Bonne À Tout Faire - Partie 3

6h00 du matin, le réveil de Fanny retentit.
Elle a retenu la leçon de la veille et a pris toutes ses précautions pour ne pas oublier de se réveiller et pour ne pas se faire réprimander par ses patrons.
Elle part prendre une douche et s’en va enfiler sa tenue. En ouvrant l’armoire elle constate cependant que quelque chose a changé. En effet, la tenue de soubrette a disparu et elle ne trouve à l’intérieur qu’une jupe courte et ample ainsi qu’un petit chemisier blanc. Quelqu’un serait donc entré dans la chambre cette nuit pour apporter cette nouvelle tenue.
Cela ne l’interpelle pas plus que ça et elle décide d’enfiler sans broncher cette nouvelle tenue. Elle ouvre alors un tiroir pour se saisir d’une culotte et d’un soutien-gorge et grande est sa surprise lorsqu’elle découvre que ce tiroir est vide. Un peu paniquée, elle ouvre tous les autres tiroirs qui à son grand désarroi sont aussi vides que le premier. Elle comprend alors, l’air résigné, que ces patrons ont décidé qu’elle ne mettrait plus de sous-vêtement. Après tout, cela n’a pas trop d’importance vu qu’ils l’ont déjà vu complètement nue. Fanny enfile alors la jupe qui laisse entrevoir le haut de ses fesses puis le chemisier qu’elle a du mal fermer vu la taille de sa poitrine. Les boutons donnent en effet l’impression de pouvoir sauter à tout moment. Elle ne l’avait pas remarqué mais ce chemisier est également légèrement transparent et on distingue aisément le bout de ses seins au travers.
Une fois habillée, Fanny se rend alors en cuisine et prépare le petit déjeuner. Peu de temps après, Eric et Elisabeth arrivent.
Eric : - Bonjour Fanny. Vous à l’heure aujourd’hui, il y a du mieux. Et je vois que vous avez trouvé votre nouvelle tenue. J’espère que vous ne m’en voudrez pas d’avoir pénétrer dans votre chambre cette nuit.
- Oh non monsieur, vous êtes ici chez vous, je n’ai pas à protester.
- Vous aviez la poitrine à l’air, j’ai pris soin de remonter le drap.

Je n’ai pas envi que ma nouvelle bonne prenne froid.
- Oh, euh, merci monsieur, dit elle rougissante.
- Vous aurez des courses à faire aujourd’hui. Il y a un super marché à deux pas d’ici, vous pourrez y aller à pied.
- Bien monsieur.
- Je vous ai laissé la liste des courses sur la table dans le salon avec un peu d’argent. Vous n’oublierez pas le ticket de caisse afin que je puisse contrôler.
- Oui, bien sur monsieur.
Kévin arrive ensuite, portant toujours son regard vicieux sur Fanny. Tous finissent ensuite de manger et quittent la maison laissant Fanny seule.
Elle range la cuisine et décide d’aller faire les courses. Se sentant assez peu couverte dans sa tenue, elle part alors enfiler une veste. Elle ouvre son armoire et se rend compte qu’Eric lui a également confisqué tous ses autres vêtements personnels. Un peu paniquée elle parcourt alors la maison à la recherche d’une veste. Elle arrive devant la chambre d’Eric et Elisabeth, hésite un peu puis décide d’ouvrir leur armoire. Celle-ci est malheureusement fermée à clé. Elle tente alors la chambre de Kévin mais elle se retrouve de nouveau devant une porte fermée. Elle fouille ensuite dans toute la maison mais rien à faire, elle ne trouve rien qui pourrait lui servir de veste. Elle se rend alors dans le salon, devant la table où sont posés la liste de course et l’argent. Elle hésite quelques secondes puis se décide à sortir dans sa tenue. Elle s’empare de la liste et de l’argent, s’en va chercher un sac pour les courses, franchi le seuil de la porte et se retrouve dehors toute intimidé d’aller faire les courses dans cette tenue.
Elle commence à marcher dans la rue sentant l’air sur ses jambes et parfois sur ses fesses. Elle croise quelques passants qui la regardent du coin de l’œil et se sent de plus en plus mal à l’aise. Un coup de vent vient en suite soulever sa jupe qu’elle s’empresse de plaquer contre son sexe. Elle se retourne pour voir si personne n’a assisté à la scène et remarque un homme qui la suit le sourire aux lèvres.
Elle retourne vite la tête, rouge de honte.
