« Tu Vas Aimer La Botanique ! »

Depuis ce début d’après midi dominical, je n’y tiens plus. J’ai envie et je m’enivre en rêverie. Mon mari m’a laissé pour s’occuper de son jardin d’hiver. Moi devant le clavier de l’ordinateur, je n’ai cessé de errer en vain sur un moteur de recherches, tapant des mots révélateurs gode gonflable, rosebud... Je sens mon intimité devenir moite, mais je n’ose pas me masturber. Je suis habillée d’un caleçon d’un mini slip et d’un long tee-shirt sous lequel je porte un soutien gorge à balconnet 100 E, à mes pieds des sandalettes.
Je n’arrive pas à me changer les idées, c’est plus fort que moi. Je décide de me rendre dans le jardin d’hiver faire des avances à mon légitime. J’entre. Il fait une chaleur humide, excellente pour les plantes équatoriales. Les longues feuilles projettent leur ombre sur le sol. Je m’approche de lui, glisse ma main sur son dos et m’insinue sous son tee-shirt. Il ne bronche pas continue à rempoter des plants, les mains dans la terre. Après quelques caresses et va et vient dans le sens de la largeur ma main essaie de descendre sur ses fesses. Il s’interrompt m’att le bras, enfin je vais avoir ce que je cherche. Il m’entraine quelques mètres plus loin et à l’angle d’une table de la serre il attache un rafia et m’attache le poignet. Il fait de même au pied de la table en attachant ma cheville puis il descend mon caleçon et mon slip, Instinctivement, je lève mon pied pour m’en débarrasser, c’est alors qu’il m’accroche la cheville droite au pied de la table de l’autre côté, puis termine en m’attachant le poignet droit en haut de la table. Me voici, debout au milieu de l’allée du jardin d’hiver, parmi les plantes. Il ne m’a pas dénudé le haut du corps, je conserve toujours mon tee-shirt et mon balconnet. Il contourne la table et débranche une durite d’arrosage. Après avoir lavé ses mains, il prend l’extrémité du tuyau et me dit : « tu vois, tu vas ressentir la jouissance que ressentent les plantes qui attendent qu’on les arrose ».

Il s’agenouille derrière moi. Il insinue une main entre mes fesses, va vers l’avant enfonce deux doigts dans mon vagin, retire sa main et revient sur l’arrière. Puis je sens un de ses doigts pénétrer mon anus, il m’écarte en mettant le deuxième doigt. Il retire ses doigts et je sens qu’il m’enfonce la durite dans mon orifice anal.
« Te voilà branchée maintenant, arrosée, tu as ce que tu veux. Je vais pouvoir continuer à m’occuper de mes plantes ». Je reste debout, médusée. L’eau commence à me remplir doucement. Elle est un peu froide et me crispe, c’est la première fois que j’ai un lavement froid. Mon mari fait le tour de la table, se met devant moi : « tout à l’heure tu vas te trémousser. Je vais jouir d’un superbe spectacle. Ah j’oubliais tu n’es pas complètement employé ». Il prend un plantoir à la main, le saisi par la partie pointue usée à force de travail et m’enfonce d’un coup sec la poignée dans le vagin. « Tu le sens, hein ? » « oui je le sens ». « Ce n’est pas tout, je vais te le bloquer. Il restera raide tout le temps » Il prend un tuteur courbe en fibre de verre l’ajuste dans l’extrémité pointue du plantoir et le tord de ses mains. Continuant à le maintenir courbé il l’appuie tout contre le sol. « Comme ça quand tu te tortilleras, tu seras pénétré à fond et si tu t’affaisses tu seras contrainte de te relever ma belle plante. Voilà tu as tout ce qu’il faut pour me séduire, l’arrosage et le tuteur ». Il s’éloigne à l’endroit où il était quand je suis rentrée et reprend son activité.
Dans mon anus, l’eau pénètre lentement continue à me remplir. J’essaie de serrer les fesses pour arrêter mon remplissage mais c’est peine perdue. Mon colon se remplit et appuie sur la paroi de ma vessie. Je commence à avoir envie d’uriner. J’essaie de repousser le plantoir en contractant mon vagin. Mon mari s’en aperçoit : « continues » me dit-il « tu fais ta musculation ! C’est bien ma chérie ».
