ouiiii et on s aspire se suce se mordille en tous sens, nos cœurs s’accélèrent, nos corps suent de bonheur, c’est vraiment l’extase.
Je l’entends me murmurer, viens mon chéri prends moi, mes yeux se sont à peine habitués à la pénombre, je la sens en position à quatre pates la tête bien calée les avants bras à même le matelas.
Grâce à la lumière éloignée d’un poteau extérieur qui filtre à peine entre les volets, je distingue vaguement son corps, il me plaît beaucoup, je suis en admiration mais pas le temps de s’extasier d’avantage . Je me place derrière elle, un genou sur le matelas, l’autre relevé en trépied, je m’agrippe à sa nuisette à hauteur des hanches et pointe ma queue dans sa grotte si humide qu’elle se fait immédiatement aspirer d’une poussée synchrone de son bassin en arrière et du mien vers elle. UN « Oh oui » m’encourage. Jusque là je n’ai fait que grogner, et je n aimais pas beaucoup parler, verbaliser mon plaisir à cette époque, peut être par timidité mais là je lui dis quand même « prends çà » et me mets à la défoncer très fortement. Le temps de réajuster ma prise et ma position derrière elle et je la pilonne très violemment pour notre plaisir commun. A un moment pour encore mieux accélérer, je quitte le trépied au profit d’un pied au sol sur le coté du lit et l autre relevé sur le lit. J’agrippe l’avant de son bassin et donne des coups de folie , encore plus forts comme si je voulais carrément la transpercer. Mes couilles claquent contre ses fesses, sa tête calée entre ses mains, j’entends à sa respiration que tantôt elle souffle fort, tantôt elle serre les dents mais continue à onduler en rythme avec moi. C’est vraiment trop bon pour elle et pour moi, même si je l avais espéré je n’aurais pu imaginer la baiser aussi vite et aussi bien, elle est très chaude et excellente au lit. « Céline, Céline, c’est bon, han han han »….. « Continues mon chou ».
Puis on décide de changer de position, je la repousse doucement , m’allonge sur le dos pour reposer mes cuisses et l’attire sur moi à califourchon, elle veut absolument gouter encore ma bite mélangé au gout de sa cyprine pendant un instant puis elle me chevauche, et les mains déjà en train d’agripper mes genoux relevés derrière elle, le buste bombé la tête en arrière, elle m’encourage :
« Vas y mon chéri, vas y défonces moi bien Alain ».
J’ignore si elle avait déjà prononcé mon prénom avant, mais là il y a maldonne, elle se trompe de prénom et je continue à la baiser en corrigeant, « pas Alain, Jean !!! »
-Comment çà Jean, Alain c’est toi ? c’est bien toi, mon chéri me demande t elle en venant tâter mon visage, elle me brosse les cheveux que j’ai très courts, je ne bouge plus en elle , je sens un affolement d’un nouvel ordre dans sa tête , dans son corps, et c’est encore planté en elle qu’elle reprend.
-Mais c’est pas possible, c’est qui si c’est pas Alain, que fais tu là, qu’est ce que j’ai fait ?
-Tu m’as dit de passer, même tard et à peine arrivé…
Silence lourd d’à peine quelques secondes, cela me semble durer une éternité, j’ai pas complètement débandé mais…, et là, parti d’un fou rire étouffé, elle me dit : « je t’ai pris pour Alain, j’étais à moitié endormie, mais vu qu’il arrive parfois tard dans la nuit… je t’ai pris pour lui dit elle, en recommençant machinalement à onduler légèrement du bassin.
-Et en 15 20 minutes tu ne t es rendue compte de rien ?
Vous avez la…même taille, les cheveux aussi courts, et il est aussi fougueux que toi.
-et ma voix et ma queue ? ma façon de te prendre ?
-elle rigole et se justifie : Et même ta queue est aussi monstrueusement grande comme la sienne, j’ai pas réalisé et Je prenais autant de plaisir qu’avec lui !!!
-Alors on a qu’à continuer », je tente… Ce que l on avait repris déjà à un rythme très lent
Et là, comme si elle réalise ma bite dans sa chatte , elle me chevauchant, les corps en sueur. Elle descend m’embrasser sans y mettre la langue comme pour marquer un peu de distance et dit « mais, mais, …oh mon chéri mais,… »
Je plaque mes mains sur ses fesses et recommence à la limer pendant qu’elle me dit j »e sais pas, je sais pas », mais je sentais bien son corps en appétit, lui savait déjà pour elle et il a progressivement repris le bon rythme…
-Et finalement au point ou on en est ? et puis je te plais ?
-Ben je crois que oui, et çà se voit non.

-C est vrai que t’es en forme, t’as la puissance, tu m’as fait décoller en un rien, continues, défonces moi bien et après on n’en reparlera plus, promis ?
-Vas y ma petite adultère ; reviens en amazone déhanches toi bien, j’adore ta chatte. Elle semble faite sur mesure pour ma bite. Elle a juste fini par se retourner en amazone, a déposé ses omoplates sur ma poitrine , surélevé son bassin ses jambes de part et d’autre de mon bassin, et j ai continué à la pilonner par-dessous, en maintenant le creux de ses reins avec mes coudes calés dans le matelas.
A peine quelques minutes plus tard, mais après beaucoup de va et vient vu la cadence choisie, on s’est effondré, en sueur dans un râle de jouissance.
Dans un câlin très tendre elle m’a expliqué qu’Alain, militaire du contingent, après sa garde la rejoignait parfois au petit matin, vers 5h30 et qu’elle aimait être réveillé par ses câlins. Dans un demi sommeil, elle nous avait confondus dans le noir, ne regrettait rien mais que ce serait une première et dernière fois… Je ne savais même pas qu’elle avait un copain, encore moins qu’elle en était très amoureuse. Son invitation était en toute amitié, et je suis donc reparti avant le petit matin pendant qu’elle prenait rapidement une douche… Aujourd’hui encore quand j’y repense, je croirais avoir rêvé, si ce n’était la gentille carte que j avais reçu une semaine plus tard me remerciant encore pour ce moment exceptionnellement bon ; 20 ans après j ai encore sa carte signée amicalement Céline.
Yenaki 974.

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