Aline Et Claude

Je suis nouvelle dans le quartier. L’administration ne fait pas de cadeau. Je viens d’être mutée. Après avoir passé presque 15 jours à chercher j’ai enfin trouvé une rareté: un dernier étage pour moi toute seule, enfin presque, cet endroit est divisé en deux, l’autre partie est destiné à une serre pour les plantes de d’ornement. Vivre dans pratiquement 100 m², le nirvana. Je n’habite pas tout, sinon je ne m’en sortirai pas pour le ménage.
Il faut que j’ai de nouveaux repères, aussi je ne fais plus mes courses dans les grandes surface et je m’y retrouve en qualité. Et puis les gens sont abordables et gentils. Que demander de mieux d’un boucher qui vous ajoute un peu de viande sans vous la faire payer obligatoirement.
Je me fait même des connaissances vachement sympa, par exemple la fille du débit de tabac Aline. Si j’ai trop de course dans mon cabas elle les porte chez moi un peu plus tard. Elle est tellement charmante et gentille que je la fait entrer: nous bavardons. Nous avons presque le même âge. Nous partageons beaucoup de points communs. Nous devenons de véritables amies au fil du temps.
En visitant mes aires elle m’a dit, dès le début que je pourrai aménager une pièce avec un lit, une armoire et un bureau pour sous louer à une étudiante. C’est elle qui affiche la proposition de location au bureau de tabac. Le surlendemain, elle vient chez moi avec une fille qui à tout casser doit avoir 19 ou 20 ans. Elle commence des études de musicologie. Je n’ose pas lui demander en quoi consiste ses études. Je crains de paraître pour une imbécile.
Nous nous mettons d’accord sur les répondants, le loyer et les modes d’occupation. Elle peut recevoir qui elle veut sans exclusive.
Aline a pris l’habitude de venir me voir vers 18 heures tous les jours. Il nous arrivent de manger ensemble et d’aller au cinéma. La présence de Claude, l’étudiante ne nous gêne pas du tout: elle est dans sa chambre, ne reçoit personne à ma connaissance.


