Camille Episode 8

(Mon beau papa, roi des forêts.)
Voilà un bon mois que Fabien a fait de moi une cocue.
Je ne lui parle plus et je m’absente de plus en plus souvent. Je me demande même si je ne vais pas le quitter, malgré le petit. Ce ne serra pas le premier à avoir des parents séparés.
Valérie a essayé de me joindre trois fois. Je n’ai pas répondu.
Je noie mon chagrin dans les bras d’hommes de tous poils. J’ai même du mal à y trouver encore du plaisir.
Mais ma vengeance a déjà commencé.
Lorsque je rentre souillée de ces hommes, je me nettoie à grands coups de papier toilette, devant Fab, et ce, ou qu’il se trouve. Chambre, salle à manger, cuisine, même balcon, ca n’a aucune importance. Je jette le papier souillé à ses pieds, à chaque fois.
Je veux l’humilier.

Dimanche matin.
« Tu sors encore ? Il va pleuvoir, reste. »
« Si tu t’ennui, tu n’a qu’à appeler Valérie ! »
Je tourne les talons et je claque la porte.
Je suis triste de cette situation, mais j’ai du mal à lui pardonner. C’est la gorge serrée que je prends la route. Je pars au hasard, sans savoir ou aller.
Le ciel menace, mais il ne pleut pas. Si j’avais su, je ne me serais pas embarrassée de mon imper. Je serais juste sortie avec cette petite robe d’été. Elle est très jolie…très courte. Blanche, imprimée de quelques fleurs, elle se ferme sur le devant par des boutons pressions.
Voilà une heure que je roule, lorsque j’arrive à un carrefour que je crois reconnaitre. Je suis mon instinct et tourne à droite.
Je tombe sur le parking en forêt, ou je m’étais exhibée.
Je suis prise d’un grand frisson. Oserais-je me montrer seule, à plusieurs hommes.
Je descends de voiture et je prends le chemin qui s’enfonce dans le bois. Je guette le moindre mouvement de buissons et je suis très vite repérée.
Deux hommes me suivent, à distance. Trois autres arrivent face à moi. Plusieurs aussi, me guettent de dessous les arbres et se masturbent en me regardant passer.


J’ai peur et je décide de faire demi-tour.
Je me retrouve face à ceux qui me suivaient. Ils passent près de moi, grands sourires aux lèvres.
« Bonjour ! On se promène ? »
« Heuu ! Oui, enfin…non ! Je dois rentrer tout de suite ! »
« Ho ! C’est dommage ! »
« Je reviendrais, promis ! Au revoir. »
Je retourne à ma voiture. De loin, je vois un homme en jogging, qui tourne autour. C’est, très inquiète que je m’approche.
« Ha ! Il me semblait bien que c’était ta voiture. »
Je me décompose, lorsque je reconnais mon beau père.
« Ho ! Monsieur Félicien ? Quelle coïncidence de vous trouver là ! Le monde est petit. »
« Exact ! Fabien n’est pas avec toi ? Et le petit ? »
« Ha, heuu, non ! Le petit est parti quelques jours avec mes parents. Fabien est crevé par ces horaires. Alors j’en profite pour faire du repérage pour de futures balades ! »
Je suis très fière de mon mensonge improvisé. Imparable.
« Et bien, ici, ce n’est pas forcement une bonne idée. Ce n’est pas très bien fréquenté, tu sais ! »
« Ha bon ? Et vous ? Que faite vous ici ? C’est bien loin de chez vous ? »
Et toc ! Je ne vais quand même pas m’en laisser compter.
« Tu me surveille ma parole ! Haha ! »
« Ho non, pardon ! Ce n’est pas ce que je voulais dire ! Hihihi ! »
« Je sais bien, ma petite Camille. Non, je suis ici pour mon travail. Je regarde les arbres à couper. »
« À bon ? Vous pouvez couper dans une forêt domaniale ? »
« Heuu ! Non ! Je…Je viens juste jeter un coup d’œil, pour voir comment il bosse. »
« Un dimanche ? »
« Bah ! Ca me fait marcher un peu. J’entretien ma forme. Tiens, viens voir par ici. »
Lui, par contre, est nul en impro. Je ne crois pas son histoire une seule seconde. Il m’entraine dans le sous bois, vers une clairière. Au centre, trône un arbre immense, avec des branches presque au ras du sol.
« Tu vois, cet arbre est centenaire et… »
Il me fait un cours magistral dont je n’ai rien à faire.