Tout contre le sol, le tuteur, assure bien sa fonction. Il maintient le plantoir dans mon corps et dès que je bouge l’aide à progresser vers mon intérieur.

La situation est ubuesque, je voulais une simple relation, me voici transformée en plante verte, attachée, avec un lavement et une pénétration toujours plus profonde du fait de la courbure du tuteur, si je me mets en arrière il se redresse et la pression augmente. Tout comme augmente la quantité d’eau dans mon rectum. Je commence à me tortiller de plus en plus, mon mari continue à s’occuper de ses petites plantes. Puis à un moment, il prend un arrosoir à long tuyau pour les pots de fleurs. Je pense : Ça y est, il a terminé. Il finit toujours par arroser les plantes rempotées.
Avec grand soin, il pose les pots bien à plat, les arrose délicatement en relevant leur feuillage. Pendant ce temps l’arrosage me remplit. Ça devient difficile, douloureux même, ma vessie que je n’avais pas vidée me fait mal, j’ai trop envie, trop envie, je n’arrive plus à me retenir. Finalement je me mets à uriner debout. Mon mari se retourne et vois ma petite cascade qui coule contre le tuteur. « Fais attention ! tu dois garder le lavement sinon je te punirai toute la soirée si tu fais des saletés ».
Ça va nettement mieux, je suis soulagée. Je me redresse au milieu de l’allée, mon rectum plein continue à se remplir. Je me demande combien de litres j’ai reçu. Sans doute deux litres, même si ça s’écoule lentement, je me sens bien pleine, bien tendue.
Mon mari pose l’arrosoir et prend un seau sous la table. Il se met devant moi et me dit : « ça va ? ».
« Je vais te détendre ». Il retire le tuteur puis sort le plantoir. Ça me fait du bien, même s’il a une petite poignée, il s’appuyait à fond contre le col de mon utérus et commençait à être gênant ». Puis faisant le tour, il pose le seau entre mes jambes et tire sur la durite d’arrosage, j’essaie de me retenir, c’est difficile. « Attends je vais te détacher ». Saisissant un couteau, il coupe les liens de rafia qui retiennent mes poignets puis ceux qui retiennent mes chevilles. « Tu peux t’asseoir et te vider me dit-il ».
Penaude, et contente de cet ordre, j’obéis. Dans un certain vacarme de pet et de jet d’eau mon rectum se vide. Je retrouve mon corps. Je me sens mieux. Mon mari s’est absenté, il est allé branché le tuyau d’arrosage, sur l’eau tiède, il décide de m’arroser d’un léger jet, je me redresse, puis je fais quelques pas en avant. « C’est bien me dit-il, je vais arroser ton feuillage, comme ça tu seras plus verte. Lentement il remonte le tuyau, m’arrose les mollets les cuisses, les fesses et le dos ou plutôt le tee-shirt. Il me dit » tourne toi, j’obéis. Il redescend le tuyau, m’arroser d’une fine pluie puis règle le jet en un jet pointu et puissant, qu’il dirige contre mon clitoris. Ce jeu d’eau m’est très agréable, je me sens toute légère toute propre. Il arrête l’eau puis s’approche de moi et me dis. « Alors ma plante préférée, je te prends, recto ? ou verso ? »
« Les deux » lui dis-je. Mais quelle mauvaise idée d’avoir eu cette réponse. Pas de souci j’ai ce qu’il faut il me pousse vers l’angle de la serre, là ou il pose les outils à longs manches. Il prend un manche de pelle et me dit : « tiens ce sera pour devant ! » Il me retourne l’enfonce dans le vagin et alors que mes fesses sont en arrière, il baisse son pantalon, m’écarte les fesses de ses deux mains et m’encule directement, puis avec une de ses mains il active mon clitoris. Le manche de la pelle me pénètre fortement le vagin, son extrémité s’appuie dans l’angle formée par le sol et le mur d’angle, je ne peux pas avancer. Il me tient à nouveau. « Tu vois » me dit il « le jardin d’hiver c’est très agréable, j’aime y passer de longues heures et je crois que toi aussi tu te souviendras longtemps de cet après-midi ». Ses va et vient sont de plus en plus rapides, de plus en plus puissant. Il éjacule et se retire rapidement. Encore en forme, il me retire le manche de pelle, et me demande de m’allonger sur le sol. J’obéis, il masturbe le clitoris, me pénètre avec deux doigts puis trois et me dit : « je sens que je peux te fister ».