Avec Aline notre amitié se transforme en affection et l’affection à encore plus de confidence. Je sais qu’elle a eu un petit ami qu’elle a laisser tomber après qu’il lui ai fait l’amour en la loupant complètement. En disant les choses ainsi c’était mieux que de dire qu’elle n’avait pas joui.
- Tu n’a jamais cherché un ami qui te soit cher ?
- Non, jamais, les garçons sont tous les mêmes. Ils te baisent deux fois: une fois en te la mettant et ensuite en te loupant.
- Ne me dit pas que tu reste sage seule.
- Je ne suis pas sage seule.
- Alors tu fais comme moi.
- C’est vrai, je ne t’ai jamais vu avec un homme.
- J’ai appris à m’en passer.
- Comment tu fais ?
- Comme toi sans doute.
- Moi, je me caresse le soir en me couchant.
- C’est pareil.
Nous arrêtons là une conversation qui devient de plus en plus chaude. Je ne vais pas avouer, quand même, que je pense à elle quand je me touche.
Le lendemain la conversation repart sur le même sujet.
Aline se masturbe aussi sous la douche, comme moi.
- Et tu sais, j’ai des fantasmes.
- Moi aussi.
- Mon fantasme quand je me fais jouir, c’est toi. Je me vois nue contre toi. Et c’est toi qui me fais jouir.
- J’ai le même rêve. J’ai même envie de toi, là, maintenant.
- Et si ta locataire venait ?
- En supposant, nous serions dans la chambre.
Je mouille rien que de penser l’avoir avec moi sur le lit. Nous nous embrassons dans le séjour, passage obligé pour Claude. Nos langues sont de la partie bien sur. Je l’entraine chez moi. Je prends la décision de la déshabiller en lui embrassant tout ce que je découvre. Je ne descend quand même pas en dessous de la ceinture. Par contre j’embrase ses seins, je les suce l’un après l’autre. Ca a l’air de lui plaire. Elle me met toute nue aussi. Aline me caresse légèrement les seins avant d’aller sur mes fesses. Je sens ses mains tourner autour de moi. Je mouille encore plus quand elle pose une seule mains sur ma chatte.
Bien sur elle continue à caresser mes fesses. Elle va même plus loin, elle passe un doigt entre mes globes. J’ai deux doigts sur moi, celui sur mon cul et l’autre sur le clitoris. Elle commence par me caresser le bouton et juste après entre son doigt dans le cul. Ce n’est pas possible, je ne suis pas la première pour elle.
- Combien de fois tu as fais l’amour avec des filles.
- Trois fois seulement.
- N’en sois pas honteuse: te me fais du bien.
- Rends moi le !
- Comme tu fais ?
- Fais comme tu as envie.
Si elle savait de quoi j’ai envie, elle partirai en courant. J’ai envie d’elle, bien sur, j’ai aussi envie de Claude, cette jeune étudiante qui me plait.
A mon tour je pose ma main ouverte sur toute sa chatte, depuis le haut jusqu’en bas. Je la passe sans m’arrêter nulle par; je l’excite d’avantage que ce qu’elle est. Je passe les caresses de nos seins. Je décide de lui mettre trois doigts dans la chatte. Je commence par un seul que je fait aller et venir pour finir, donc, à trois. C’est une véritable bite que je lui ai mise.
Aline ne se retient pas du tout pour jouir. Elle jouirai autant avec un homme
Elle est sur le lit, les jambes ouvertes. J’attendais qu’elle me montre ce qu’elle fait avec une autre fille. Pour le moment elle me semble être du genre dominée.
Alors j’improvise, je vais à ses cotés, je l’embrasse avant de me mettre la tête aux pieds. Je l’enjambe pour lui donner toute ma féminité à lécher pendant que je m’installe sur elle, la tête entre ses jambes, à la recherche des endroits les plus sensibles.
C’est bon cette odeur de cyprine et surtout le gout. Il me semble gouter un nouveau plat préparé par un grand chef. Je sais que j’en ai jusqu’au sourcils; toute ma figure est barbouillée. C’est peut être sale, mais tellement bon. Je crois qu’elle a un orgasme au moment où ma langue tourne dans son vagin. Je suis sure qu’elle en a un autre quand j’aspire son clitoris.
Elle aussi me fait jouir en mettant également sa langue dans mon con.
Elle y reste longuement me faisant encore jouir.
Notre 69 dure un peu trop. C’est elle qui m’indique ce qu’elle désire: c’est dur à faire, elle veux mettre son clitoris contre le mien. Nous sommes presque assises, les jambes nouées. Si nos boutons ne se touchent pas complètement, je reconnais en jouir.
Nous finissons de baiser quand j’entends Claude entrer dans le séjour. Elle ne va pas dans sa chambre. Je me demande ce qui la retient. Je me lève, passe un peignoir, le premier venu. Il est presque transparent, je suis nue dessous. Tant pis.
En effet Claude et là, elle regarde un tableau sans valeur accroché rapidement au mur. Elle se tourne vers moi, me détaille. Je dois lui faire de l’effet puisqu’elle ne se détourne pas.
- Que veux tu ?
- Ho! Pas grand-chose, juste m’excuser pour ne pas avoir payé le mois de location. Voici le chèque.
- Poses le sur la table. Merci.
- Vous êtes souvent dévêtue comme ça ?
- Non, je t’attendais pour te faire une proposition.
- J’écoute.
- J’aimerai te montrer quelque chose qui peut t’intéresser.
- C’est quoi ?
- Une fille nue sur mon lit. Nous faisions l’amour;
- Vous aimez les filles ?
- Bien sur, pas toi ?
- Je n’en sais rien, je n’ai jamais couché avec une autre.
- Viens essayer, une fois tu me dira après. Tu sais ce n’est pas parce que tu baisera une fois ou deux avec une autre que tu n’aimera pas les hommes.
Je m’attendais à une ferme refus. Là elle est d’accord: par curiosité je, pense. En tout cas je la désirais, je l’aurai.
Nous entrons dans le chambre pendant qu’Aline se détend, les jambes ouvertes, avec une main posé sans bouger sur son pubis. Claude a un mouvement de recul en voyant Aline. Je murmure que nous venons de nous faire l’amour que nous sommes prêtes à le lui faire à elle aussi. Aline se lève pour l’embrasser. Entre nous l’amour commun, ordinaire, n’existe pas, seul le plaisir est là. Claude a enfin compris la chose.
Nous sommes deux à la mettre nue, deux à embrasser son corps partout, deux à passer nos mains sur ses seins, ses fesses et son bas ventre. Elle réagit au bout d’un court instant: elle se lance elle aussi dans la recherche de l’orgasme. Je suis surprise quand je vois Aline s’accroupir pour passer sa langue sur le clitoris assez voyant de Claude. Je suis surprise aussi de voir la réaction immédiate de Claude qui écarte les cuisses. Je pense que Claude a aussi son moment de surprise en jouissant très vite.
Je veux moi aussi la lécher. Je veux sa chatte dans le bouche. Je la bouscule un peu pour la faire tomber sur le lit.
Aline vient s’occuper des seins pendant que je m’occupe du bas. Je mets ma tête sur sa chatte. J’ouvre ses lèvres pour y mettre ma langue, je cherche le petit bouton; je le lèche; sa cyprine n’a pas le même gout que celle d’Aline que je préfère, par contre les réactions sont plus franches. Elle réagit parfaitement quand ma langue entre dans son anus. Elle me caresse les cheveux tout le temps que j’occupe son sexe.
Aline veut également sa part du gâteau. Elle me remplace pour exiger un 69. La pauvre Claude, subir le sexe d’Aline….. Elle semble apprécier cette position. Je les laisse s’aimer ainsi. Quand elles finissent je veux moi aussi participer à l’éducation de Claude.
Nous nous mettons couchées sur le coté, les jambes levées pour que je puisse lécher le sexe d’Aline pendant que Claude me suce avec beaucoup de bonheur.
Il nous arrivent souvent de baiser toutes les trois ensemble. Je me masturbe moins le soir

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