Puis, à l’approche de quelques hommes, il me reconduit à ma voiture.
« Aille ! Merde ! Ca fait mal ! »
« Qu’est ce qui t’arrive, Camille ? »
« Je me suis blessée le mollet avec une branche ! »
« Hum ! On va passer par la scierie pour te désinfecter ca. Tu n’es jamais venue ? J’en profiterais pour te la faire visiter. Suis-moi, on en a pour une demi-heure de route. »
Je n’ai pas le temps de répondre, que déjà, il ferme la porte de sa voiture.
Trente cinq minutes plus tard, nous engageons nos voitures dans un chemin de terre. Au bout de celui-ci, nous pénétrons dans une cour, encadrée de bâtiments en préfabriqués.
« Nous voilà arrivé. Ici, tu a les bâtiments des ouvriers, et là, se sont mes bureaux. Viens, que je te soigne avant d’aller voir la scierie. »
C’est comme je l’imaginais. Un bureau de chantier, avec des tas de plans et de papiers aux murs. La seule chose qui pourrait faire croire que c’est un bureau de patron, c’est ce grand fauteuil derrière le bureau.
Tandis qu’il cherche la trousse à pharmacie, je regarde quelques photos accrochées ca et là. Toutes traitent de la coupe du bois et de la déforestation.
« Voilà ! Je l’ai ! Viens poser tes petites fesses, là ! »
Il s’est installé dans son fauteuil et tapote le bord du bureau, face à lui. Tandis qu’il imbibe un bout de coton d’alcool à 90°, je me glisse entre ses jambes et m’appuie au bureau.
Il prend ma jambe et pose mon pied sur l’accoudoir de son siège.
Le genou très haut, mon imper s’ouvre et ma robe glisse le long de ma cuisse. Je la stoppe avant qu’elle ne découvre tout mon cuissot.
Il n’en semble pas très troublé et commence à tapoter ma griffure, tout en tenant mon mollet.
« Ca vas ? Ca ne pique pas trop ? »
« Non, ca vas. »
« Tu a de très jolies jambes. C’est agréable de te soigner. »
Je ne relève pas sa réflexion et je le laisse souffler sur ma plaie. Il prend un pansement et le colle sur mon mollet.

« Voilà ma jolie ! Un p’tit bisou et c’est fini ! »
Il se penche et embrasse tendrement mon mollet. Mais il ne s’arrête pas là. Il continu à donner de petits bisous et remonte jusqu’à mon genou.
Gênée, je n’ose rien dire, ni bouger.
Une main frôle mon mollet et l’autre tente de caresser l’intérieur de ma cuisse.
Instinctivement, je serre mes jambes.
« Non ! Monsieur Félicien ! Je vous en prie ! Il ne faut pas ! »
Mais il ne cesse pas. Il pose ses mains sur mes hanches et laisse courir sa bouche plus haut sur ma cuisse.
L’excitation me gagne et mon ventre s’échauffe. Mais la bienséance m’interdit d’aller plus loin.
Il persiste et passe d’une cuisse à l’autre.
« Humm ! Comme tu sens bon ! Comme ta peau est douce ! Humm ! »
« Monsieur Félicien, non ! Vous êtes mon beau père, je suis la fiancée de votre fils ! Vous ne pouvez pas ! Nous ne pouvons pas ! Je vous en supplie ! Non ! Il ne faut pas faire ca ! »
Je supplie, mais mes jambes se desserrent inexorablement.
Il tire un peu sur le bas de ma robe et trois boutons pression sautent, me dévoilant jusqu’au bas ventre.
Apercevant mon minou libre, il exulte.
« Hoo, Camille ! Je le savais ! Je le savais ! Tu n’étais pas là-bas pour te promener ! N’est ce pas ? »
« Je…Je… »
Il tire fort et toute ma robe s’ouvre. Nue devant mon beau père, je perds mes moyens et commence à trembler comme une feuille.
« Monsieur Félicien ! Je… »
« Tais toi ma toute belle ! Laisse-moi te déguster comme tu le mérite ! »
Il plonge son visage entre mes cuisses. Sa langue est chaude, agile, habile. Je suis vaincue.
Je me jette en arrière et m’appuie sur mes bras. Je pose mes deux pieds sur les accoudoirs. Largement ouverte, mon beau père se désaltère à ma fontaine. Ses deux mains triturent mes seins, tirent et pincent mes tétons durcit par le plaisir.
Puis doucement il remonte. Il embrasse mon ventre, joue avec mon nombril.
Il monte encore et aspire et lèche mes seins.
