Ta Fille A 20 Ans...

Les cheveux courts, le visage mur cache la beauté de cette femme en pleine santé.

La photo d’elle, tenant sa fille dans sa baignoire, m’a ouvert les yeux sur sa plastique très avenante…

Mes ballades dans les bois, à la recherche d’hypothétiques champignons m’ont donné l’occasion de fantasmer abondamment sur son corps harmonieux, sa douceur cachée derrière une voix un peu forte.

Bref, Marie Christine, je suis partant pour une partie de jambes en l’air…quand tu veux ma pouliche…

Et puis, bon, ses mains qui aiment à s’attarder sur moi sans privauté pour autant, son acceptation tacite de ma proximité immédiate, malgré le peu de centimètres que je laisse entre nous, ma facilité à la prendre par les épaules, le bras, sans que je ne sente la moindre gène…son mari qui paraît bien faible et effacé…tout ça m’amène à me dire que si l’occasion se présente…je me la renverse dans le gazon la poulette…

Ce soir, les 20 ans de sa donzelle. J’aurais le choix d’une nuit à passer avec l’une des deux, je choisirais probablement Christine. Pardon à Sandra qui présente son corps juvénile aux yeux et désirs des males du village mais…
Bon ce soir, avec l’ambiance fête et ptet quelques verres désinhibiteurs…j’aurai ptet l’occas de me lancer. Imaginons..

Il est tard, Christine va fumer une cigarette. Voilà un long moment que j’attends ça. Je la suis. Elle est là, dans la nuit étoilée…Je m’approche, elle me sourit.
- tout va bien dit-elle
- presque…
- qu’est ce qui ne va pas s’enquiert-elle
- je ne parviens pas à t’approcher
- …
- j’aime bien être avec toi…
- …sourire
- sans les autres…
- dis donc, et de quel droit tu voudrais être seul avec moi ??
- de celui d’un admirateur silencieux …
- flatteur
- pas du tout, fais-je en m’approchant
- ses yeux ont changé, elle me regarde en pensant quelque chose qui ressemble à mes propres pensées… « on y va ?»
- il y a longtemps que ton charme m’a fait craquer, Christine…
- s’il te plait, sois sérieux, tu n’as pas le droit de blaguer comme ça…
je m’approche, je la touche elle est contre moi, je l’enlace, lui caresse doucement la nuque et approche de ses lèvres…
elle ferme les yeux, je l’embrasse, sa bouche s’entrouvre et nous échangeons un délicieux baiser, elle semble fondre contre moi.

Je suis certain de son abandon total…il faut te lancer mon vieux, elle est à toi…
Ma jambe s’insère entre les siennes, elle me facilite le passage, sa robe rouge se déboutonne par devant…les premiers boutons sont vite ouverts et ma bouche plonge pour sucer, embrasser cette poitrine largement offerte à mes caresses par un soustif minuscule…
Je bande comme un cerf, elle sent bien ma pine dure contre son ventre.

Ma main impatiente soulève la robe sans la déboutonner, mes doigts se glisse dans le string, la motte trempée me reçoit avec un feulement de la propriétaire, je me débraguette et pointe ma bite…je l’enfile brutalement, elle relève ses jambes pour me recevoir bien au fond de sa chatte. Je l’ai poussée contre le mur et la pilonne consciencieusement, elle monte au plaisir en même temps que moi, on explose ensemble, elle de bonheur et moi de jouissance dans son ventre brulant…Deux minutes ? Trois ? pas plus, mais une rare intensité…on se regarde comme deux gosses en faute…elle se rajuste vite, moi aussi et je lui demande …quand ?
-tout à l’heure ou demain matin si tu veux…
-oui je te guette…
et nous rentrons, chacun notre tour, pour ne pas éveiller l’attention. L’absence a été courte, mais tout est différent maintenant. Je suis bien, soulagé, et partant pour la sauter autant de fois qu’elle le voudra bien…ça va être le bonheur parfait, je sens…

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