Fanny arrive devant le supermarché avec une grande appréhension. Elle prend son courage a deux mains et franchi la porte du magasin. A peine rentrée elle se sent observée de tout les cotés ce qui n’est pas loin d’être le cas. Elle prend sur soi et commence à sillonner les différents rayons la liste dans une main et le sac dans l’autre. Elle croise toutes sortes de personnes, des vieux pervers qui la regardent vicieusement, des jeunes ados surexcités et des mères de familles la regardant avec indignation. Malgré cela elle continu ses courses en essayant de ne pas prêter attention à tous ces regards. Dans un rayon elle se penche pour prendre un article et c’est alors qu’un des boutons du chemisier saute. Il s’agit du bouton au milieu du chemisier, pile entre ses deux seins. Sur le coup, l’un de ses seins se retrouve éjecté hors du chemisier, ce qui n’échappe pas à l’œil vicieux d’un homme se trouvant dans le même rayon que Fanny à se moment. Fanny s’empresse de remballer ce sein mais ne peut malheureusement pas reboutonner son chemisier qui laisse alors entrevoir une bonne partie de sa poitrine. Cela ne fait qu’augmenter son embarras et elle s’empresse alors de finir ses courses.
Elle arrive en caisse et fait la queue. Derrière elle arrive l’homme à qui elle a involontairement dévoilé l’un de ses seins. Celui-ci se colle à elle et passe discrètement sa main sous sa jupe. Fanny se sent très mal à l’aise mais n’ose rien dire de peur de faire un scandale et de se faire remarquer encore un peu plus. L’homme commence alors à lui chatouiller la chatte juste au moment où c’est à son tour de régler. Elle essaye de paraître la plus naturelle possible face à la caissière mais ne peut s’empêcher de se tortiller légèrement. Une fois les courses réglées, Fanny s’empresse de sortir du supermarché en oubliant même de récupérer le ticket de caisse comme Eric lui avait demandé. Une fois dehors, elle s’aperçoit que le ciel est devenu très sombre et redoute de se prendre une averse.
Il ne faut pas longtemps pour que les premières gouttes commencent à tomber. C’est en fait un véritable déluge accompagné de fortes bourrasques qui s’abat sur Fanny. Son chemisier se retrouve détrempé et sa poitrine est désormais parfaitement visible au travers. Les bourrasques sont fréquentes et ne cessent de soulever la robe de Fanny. Elle décide alors de courir jusqu’à la maison en tentant de cacher tant bien que mal sa quasi nudité.
Elle arrive enfin, essoufflée mais aussi soulagée que son calvaire soit finit. Elle est complètement trempée mais n’a aucune autre affaire à se mettre. Elle décide donc d’ôter ses vêtements et de le mettre au sèche-linge en espérant qu’ils soient secs avant que quelqu’un arrive. Elle trouve tout de même une serviette pour se sécher et s’en va ranger les courses et déambulant complètement nue dans la maison. C’est alors qu’elle s’aperçoit qu’elle a oublié de récupérer le ticket de caisse ce qui provoque en elle une vive montée d’angoisse. Elle allait encore se faire réprimander par ses patrons d’autant plus qu’il ne reste quasiment rien de l’argent qu’Eric lui a donné. Elle pense un instant retourner au supermarché récupérer le ticket mais d’a aucune envie revivre ce qu’elle a vécu. Et il est fort probable que le ticket soit déjà à la poubelle. Tant pis, elle se résignât à subir le mécontentement d’Eric.
Fanny commençait à se sentir très à l’aise nue comme un ver dans cette grande maison. Elle entreprit de faire un peu de ménage ainsi dévêtu. Elle sorti ensuite dans le jardin et arriva devant la piscine. C’est alors qu’il lui prit une folle envie d’aller s’y baigner ainsi. Bien que sachant qu’elle n’avait absolument pas le droit de faire cela, elle ne pu résister à son irrésistible envie de plonger nue dans l’eau. Et la voila donc en train de se baigner dans la piscine de ses patrons. Elle était tellement bien dans l’eau qu’elle n’a pas vu le temps passer. Elle eut alors un sursaut, se disant qu’il était tant qu’elle sorte avant qu’ils n’arrivent.
Elle sortit donc en vitesse et courra à la maison chercher sa serviette puis ses vêtements. Trop tard, Eric venait de rentrer à l’instant :
- C’est ça que vous cherchez ? dit il en lui tendant la serviette
- Oh monsieur désolé, je ne voulais pas…
- Alors vous vous n’en manquez pas une !
- Oui monsieur, je suis vraiment stupide, pardonnez moi.
Eric lui jette alors la serviette.
- Séchez-vous et rhabillez-vous avant que mon excité de fils ne débarque et vous voit ainsi !
