Il Était Une Fois Sur La Route... Suite 2

Le drap ne recouvrait que les fesses et une partie des jambes, ce qui laissait voir un corps halé, épais voire musclé, le camionneur de base en résumé, qui présageait quelque chose de sympa, je fus tout timide et interdit quand je le vis. Soudain ma première rencontre se mit à élever le ton :

- Putain , tu t t’es rendormis mon salaud, allez debout, j’ai pas que ça à faire…..
- MMMMahhhhhpffffffffffffff fait chier. …..! répondit le second.
- Ste plait, je vais être à la bourre sinon, lève toi….
- Ok ok.

Il se leva, et effectivement, il était nu, j’ai bien vu ses grosses couilles fermes surplombées d’un saucisson épais à demi-érection, je bloquais sur lui, en remontant mes yeux de son paquet vers le torse, puis vers ses yeux verts qui me souriaient en même temps que sa bouche, ce qui lui donnait un charme sans pareil. J’étais pétrifié sur place, n’osant bouger d’un poil, quand mon camionneur me dit qu’il allait prendre une douche et que je pourrais y aller ensuite. Seul, tout seul avec un mec qui me immobilisait sur place, ce fut un grand moment de solitude, mais il était sympa et de son plus beau sourire, il m’invita à m’assoir sur un banc à la table, en se mettant à côté de moi, il engagea la conversation de suite :

- T’es un pote d’Etienne ?
- Non, en fait je faisais du stop et il m’emmène en ville, c’est tout, on se connait pas.
- Ah bon ? j’aurais cru que vous étiez intimes….
- Pourquoi ça ?
- Vu le temps que vous avez mis pour arriver et aussi le fait que vous sentiez le foutre tous les deux….
- Ah…. Désolé…
- D’où la douche, je suppose…
- Si ça te dérange je peux aller plus loin…
- Non, non au contraire, rapproche toi…
- Pourquoi faire ?
- Ben je vais te montrer que ça me gêne pas pardi !

Je me mis donc à côté et à peine à sa portée, il me sniffa le pantalon au niveau du sexe en pressant un peu, comme pour voir ce que j’avais dans le caleçon ! Il relava la tête en respirant très fort, comme pour dire combien il avait aimé, d’ailleurs il se tourna vers moi pour me montrer à quel point, sa queue devenait de plus en plus grosse, la mienne aussi.

Il posa la main sur ma bite pour la caresser, il a compris que j’avais envie de lui, là tout de suite. Quand il vit à quel point, il sortit ma queue par la braguette pour la branler, je me laissais faire en plus, c’est lui qui est venu me chercher la main pour le masturber aussi.

Nous restions comme ça, en face, se faisant doucement plaisir de nos mains, en se caressant maladroitement le corps de l’autre pendant un moment, puis il me positionna sur ses jambes, dos contre son torse en me mettant sa bite entre les fesses pour continuer le va et vient. Ce geste, cette barre de fer entre mes fesses, sa main caressant mes pecs puis sa main me branlant m’empêchèrent de dire quoi que ce soit.

- Hummmm, c’est que tu aimes le contact mon garçon…
- Oui…
- Je t’enlève ton jean, tu sentiras mieux je t assure.

Ses mains parcoururent mes cuisses en m’ôtant tout le bas, je me retrouvais à poil comme lui avec juste un tee shirt. Il me caressa les jambes en me les écartant au maximum en faisant glisser sa matraque entre mes fesses, cela m’électrisa, je cambrais instinctivement les reins pour mieux la sentir, en insistant un peu lors du passage du gland sur ma rondelle, il mouillait, je le sentais, c’était encore plus excitant avec, sa glissait mieux. Il décida de me rendre fou avec des caresses bien ciblés sur le torse et principalement les tétons qu’il pinçait doucement en passant le bout de son doigt ensuite, puis descendait doucement pour reprendre ma bite dans sa main, s’occupant de mon gland qui mouillait intensément. Il prit mes couilles pour enserrer la base, je me cambrais encore plus en cherchant sa bite, il s’en félicita et nous jouâmes à celui qui arrivera à mettre son gland le premier dans mon trou sans les mains. J’avais très envie de lui, je m’appliquais à ce que sa bite humide m’encule à fond, je le voulais entièrement en moi, après plusieurs essais où le gland rentrait et sortait à peine, le délice arriva, sa queue rentrait doucement, petit à petit à l’intérieur de mon cul offert avec plaisir.
Il aimait me susurrer ses envies :

- Enfonce toi sur ma bite à ton rythme, comme tu aimes, j’ai envie d’entendre tes gémissements de plaisirs, tu vas couiner tellement tu vas prendre ton pied, et moi ton cul.
- Ohhh ouiiiii dis-je en essayant de reprendre ma respiration.
- Mmmm oui comme ça, mais ne soit pas trop gourmand, fait de petits va et vient en descendant calmement, tu vas voir comme c’est bon.
- Excellent même, tu veux dire ?
- Qu’est ce qu’il est chaud ton trou du cul alors, tu m excites comme un taureau, il me tarde de l’avoir en entier, au fond et de te limer ensuite pendant des heures. T’as envie de ça toi aussi hein ?

C’est ce moment là que je sentis deux mains m’appuyer pour m’obliger à me faire pénétrer encore plus jusqu’à la garde, sauf que ce n’était pas celles auxquelles je m’attendais, Etienne avait fini sa douche, je l’avais complètement oublié celui là, il m’embrassa goulument jusqu'à ce que je fisse un ohhhhh de bonheur à l’impact de la bite contre le fond, puis ensuite il me branla tendrement un moment.

A suivre………………………. ;

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