Chaussures Et Geneviève

J’ai besoin d’une paire chaussures: je vais chez mon commerçant habituel. La patronne me connais, à force de me voir depuis 10 ans. Je cherche des yeux la vendeuse habituelle qui, d’après la patronne s’est mariée et quitté la ville. C’est une nouvelle, enfin pour moi, qui vient me servir. J’ai repéré ce qui me plait, le choix est vite fait. Je m’assoit, présente mes pieds encore chaussés: elle les enlève pour les essais de la nouvelle paire.
Je ressent un choc électrique quand elle prend mon mollet. Nos regards se croisent, comme ça, sans raison apparente. Je crois savoir ce qui nous arrive: je ne porte jamais de culotte, elle a du voir le haut de mes cuisses et sans doute plus haut. Instinctivement j’écarte un peu les jambes, son regard est posé sur ma chatte. Je fais des vœux pour qu’elle vienne me toucher.
Normalement je ne devrai pas avoir envie de jouir. Hier au soir avec mon mari, nous fêtions l’anniversaire de notre première fois. Inutile de dire que toutes nos façons de faire l’amour y sont passées: il m’a baisée et enculée. Je l‘ai branlé et sucé, nous avons fait un 69 suivit d‘un second.
Ce matin j’ai pris ma douche spéciale en me branlant. Normalement je n’aurai pas besoin d’avoir d’autres besoins urgents. Pourtant cette fille me donne des envies à moi hétérosexuelle convaincue.
Quand elle pose une main sur mon genou, je la laisse faire. Vite qu’elle ne perde pas de temps, qu’elle vienne chercher la chatte. C’est-ce qu’elle fait doucement: sa main est sur une cuisse, coté interne. J’écarte un peu les jambes, pas trop pour que ce ne soit pas visible. Elle force à peine pour arriver à me toucher le clitoris, quand elle arrête brusquement: sa patronne jetait un regard vers nous.
Elle fait le paquet, je vais payer. En rentrant à la maison je trouve dans le paquet un mot avec son nom: Geneviève et son téléphone.
Cette fille m’a excitée. Je suis obligée de me mettre nue, sur mon lit, les jambes écartées pour le soulager à mon habitude.