- Oui monsieur, tout de suite
Fanny se sèche puis se dirige vers le sèche-linge. Ses vêtements sont secs et elle peut les enfiler. Elle revient ensuite voir Eric.
- Mais qu’avez-vous fait à votre chemisier ? Vous ne pouvez pas prendre soin des affaires que l’on vous donne ?!
- C’est que, je me suis baissée, et…
- Ca suffit, pas de commentaires ! Bon et le ticket, ou est il ?
- Eh bien… j’ai oublié de le prendre….
- Mais quelle gourde vous faites ! Ou alors vous essayez de me voler !
- Non monsieur, je vous jure
- Retournez le chercher !
- Mais, c’est que…
- Dépêchez vous !
Fanny se résigne donc a ressortir dans cette tenue et repart au supermarché en courant. Le temps s’est calmé mais le vent souffle toujours et dévoile à tous les passants les parties intimes de Fanny. Elle arrive au supermarché et se dirige tout de suite vers la caisse où elle est passée. Son cœur bat à toute vitesse. Elle accoste la caissière toute essoufflée.
- Excusez moi, j’ai oublié de prendre mon ticket de caisse tout à l’heure, l’auriez vous encore.
- Ah oui je me rappelle de vous, madame « je ne mets pas de sous-vêtements ». Eh bien regardez dans la poubelle, il y est surement. J’ai d’autres clients qui attendent moi.
Fanny se sent honteuse et s’empresse d’aller récupérer le ticket.
Elle se penche pour fouiller dans la poubelle et c’est alors qu’un deuxième bouton saute à son tour. C’est celui du haut ce coup ci et toute sa poitrine se retrouve à l’air. Fanny, cachée derrière la caisse, a un sursaut de panique mais continu de fouiller dans la poubelle. Elle met enfin la main sur le ticket mais ne sait trop comment faire pour sortir du magasin sans dévoiler ses deux gros seins à tous les clients. Elle ne voit pas d’autre solution que de partir en courant. Ticket à la main, elle pique un sprint jusqu'à la sortie sous le regard médusé des clients. Une fois dehors, elle poursuit sa course afin de retourner le plus vite possible à la maison. Ses seins ballottent dans tous les sens et elle se fait siffler par de nombreux passants. Elle arrive enfin à la maison et file voir Eric.
- Voila le ticket monsieur.
- Euh très bien mais qu’avez-vous encore fais à votre chemisier ? On ne vous prêtera plus de vêtements si ça continu.
- Je suis désolé monsieur, c’est ma poitrine…
- Oui et bien ne compter pas sur moi pour en donner un autre, vu ce que vous en faites
- Bien monsieur, je comprends
- En ce qui concerne le ticket, ça à l’air de coller. Mais pour le coup de la piscine il va quand même falloir songer à une punition. Je vais voir ça avec ma femme quand elle arrivera.
- Bien monsieur.
Elisabeth et Kévin arrivent ensemble au domicile.
Elisabeth : - Et bien qu’est-ce qu’elle fout les seins à l’air celle la ?
Eric : - Petit problème avec le chemisier, mais viens il faut que je te parle de quelque chose.
Eric s’en va expliquer à Elisabeth la petite incursion de Fanny dans la piscine. Elisabeth semble alors très contrariée et remontée contre Fanny. Eric et sa femme discutent longuement et finissent par prendre une décision. Ils appellent Fanny.
Elisabeth : - Fanny, venez ici tout de suite !
- Me voici madame
- Je viens d’apprendre ce que vous avez fais cet après-midi, comment avez pu avoir une idée aussi stupide ?
- Je ne sais pas madame, je n’ai pas d’excuse.
- Nous avons discutez un peu avec Eric et nous avons décidé d’une punition pour vous.
- Bien madame, je comprends.
- Ecoutez-moi plutôt ! Demain nous recevons un couple d’amis. Vu que vous avez l’air d’aimer vous foutre à poil, vous serez toute la journée, entièrement nue pour servir nos amis. Et je vous prierais d’être aux petits soins pour eux et de répondre à toutes leurs demandes.
- Comme vous voudrez madame, j’accepte cette punition.
- Vous n’avez pas trop le choix de toute façon. Bon, allez donc préparez le diner.
Fanny s’en va faire à manger. La soirée se passe ensuite sans encombre, Fanny servant désormais ses patrons les seins à l’air, pour le plus grand bonheur de Kévin. Elle part se coucher et se dénude comme à son habitude pour dormir. De toute façon, c’est ainsi qu’elle servira toute la journée de demain. Elle est un peu anxieuse mais à la fois excitée en pensant à cette nouvelle journée qui se prépare.

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