Soudain, sa bouche s’égare dans mon cou, aux lobes de mes oreilles et il me confie quelques secrets.
« Ho Camille ! Depuis le premier jour où je t’ai vu, je t’ai désiré ! J’étais jaloux de mon fils ! J’aurais tellement aimé te féconder moi-même ! Je me suis tellement branlé en pensant à toi, en pensant à cet instant, ou je poserai mes mains sur ton corps de rêve ! Laisse-moi, te prendre ! Laisse-moi te baiser, ma petite salope ! »
Je le repousse doucement et fais descendre la fermeture éclair de sa veste de jogging. Puis, je glisse mes mains sous l’élastique de son pantalon et je libère sa bête, prête à me perforer.
Je passe mes bras derrière son cou et je me plaque contre son poitrail velu. Mes seins s’écrasent contre lui, me renvoyant sa douce chaleur d’homme en rut.
« Tais-toi ! Embrasse-moi ! »
C’est la première fois que je le tutoie. Il a triomphé de mon insignifiante résistance. Il prend ma bouche. Nos langues se mélangent, nous échangeons nos salives, emportés dans un tourbillon de plaisir. Il me serre fort dans ses bras puissant, m’écrasant contre lui.
Je l’enserre dans mes jambes.
« Prend moi ! Prend moi fort ! »
Son gland déjà posé sur ma fente, il n’a qu’à donner un grand coup de rein pour s’enfoncer en moi.
La nature l’ayant bien équipé, il n’a aucun mal à remplir ma grotte détrempée.
Nous copulons, forniquons sans aucune pudeur.
« Mon fils ne te mérite pas ! Harggg ! Tu es une trop bonne pute ! Reste avec moi ! Je te baiserais jours et nuits. Je te couvrirais d’or et d’argent ! Hummm ! »
« Hooo ! Ouiii ! Baise-moi encore ! Plus fort ! Plus fort ! Haaaa ! Parle-moi encore ! Ouiii ! »
« Ouii ! Je te baise ! Je t’offrirais une grande maison ! Hummm ! Tu y recevras tes amants ! Hooo ! Tu te feras sauter comme une putain ! Tu veux dis ? Tu veux ? »
« Hooo ouiii ! Je le veux ! Je le veux ! Je…Je viens ! Ouiii ! Je jouissss ! Hooooo ! »
« Ho oui ! Jouis ma belle pute ! Tiens ! Prends encore ca ! Et ca ! Harggg ! Je viens aussiii ! Hummmm ! »
Secouée par la jouissance, je me couche sur le bureau, au milieu des papiers. Je me soulève, je me cambre pour le recevoir tout entier, encore et encore.
Il s’agrippe à mes seins et soudain il se raidit.
Un dernier grand coup de reins et il se libère au fond de moi. C’est comme si je recevais une décharge électrique. Un nouvel orgasme m’envahit et finit de m’anéantir.
Voilà longtemps que je n’avais pas été si haut dans le plaisir.
Monsieur Félicien s’effondre dans le fauteuil, haletant, en sueur.
Je me redresse doucement et reboutonne ma robe.
« Je dois partir. »
« Ho non, Camille ! Attend encore un peu, je ne t’ai pas montré la scierie. »
« Une autre fois monsieur Félicien. »
« Ho ! Je vois. Tu ne me tutoies plus ? »
« Non, c’est mieux ainsi. Nous avons déliré. C’était exquis, mais soyons réaliste. J’aime votre fils. J’aime Fabien. Et puis, vous avez votre vie, votre femme. »
« Ma femme. Ah, oui. Ma femme. »
Je le sens triste et désemparé. Je me sens tellement coupable.
Et puis je me rappelle d’un truc que j’avais lu sur la jouissance masculine. Il me semble que ca disait que tout de suite après, un homme pouvait se sentir comme dépressif, triste, durant quelques minutes.
Attendrie, je m’approche de lui. Je remonte la fermeture de sa veste, arrange son col. Je caresse sa joue tendrement et lui donne un petit baiser sur les lèvres.
« Vous êtes un excellent beau papa. A bientôt monsieur Félicien. »
« À bientôt, ma petite Camille. »
Je me dirige vers la porte quand :
« Camille ! Attend ! Je veux te montrer quelque chose. »
Il ouvre une porte.
« Regarde ! »
Je penche la tête dans l’autre pièce. C’est un bureau joliment décoré, très clair, très agréable.
« C’est le bureau de ma secrétaire. Tu la connais, je crois ? »
Ca ! Pour la connaitre, je la connais.