Mes fantasmes me la font voir, nue venant entre mes jambes pour me lécher. De l’imaginer ainsi me fait jouir.
Je résiste longtemps avant de téléphoner.
J’appelle: Geneviève répond. Nous avons rendez vous lundi prochain vers 15 heures chez moi. Nous serons seules sans mon mari qui travaille à cette heure. Je compte encore cinq jours avant de ……….. nous aimer, mais comment. Il me tarde d’abord que mon mari me fasse l’amour, me fasse jouir encore plus. S’il ne peut pas, tant pis, je me branlerai tellement j’ai envie d’être dans les bras de Geneviève.
Tant bien que mal le temps arrive enfin. Je « m’habille » avec un déshabillé transparent et un soutien gorge inexistant ou presque. Pile à l’heure dite Geneviève sonne. J’ouvre la porte sans trop vérifier. C’est bien elle. Elle est fort bien vêtue. Dès l’entrée elle pose sa bouche sur la mienne. Nos langues ne chôment pas un instant. Nous sommes comme des sevrées qui reprennent leur drogue. Geneviève semble prendre la direction: je me laisse faire. Elle me pousse dans le salon à la recherche de notre endroit premier.
Nous sommes assises sur un divan, nos lèvres reprennent leurs mouvements. Que sa bouche est agréable. Elle passe une main sous le déshabillé à la recherche de ma poitrine. Elle fait sortir un sein qu’elle caresse avec beaucoup de doigté. Je cherche moi aussi sous sa veste et trouve rapidement sa poitrine: elle est nue dessous. Je peux lui enlever la veste pour découvrir la totalité de la poitrine: une merveille. Je fais comme elle, je caresse les deux mamelles, je sens les seins durcir sous ma caresse. Elle trouve l’ouverture de mon déshabillé, je me trouve avec seulement un sein couvert. Le reste, elle le connait puisqu’elle y a mis au moins un doigt. Je cherche la fermeture éclair de sa jupe: je ne la trouve pas. Nous nous levons, elle pour enlever sa jupe et moi pour me débarrasser de ce bout de soutif qui ne me sert plus à rien.
Nues maintenant, Geneviève reprend son offensive.
Si elle passe sa main entre mes jambes, elle monte très vite en haut, là où je regrette qu’elle ne soit pas restée au magasin. J’ai les jambes bien ouvertes, elle peut aller là où elle veut, de préférence sur mon bouton. Eros doit écouter mes vœux: c’est justement là où elle décide d’aller. Elle écarte les petites lèvres pour faire ressortir mon clitoris. Sans attendre, enfin elle me masturbe. Qu’elle délicatesse dans ses mouvements allant crescendo. Je suis obligé de poser ma cuisse sur la sienne pour être encore plus à elle. Elle me donne un orgasme inattendu quoique espéré.
Je vais essayer de lui rendre la jouissance. A mon tour de caresser ses cuisses, d’aller bien en haut de ses jambes. Quand je touche sa moule, je me demande encore ce que je vais lui faire. Je commence par le début: je cherche son bouton. Je suis mal placée pour la branler comme moi, alors je me contente de la caresser avec le dos de deux doigts. L’effet est le même: je la sens se contracter quand elle pousse un léger soupir: elle jouit.
Pour nous encourager encore, nous nous embrassons. Je commence à aimer ses baiser. Elle remet sa main dans ma chatte sans passer par les caresses sur les cuisses: je l’attendais encore sur le clitoris, elle caresses les lèvres avant de me mettre deux doigts dans la chatte. Elle ne les enfonce pas trop, je sens qu’elle les tourne pour avoir la pulpe des doigts vers le haut. Elle me masse simplement cet endroit, le plus sensible pour moi et les autres femmes sans doute. Elle m’emmène au paradis plusieurs fois. L’ennui est que je suis la seule à jouir.
Geneviève le sait bien; elle veut aussi sa part de jouissance.
Elle me met sur le dos, les jambes écartées, je commence à comprendre la suite: elle veut certainement que nous fassions une chose que j’aime faire avec mon époux: un 69. Avec lui j’ai une bite dans la bouche et du sperme quand il jouit. Avec Geneviève je aurai une chatte et de la cyprine. J’ai un moment d’incertitude: lécher passe, mais avoir sa cyprine sur la bouche, ce doit être dégoutant.
Tant pis, j’avais envie de cette femme, je suis partie, pour aller au bout. Quand elle pose sa chatte sur ma bouche, je sens d’abord ses seins sur mon ventre, son odeur de femme qui vient et va jouir, une odeur plus forte que normalement. Et enfin le gout vanillé de sa cyprine. Je me lance dans mes léchages sur son clitoris, ses lèvres intimes, son vagin où je trouve son endroit secret. Quand j’arrête là, je descends vers son anus. Je le lèche longuement avant d’essayer d’entrer ma langue que j’ai resserrée dans ce but.
Geneviève m’a léché le bouton, l’intérieur du vagin, les lèvres et se retrouve comme moi sur mon anus. Avec une ensemble parfait nous entrons nos langues. C’est quand même une drôle de sodomie. Je cherche et trouve ses mains,; je mets mes doigts entre les siens pour être unies encore plus intimement.
Je suis incapable de dire combien de fois nous avons jouit tant elle que moi. C’était une merveille d’avoir ces jouissances hors normes mais tellement bonnes.
Quand nous cessons, j’espère que ce n’est que pour aujourd’hui: elle m’apprends qu’elle est mariée, qu’elle s’est échappée de chez elle pendant que son mari travaillait, comme moi. Elle m’apprend aussi que je suis sa première femme et qu’elle aimerai beaucoup que nous puissions nous faire l’amour les lundis après midi, à ses heures disponibles.
Je ne vois que des avantages à nous faire l’amour ainsi. Pour sceller nos « fiançailles » elle me donne un petit pendentif en or.

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