« Me fister ? » « Oui tu veux de l’aventure, tu vas en avoir ». Il tire vers lui une jardinière sur roulette, att une branche de plante qu’il casse. Un latex blanc s’écoule. Je vais te pénétrer avec ma main, ce latex servira de lubrifiant ». Je suis sceptique. J’ai peur : « tu es sûre ? ». « Oui, je suis sûre, ce sera un peu long, c’est la première fois que vas être fisté » détends-toi. J’essaie de me détendre. Il continue à me préparer. Ma cyprine me mouille de plus en plus. Il l’a recueille du plat de ses doigt, m’enduis l’entrée du vagin. Il enfonce un quatrième doigt, tourne son poignet sur la gauche, sur la droite fait des va et vient en de longs mouvements. Je continue à mouiller : « tu aimes ça ma salope ! » Je souris « oui je vois, c’est la première fois que le jardinier te fais l’amour, tu ne vas pas le regretter ». Il continue, pendant un quart d’heure, une demi heure, plus et tout à coup s’arrête. Il est à quatre doigts, je suis trempée, mais sa main n’est pas assez humide, il n’ose probablement pas passer à 5 doigts. Il ne veut pas me blesser, je suis très détendue. Il se relève me laisse allongée, dos sur le sol, heureusement j’ai encore mon teeshirt, sinon ce serait très inconfortable. Il se retourne, fais quelques pas et regarde dans ses étagères. Il revient avec un pot d’huile végétale.
« Tu es sûre ? » « Oui , rallonge toi, tu vas connaitre l’extase ». Il enfonce sa main et ses quatre doigts, m’excite le point G avec l’index je crois, de l’autre main il fait couler le flacon d’huile sur sa main. Elle est trempée, il pose le flacon et me dit : « maintenant on passe aux choses sérieuses, tu vas voir ». Ça y est il a groupé ses cinq doigts et il les mets dans mon vagins, il les écartes les resserrent, tourne son poignet dans un sens puis dans l’autre force de plus en plus, je halète, je commence à crier, il s’interrompt et me dit : « tu y es presque, encore un peu ! ». Puis, il reprend ses mouvements, continue à me dilater en avant en arrière, avec les doigts écartés avec les doigts resserrés, il progresse lentement, je sens qu’il va réussir sa main est au niveau des phalanges. Il sait aussi qu’il est sur la bonne voie. D’un coup, ça glisse, une douleur me fait hurler, sa main est totalement passée son poignet s’enfonce. Il s’arrête et me dis : « j’ai pénétré dans la caverne ». De son autre main, il continue à me masser le pubis et le clitoris, tandis que sa main à l’intérieur reste sans bouger. Lorsque j’ai repris mon souffle il me dit : « maintenant tu vas décoller ! ». Il commence par des mouvements de rotations avec le point fermé puis écarte les doigts, ferme à nouveau le poing, va en avant se retire complètement et directement me pénètre à nouveau. Je suis de plus en plus essoufflée, je halète, je ne peux retenir des gémissements mêlés de douleurs et de plaisirs. Il joue et je finis par sentir l’orgasme monter en moi, j’essaie de me retenir, rien y fait, c’est du pur plaisir, un plaisir si intense que je ferme les yeux, l’odeur chaude et moite du jardin d’hiver me rappelle ou je suis. Le soleil joue à cache-cache entre les feuilles des plantes vertes au fur et à mesure que mon corps subit les spasmes de l’orgasmes. Je me détends tout à coup, c’est fini. Après un temps de silence et de répit, j’entends sa voix : ça va ? Je reste allongée dans une certaine plénitude. Son poing est toujours dans mon intérieur. Il a ressenti les contractions de l’orgasme, il a suivi mon décollage et mon atterrissage. Puis délicatement il retire sa main. « Je crois que ça te suffit pour cet après-midi ! mais ce n’est pas fini, la prochaine fois, je te ferai découvrir les vertus de certaines plantes du jardin d’hiver, tu vas aimer la botanique ». Il termine par un long baiser aspiré sur mon clitoris, se relève et m’aide à me relever, puis d’une petite fessée m’incite à rentrer à la maison.

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