Val

Mon copain Laurent me parle souvent de sa voisine. Il aimerait se la faire. A force de me parler d’elle, il commence à m’énerver: il la décrit comme une fille de 25 ans environ, avec une belle poitrine, une taille fine, montée sur de splendides jambes. Elle vit seule; il lui semble qu’elle doit être chaude. Ce n’est qu’un impression. Je crois surtout qu’elle fait parti de ces fantasmes quand il se touche.
Il m’invite un jour chez lui pour un repas entre copains. J’ai de la chance, je vois une beauté en arrivant. Ce ne peut être qu’elle. Je la regarde en souriant, elle me rend mon sourire. Si elle est polie, en tout cas ce sourire illumine son visage. Je devient comme Laurent, moi aussi j’aimerai passer une bonne nuit avec elle.
En entrant chez mon copain je lui parle de la fille. Il est presque jaloux qu’elle m’ai souri. Je lui propose de l’inviter aussi:
- Elle refusera de venir chez moi.
- Pourquoi, tu as déjà essayer ?
- Non, je n’ose pas.
- Je vais le faire alors.
- Si tu veux.
Il a l’air abattu que je le fasse. Il peut tout de même se bouger un peu pour une fille de cette classe.
Me voilà toquant à la porte de la voisine. Elle vient ouvrir: je suis surpris par sa tenue légère: un slip presque transparent, un soutien gorge du même calibre. Elle ne semble pas du tout gênée de paraitre ainsi « vêtue ».
- Oui, vous désirez ?
Je ne peux pas lui dire que c’est elle que je désire.
- Nous vous invitons pour déjeuner chez votre voisin, mon copain Laurent.
- Ah oui le garçon qui est timide.
- Oui.
- Alors je vous suit;
Elle ne se change pas, elle vient comme elle est. Quand elle entre, Laurent va attr un attaque. Elle nous embrasse tous les deux sur les joues
- Je m’appelle Valérie, mais amis me nomment Val.
- Bonjour Val.
- C’est vrai que vous voulez déjeuner, j’avais prévu de faire autre chose de plus chaud.
- Quoi donc ?
- J’étais seule, presque en tenue, nous sommes trois on pourrait s’amuser à trois, c’est agréable, non ?
Elle n’attend pas de réponse, pour elle nous devons nous amuser à trois.

Laurent met du temps à comprendre de quel jeu il s’agit. Je répond pour nous eux
- Bien sur nous sommes trois, jouons. Tu aimes l’amour en trio. Bien sur à trois surtout pour moi c’est plus fort. Lui c’est Lurent, et toi ?
- Moi Pierre.
- Vous me semblez appétissants tous les deux.
- C’est toi qui est appétissante; j’ai eu envie de toi dès que je t’ai vu.
Si Laurent ne se décide pas, j’y vais seul, il nous rejoindra plus tard. Je prends Val dans mes bras, elle se donne aussitôt ne tendant ses lèvres que je prends. Nos langues viennent à la rencontre de l‘autre. Je ne peux m’empêcher de prendre ses fesses dans mes mains et de descendre déjà son slip. Sans complexe, elle pose une main sur ma bite à travers le pantalon.
Nous ne tardons guère à être nus. J’ai sa main autour de ma bite pendant qu’elle me branle ( heureusement que je me suis branlé juste avant de venir). J’ai un doigt sur son cul et un autre qui caresse son clitoris.
Elle bafouille des trucs d’où il me semble qu’elle aime ça ou qu’elle voudrai que Lurent vienne aussi la caresser, en tout cas c’est-ce qui arrive, enfin il a compris qu’elle nous veut à deux à la fois. Pour l’instant je m’occupe de sa chatte et de son cul, lui s’occupe de ses seins. Il doit bien la peloter puisqu’elle lui tend la poitrine. Enfin il l’embrasse pendant que je suis presque à genoux pour lui sucer un peu la chatte.
Elle demande à se coucher sur le lit: elle est adorable ainsi avec sa chatte exposée, ses seins durcis et sa bouche sensuelle. Laurent se précipite sur elle pour la farcir comme il dit si joliment. Elle l’accepte facilement, trop facilement. Pour la farcir, il n’hésite pas: c’est vrai que quand sa queue entre dans le con, il ne le fait pas à moitié. Sa bite pénètre le plus possible. Val commence à ronronner. Elle l’enserre avec ses jambes tellement que je peux voir son cul.
Là c’est trop pour moi, je ne peux m’empêcher d’aller lui mettre deux doigts dans le cul.
Elle les accepte. Elle fait plus que ça, elle se tourne en gardant la pine de Laurent dans son ventre. Elle me regarde:
- Viens encules moi.
Je ne sais pour les autres, pour moi une telle invitation ne se refuse pas. Je crache sur son anus, un peu trop puisque ma salive coule vers la bite de Laurent. J’enjambe ce qui me gêne et trouve l’anus très vite, guidé par Val. Je donne un bon coup de rein. Je sens la pine de Laurent au passage. Le cul s’ouvre comme par magie. Val n’est plus une chatte, elle devient un tigre quand elle cri son plaisir. Un cri qui dure tout le temps de notre double accouplement. C’est Laurent qui cède le premier, tout en restant dans le sexe de Val, il attend sagement qu’elle finisse de jouir pour la x° fois. Au fond je me fout totalement du plaisir de mon copain, ce qui m’intéresse est le mien et accessoirement celui de Val. J’ai de la chance, je jouis juste avant Val. Elle me vide totalement avec ses spasmes;
Nous nous relevons, Elle tient absolument à nous laver les deux sexes; sa langue est là pour ça. Quand elle me finit, c’est vrai-je suis nickel.
Elle a eu ce qu’elle voulait.
Chaque fois que je vais chez Laurent je passe d’abord chez Val qui me suit. Une ou deux fois il n’était pas là. Nous avons baisé seulement à deux: avec Val, c’est moins agréable qu’en trio.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!