L'Institut De Jeunes Filles

L'Institut de jeunes filles

La prof de l'institut de jeunes filles annonce le résultat d'un contrôle de fin de trimestre :

- Vous avez toutes bien travaillé. Sauf une.

Elle se tu un instant. On aurait pu entendre voler une mouche. La tension se relâcha dans la classe.

- Pauline ! Levez-vous ! Venez devant la classe.


D'un pas hésitant l'adolescente grimpa les marches de l'estrade.


- J'avais promis une punition à toutes celles qui auraient moins de 60%. Vous n'avez obtenus que 48%. Nous allons régler nos affaires entre
nous, à moins que vous souhaitez plutôt voir la Directrice ?


Pauline acquiesça un non de la tête, vaux mieux choisir le moindre mal. Car la Directrice était vraiment féroce.

- Enroulez votre jupe jusqu'aux hanches.

Bien que les jeunes filles étaient habituées à beaucoup de choses, la prof dut répéter son ordre trois fois avant que Pauline ne saisisse sa jupe d'une main qui tremblait légèrement. Une sage culotte blanche apparut, moulant joliment le renflement du sexe. Elle était affreusement gênée. Dans la classe tous les yeux étaient rivés au triangle blanc.

- Baissez votre culotte sur vos genoux.

Pauline ouvrit la bouche, abasourdie. Elle hésita, les larmes aux yeux, et lançait un regard suppliant vers la jeune femme. La prof fit comme si elle ne voyait pas la panique de l'adolescente.


- J'attends.


C'était une menace à peine dissimulée. La peur de la Directrice se disputa à la honte. Pauline se mordit la lèvre inférieure et se décida. Mieux vaut un court moment de honte qu'une interminable séance chez la Directrice. Elle ferma les yeux pour ne plus voir le regard excité de la classe et d'un mouvement rageur agrippa la ceinture élastique de son slip. Après une dernière hésitation elle baissa le vêtement jusqu'à mi-cuisses, exposant la toison de son sexe à toute la classe.

Il y eut un léger brouhaha, aussitôt coupé net par un regard de la prof.


- Plus bas, la culotte. Et écartez les genoux, qu'elle ne tombe pas par terre.

Pauline ne s'était jamais sentie si humiliée. Quelques ricanements discrets de la part de ses copines, ajoutèrent à sa honte. Elle baissa le vêtement jusqu'à ce qu'il se trouve à hauteur de ses genoux. Morte de honte elle tenta d'oublier que toute la classe la regardait. En dessous du triangle de poils blonds, les lèvres intimes dépassaient, un peu comme si le sexe tirait la langue.


- Les bras dans la nuque. Et gardez-les comme ça !


La pauvre Pauline pleurait en silence et tremblait. Elle avait toujours su que tôt au tard elle aussi aurait droit à une punition, mais comme elle avait pu y échapper jusqu'à présent, elle avait fini par croire qu'elle était intouchable. Elle entendit la prof farfouiller dans son tiroir, et ne pu s'empêcher d'ouvrir les yeux. La prof avait sorti un petit pot en verre et un paquet de protège-slips sur ce bureau recouvert de livres et de cours.

Dès que la prof eut ouvert le pot de crème, une forte odeur se répandit. Pauline mit quelques secondes à identifier le produit, sa mère lui en mettait parfois sous le nez avant d'aller dormir, quand elle était enrhumée Du baume du tigre. L'odeur puissante dégageait rapidement le nez bouché, lui permettant de mieux dormir. La prof sortit un protège-slip du paquet.

Qu'est-ce qu'elle lui réservait donc ? Fascinée, elle la vit étaler une couche de Baume sur la face intérieure du protège-slip. Pauline venait de comprendre la punition que la jeune femme allait lui infliger et fit non de la tête. Elle connaissait la chaleur que dégageait cette pommade odorante. Oubliant qu'elle se trouvait devant la classe avec le ventre dénudé, elle dansait de l'un pied à l'autre, comme si elle sentait déjà la brûlure.


