Visite Au Salon De L'Érostime (2), La Suite

Précédemment, je vais ai raconté mon aventure du salon de l'érotisme avec une inconnue. C'était ma première fois avec une femme et je vous avoue que j'ai aimé ça. Mais elle est partie si vite qu'elle m'a laissé avec des questions sans réponses. Ces réponses, je les ai eues un mois plus tard.
Sortant de mon bureau une fin d'après-midi, j'ai la surprise de rencontrer Jean-Claude, vous savez, celui qui peloter les fesses de sa femme lors de notre escapade érotique. C'est bizarre qu'il soit là car ce n'est pas son secteur et que c'est plutôt l'ami de Thierry, mon mari. Moi, je l'ai toujours trouvé un peu pervers, surtout dans sa manière de regarder les femmes.
« Bonjour Eléonore » me lance-t-il en m'embrassant.
« Bonjour. Mais qu'est-ce que tu fais ici ».
« C'est Catherine qui m'envoie. Tu sais, ta meilleure amie a de drôles d'idées. C'est bientôt l'anniversaire de Thierry et elle lui a acheté un cadeau mais elle ne sait pas si il va l'apprécier. Elle voudrait avoir ton avis ».
« Bah, si ça peut lui faire plaisir. Je ne suis pas pressée, Thierry est au sport ce soir. Je récupère ma voiture et je te suis ».
Vingt minutes plus tard, nous sommes devant sa maison. Le précédant dan l'allée menant à sa porte, je peux sentir son regard posé sur mes fesses moulées dans un jean slim.
« Salut, c'est nous » lance-t-il en ouvrant la porte.
Aucune réponse en écho.
« Elle doit certainement être sortie faire une course. Elle ne devrait pas tarder » me dit-il en posant dans l'entrée un sachet pris dans sa voiture. « C'est pas grave, on va boire quelque chose en l'attendant ».
Il revient avec une bouteille de jus de fruits et m'invite à m'asseoir dans un fauteuil du salon. Nous bavardons de chose et d'autre pour passer le temps lorsqu'il me lance :
« En attendant Catherine, j'ai quelque chose à te montrer » Il se lève et, avec un sourire, met en marche la télévision et son lecteur DVD et là, sur l'écran, n'en croyant pas mes yeux, je me vois avec l'inconnue du salon de l'érostisme, dans nos ébats.


« Ca t'en bouche un coin » s'escaffe-t-il. Cette fille est une pro et je l'ai payée pour ça. Tu étais tellement excitée que tu ne m'as pas entendu entrer pour filmer »
« Mais pourquoi »
« Pourquoi. Parce que tu me fais bander depuis des années et que je me suis promis qu'un jour je te sauterai. »
Me levant, en colère
« Non mais ça va pas, t'es complétement fou. De toute façon, Thierry le sait ».
« Ton mari oui mais tes collègues, tes amis, ta famille. Qu'est-ce que tout ce monde dirait si il verrait tes exploits sur le Net. Alors, maintenant, tu vas faire ce que je te dis ».
Piégée, je ne peux qu'accéder à son chantage.
« J'ai toujours voulu savoir ce que tu portes sous tes vêtements. Allez, retires-les ».
Debout devant ce pervers, j'ôte mon tee-shirt sous lequel se cache un soutien-gorge à balconnet en dentelle blanche puis je baisse mon jean laissant apparaître un slip également de dentelle blanche, échancré duquel s'échappe une partie des poils de ma chatte non rasée.
« Tu as de jolis seins, pas très gros mais bien proportionnés et tu as vraiment un sexe poilu. Allez, à poil »
Je laisse tomber le tout sur le sol et il m'ordonne de faire un tour sur moi-même, tout ponctué d'un sifflement.
« Bien foutue. Va t'asseoir sur le fauteuil et pose tes james sur chaque accoudoir. Voilà comme ça, la chatte grande ouverte. Vas-y, masturbes toi comme tu sais si bien le faire ».
Tandis que je m'exécute, Jean-Claude a baissé son pantalon et son slip et branle un sexe long et d'un beau diamètre. Je n'aurais pas cru que cette vue m'exciterait mais mes doigts vont de plus en plus vite dans ma fente et son mon clitoris. Il quitte la pièce et revient avec le sachet posé dans l'entrée tout à l'heure.
« J'ai un cadeau pour toi que tu vas aimer ».
Il sort alors un sex-toy d'une grosseur inouîe. De petite taille, il a une circonférence d'au moins vingt centimètres. Je n'ai jamais rien vu de si gros.
Un peu effrayée, je le vois l'approcher de l'entrée de mon vagin et, petit à petit, l'enfonce jusqu'à la garde, ce qui a pour effet de faire ressortir la vulgarité de Jean-Claude :
« Mais tu as vraiment un énorme trou, un vrai garage à bites ».
Il m'ordonne de continuer à le faire couliser en moi et, montant sur le fauteuil, il me présete sa queue que j'aspire jusqu'au fond de ma gorge, lui soutirant des soupirs de satisfaction. Tout cela me mène à une jouissance incontrôlable.
« Maintenant, je vais m'occuper de ton cul. Je vais te défoncer et de faire crier comme une salope »
La mouille ayant lubrifié ma rondelle et adepte de la sodomie, il n'a aucun mal à pénétrer mon fondement.
« Caherine refuse que je l'encule. Je vais assouvir un vieux fantasme ».
Au summun de l'excitation, il décharge sa semence en moi. Repu, il me dit de me rhabiller et, une fois prête, il me questionne :
« Alors, ça t'a plu hein ».
J'ai alors le tort de répondre, en haussant les épaules :
« Oui, ça a été mais maintenant tu peux me rendre le film »
Vexé, Jean-Claude me lance des insanités et refuse de me rendre le DVD tout en me promettant que je ne perds rien pour attendre.
Un peu inquiète quand même, je sors de chez lui en me disant
« Qui vivra, verra ».



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