« Valérie. C’est elle qui m’a présenté Fabien.»
« Oui, c’est ca, Valérie. Et bien elle a démissionné, je ne sais pour quelle raison obscure. Je n’ai donc plus de secrétaire. Si le poste t’intéresse, il est à toi. Tu auras ce bureau, un autre dans ma maison en ville, une voiture de fonction, téléphone, treizième mois. Le travail n’est pas très compliqué, je t’expliquerais tout ca. Prends ton temps, réfléchi. »

Je rentre à la maison, le cœur en joie.
Fabien, joue à la console, l’air triste. S’en est assez ! Il est temps d’enterrer la hache de guerre.
Je vais dans la chambre, je me déshabille et je m’allonge sur le lit.
« Fabien ! Viens voir, s’il te plaît ! »
Lorsqu’il me voit ainsi, son visage s’illumine et un grand sourire se dessine sur ses lèvres.
« Chérie ? Tu…Tu me pardonne enfin ? »
« Viens mon Piou-piou ! Baise-moi ! Baise-moi fort ! »
« Ho oui, je vais te baiser ! Mais avant, je vais boire le jus de ton amant ! »
Qu’il me prenne dans les liqueurs de son père, suffira à étancher ma colère. Qu’il le boive…non, c’est trop.
« Non, Fab ! Prend moi ! Prend moi, tout de suite ! »
Il se déshabille en quatrième vitesse et se jette sur moi.
« Humm ! Tu m’as tellement manqué, mon amour. Je regrette tellement ce que j’ai fait. »
« Prend moi et n’en parlons plus. »
Il s’enfonce en moi. Je sens sa queue progresser dans la sève de son créateur, que j’ai gardé au chaud, dans mon puits d’amour.
« Humm ! C’est bonnnn ! Ta chatte est bien grasse, bien remplie ! Hummm ! »
Avoir le fils juste derrière le père. Je trouve ca d’une immoralité totale, mais ma vengeance est tellement bonne. Mon seul regret, c’est de ne pas pouvoir lui dire. Je ne veux pas de problèmes entre lui et son paternel.
Nous prenons un pied phénoménal. C’est bon de retrouver son amoureux.
Fabien est étendu près de moi, reprenant doucement le contrôle de sa respiration.
« Fab ? J’ai une grande nouvelle à t’annoncer. »
« T’es enceinte ? »
« Idiot ! Hihi ! J’ai trouvé du travail. »
« C’est super ! Et dans quoi ? »
« Comme secrétaire. »
« Un boulot de bureau ? C’est super chouette ! Mais ou ? »
« Heuu ! C’est plutôt avec qui. Je vais être la secrétaire de ton père. Je prends la place de Valérie. »
« Quoi ? Mon père ? Mais… Comment tu…. Tu l’a vu ? Tu sais qui il est ? Tu sais pourquoi Valérie est partie ? Comment te l’a-t-il dit ? Ou l’a tu…. »
Mince ! J’étais tellement contente de lui dire, que je n’ai pas préparé de mensonge. J’improvise.
« Ben ! Je l’ai rencontré durant une ballade. Il faisait un jogging. Il m’a emmené visiter la scierie et il m’a proposé le poste. Voilà ! »
« Mon père ? Faire un jogging ? Hahaha ! C’est aussi probable qu’un homme sur Mars dès demain ! Ou l’a tu rencontré ? »
Il semble très énervé et tendu. Je n’ose pas trop mentir, des fois qu’il prenne des renseignements du coté de son père.
« Heuu ! Je l’ai croisé au bois. Tu sais celui ou… »
« Ca ne m’étonne pas. Camille, mon père est un queutard. Il a eu quatre secrétaires. Il les a toutes baisées. Y comprit Valérie. C’est pour cette raison qu’elle est venue me voir. Elle n’en pouvait plus. Bon ! Ensuite, nous avons déconné. Mais c’est pas ca le problème. Mon père voudra te sauter et… »
Il s’arrête soudain et regarde mon entrecuisse. Il regarde mon vagin recracher un filet de foutre.
Il se pose des questions, j’en suis sur.
Je reprends le dessus.
« Bon ! Je vais prendre une douche. De toute façon, il m’a dit de réfléchir à sa proposition. »
Je le laisse dans le doute. Osera-t-il me poser la question ? Je nierais. Il ne le saura jamais.
Mais que bon papa soit queutard, ca, ca ne me laisse pas de marbre.
J’avoue qu’être la putain du patron me tente assez.




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