- Oh non, Madame, s'il vous plaît, pas ça…dit la jeune Pauline d'une voix suppliante.



- Trop tard, vous n'aviez qu'à étudier vos textes, comme vos camarades de classe. Ne dites pas que je ne vous avais pas avertie.


La jeune prof se pencha vers le ventre de Pauline, le protège-slip enduit de Baume dans sa main droite. Pauline ferma les yeux, se mordant la lèvre pour ne pas hurler de terreur. Elle sentit les mains de la prof frôler l'intérieur des ses cuisses, puis une sensation gluante et froide sur son intimité. La prof appliqua avec soin le protège-slip sur la vulve et poussa vers le haut pour que le Baume du Tigre fasse bien contact avec le sexe et l'anus de l'adolescente.

Puis elle retira la languette siliconée qui protégeait la colle du protège-slip et remonta la culotte. Elle la mit en place, laissant dépasser les deux petites pattes du protège-slip. De cette façon la jeune fille pouvait bouger comme elle voulait, le protège-slip resterait parfaitement en place. La sensation de froid avait donné la chair de poule à Pauline. Elle était malgré tout confusément soulagée qu'on lui avait remis sa culotte.


La prof ouvrit à nouveau son tiroir et en sortit un objet de couleur rose. C'était une culotte en caoutchouc munie de larges élastiques à la taille et aux ouvertures pour les jambes. La pauvre jeune fille la regardait faire sans bien comprendre. La prof tint la culotte ouverte. La jeune fille hésita, puis machinalement, leva l'un pied puis l'autre, et frissonna quand le caoutchouc froid glissa le long de ses jambes.

Pauline se pencha pour se regarder et se remit à pleurer, la culotte en caoutchouc lui donna l'air d'un bébé ridicule. Elle n'eut pas le temps de s'apitoyer, la sensation de froid entre ses jambes faisait rapidement place à une chaleur moite qui devenait de plus en plus désagréable. Instinctivement ses mains filèrent entre ses jambes. Le caoutchouc froid lui rappela qu'elle était étanche, que son sexe était totalement inaccessible. Elle appuya fort pour tenter de se défaire de cette sensation affreuse.


Pauline dut s'asseoir sur une chaise sur l'estrade avec sa culotte de caoutchouc tourné vers la classe. Elle grimaça quand son poids aplatit le protège-slip contre la chair sensible de son entre-jambes. La prof prit une écharpe de laine de son tiroir et l'enroula soigneusement, la transformant en saucisson elle dut lever son derrière De cette façon l'anus fut aussi en contact étroit avec le Baume du Tigre. Avec horreur l'adolescente sentit l'onguent s'insinuer dans ses replis intimes. La grosse culotte de caoutchouc faisait un bruit humiliant dès qu'elle bougeait. Et toute la classe qui la regardait !


- Gardez vos genoux écartés. Vos camarades vous tiendront à l'œil si vous fermez les jambes, elles me le diront…

Toutes avaient les yeux rivées à l'entre-jambes rose. La plupart des filles sentaient la chaleur de la pâte odorante sur leurs propres sexes, comme si elles aussi subissaient cette punition. Pauline tenta de réduire le contact avec l'infâme baume en se levant légèrement, mais très vite elle eut des crampes dans les muscles de ses jambes et dut se rasseoir de tout son poids.

La fraîcheur relative du baume s'était muée en chaleur intenable en quelques minutes à peine. Pauline eut l'impression que sa culotte était en feu. Elle se leva et se frotta désespérément l'entrejambe, dansant de l'un pied sur l'autre. Dans la classe aussi des entre-jambes furent frottés. Une des filles avait carrément glissé sa main dans la culotte de sa voisine.


- Asseyez-vous ! Pauline tonna la voix de la prof.


- Ca fait mal ! Ca brûle…" pleurnicha l'adolescente.


- Cela vous servira de leçon. Maintenant asseyez-vous. Et taisez-vous.

La pauvre jeune fille se tut et ferma les yeux. De grosses larmes coulaient sur ses joues. Son ventre était en feu. Du début de sa fente jusqu'à son anus la peau réagissait douloureusement au Baume du Tigre. Elle se mit à se balancer d'avant en arrière sur sa chaise, n'osant pas fermer les genoux de peur d'autres représailles.
La prof reprit son cours, ne s'occupant plus de Pauline.

Dans la classe des yeux brillaient. Une des filles renifla discrètement ses doigts, sa cuisse appuyée contre la cuisse chaude de sa voisine. Le spectacle sur l'estrade l'avait prodigieusement excitée. Elle se pencha vers son amie et lui souffla à l'oreille :

-Si jamais tu me trompes, c'est comme ça que je te punirai…

Heureusement la prof ne regardait pas dans leur direction. Pauline n'arrivait plus a rester immobile sur sa chaise. Elle avait l'impression d'avoir une énorme plaie entre les cuisses. Pourtant, pendant quelques instants, la chaleur avait été agréable, excitante même, au point à la faire rougir, comme si toute la classe avait pu voir son trouble. La chaleur humide de la culotte de caoutchouc avait même ajouté à son excitation et elle s'était mise à serrer et desserrer les muscles de son bassin, la bouche à demi ouverte sur un râle silencieux.

Mais cette sensation agréable n'avait pas duré et maintenant la chaleur devenait intenable. Sans s'occuper de la prof qui lui intima de toujours garder ses mains dans la nuque, elle se frotta l'entrejambes à travers l'épais caoutchouc, tentant en vain de soulager la douleur. De temps à autre son esprit embrumé se rendait compte que le spectacle qu'elle offrait devant la classe était horriblement obscène, mais à part ces brèves moments de lucidité, son univers se limitait à l'espace entre ses cuisses.


Le spectacle était terrifiant Pauline avait glissé ses deux mains dans la culotte de caoutchouc et se labourait la peau de son intimité. Un léger filet coulait à l'intérieur de ses jambes "elle urinait sans même s'en rendre compte". La classe s'était rapidement remplie de bruits confus, de soupirs, de discrets gémissements. Quand les élèves virent la main de la prof disparaître sous son bureau, la tension monta d'un cran. La jeune prof avait sous-estimé l'obscénité de sa punition et ne tenait plus en place. C'est d'une voix chevrotante qu'elle s'adressa à la classe :


- Lisez en silence les deux derniers chapitres. Je vous interrogerai en fin de cours.

Faisant comme si elle aussi lisait les chapitres indiqués, elle se caressa discrètement sentant très vite qu'elle n'allait pas tarder à jouir. Pendant des années elle avait dormi dans la même chambre que sa sœur, et elle avait appris à se caresser sans le moindre bruit, sans que sa sœur s'en rende compte.

Malheureusement pour elle, les élèves ne rataient pas une miette du double spectacle qui se déroulait devant la classe, la pauvre Pauline qui se contorsionnait, les bras enfouis dans cette infâme culotte de caoutchouc, et la prof qui croyait que sa discrète masturbation passait inaperçue. Puis une fille gémit discrètement, bientôt suivie par une autre. Quand Pauline, le visage bouffi par les larmes, retira ses mains de sa culotte et regarda sans comprendre le sang qui les maculait, de petits cris vite tus signalèrent que l'excitation avait atteint son comble, quand enfin la prof se cacha la tête dans son bras replié, c'est un vrai concert de gémissement qui s'éleva.

Après de longues minutes les respirations se faisaient plus sereines. C'est seulement à cet instant que les filles et leur prof virent que Pauline était étalée de tout son long sur l'estrade, évanouie, la culotte de caoutchouc et le slip maculé de sang abaissés sur les genoux, le sexe lacéré…

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