Vietnamienne Et Godemiché (Fin)

Je me lève, comme ma vietnamienne. Un léger passage des mains sur le sexe de l’autre, un simple rapide baiser. Nous nous séparons jusqu’au soir. Rendez vous à 19 heures dans la chambre. Elle part la première pour son job d’hôtesse d’accueil, je dois partir plus tard. Je m’aperçois qu’elle a oublié sa culotte. Je la ramasse, la porte à mes narines. Elle sent encore sa cyprine. Du coup je me met à bander, comme un gamin, je passe dans la salle de bain. Il y règne encore l’odeur de son parfum. Je sors ma bite pour me soulager, comme si je n’avais pas assez eu d’orgasme la nuit dernière. Je pense déjà au soir : nous allons encore baiser, je la lui mettrai partout où elle veut. En plus la femme de chambre doit venir pour s’amuser avec nous. Je ne sais rien d’elle, je ne connais que son physique habillé. Je suppose qu’elle doit aimer la baise pour nous l’avoir demandé.
Tout en ayant des images plus ou moins porno, je me masturbe en regardant les mouvements de ma main sur ma queue. Je vais très bas, presque trop, je fais toujours ainsi quand je suis très excité. J’agite ma main très vite, je lance un jet jusque sur le miroir. Je l’y laisse, la personne qui fera le ménage l’enlèvera.
Ma journée se passe comme prévue en discutions d’affaire et signatures de contrats.
Je rentre un peu plus tard que prévu. J’arrive après ma « jaune ». Le lit est défait, elle est couchée au milieu, les jambes ouvertes tournées vers la porte. J’ai une vue imprenable sur sa chatte.
- Si ce n’était pas moi ?
- J’aurai quand même montré mes trésors, tu sais là où tu me la mises cette nuit.
- N’oublie pas que la femme de chambre vient tout à l’heure et avant le porteur de repas.
- T ‘en fais pas, j’ai arrangé le coup à la réception c’est elle qui viendra.
- Tant mieux. Tu l’attends elle non?
- Bien sur je vais m’amuser avec elle, nous nous ferons du bien devant toi, toutes les deux.
- Salopes de filles, tu les aimes bien, et ma bite ?
- C’est pas la même chose.

Tu m’as bien faite jouir avec ta queue, elle me fera jouir avec sa langue et toi, tu nous enculeras ou nous baisera comme tu voudras.
Nous finissons de parler quand les repas arrivent. Cette fois ce n’est pas comme hier, nous mangeons proprement. Il est vrai que mise à part mon Indochinoise, nous sommes correctement vêtus.
Dès la dernière bouchée avalée la femme de chambre sort le chariot dans le couloir pour que nous ne soyons pas dérangés.
Les filles ne m’attendent même pas, elles sont occupées à s’embrasser, à se caresser et se peloter. Je ne sers à rien pour le moment qu’à déshabiller la fille. J’en fais autant pour moi. Je bande à nouveau comme un âne.
Je me rend compter que je ne connais même pas les prénoms de celles que je vais baiser. La Viet a bizarrement un nom peu commun : Philomène, en, raccourci c’est Filo. L’autre est mieux dotée : Claire.
Présentations faites elles se plaisent de suite. Elle sont déjà collées, seins à seins. Pourtant ce ne sont pas les seins de Filo qui sont importants. Filo, en adepte convaincue des amours entre femmes a déjà une main sur les fesses de Claire. Sa caresse ne dérange pas notre amie, elle l’apprécie au point d’en demander plus : elle reçoit une autre main, la mienne. Nous nous disputons presque pour la possession de la raie des fesses. Je laisse Filo gagner cette partie, elle caresse l’intérieur de la raie avant d’atteindre son endroit rêvé, l’anus de Claire.
Filo fait coucher Claire, elle vient sur elle comme si elle était l’homme. Elles s’embrassent sans arrêt, son pubis est contre celui de notre compagne. Elle fait des mouvement comme si elle avait une bite. Je ne sais exactement ce qu’elle lui fait, en tout cas elle gémit de plaisir. Je commence à comprendre quand je regarde de plus près, c’est le bas du pubis de Filo qui est plaqué contre le clitoris de Claire. Il faut croire que c’est efficace : Claire jouit bruyamment.
Changement de position, Filo, toujours elle, entraine Claire vers un 69.
Cette position me permet de pouvoir enfin me mêler au jeu. En attendant elles se placent confortablement, Filo dessous, Claire sur elle. Et dans la main de Filo, le gode qui a tant servi cette nuit. Les langues sont vite de la partie, elles lèchent le sexe de l’autre avec pour Filo une petite préférence pour l’anus, juste l’endroit que je visais. Elle le sait cette salope, elle l’a fait exprès pour que je me contienne un peu. Elle voit ma bite bien dure visant le trou. Alors, elle allonge une main pour prendre ma queue et lentement me guide. La salive qu’elle a laissée me permet d’entrer enfin dans le ventre d’une femme. Quel cul, mes aïeux. Quand j’y entre sa propriétaire est d’abord surprise de mon intrusion non demandée sinon désirée. Elle commence à gémir plus fort encore quand je suis au fond de son trou. Léchée et enculée, elle ne peut tenir longtemps : elle jouit encore.
- Merci mes chéris de me donner tout ça. Recommencez.
Elle n’a pas besoin de demander une telle chose, c’est naturellement que nous baisons. Quand elle demande une vraie baise avec moi, je n’hésite pas je suis sur elle rapidement. Filo est là aussi, elle l’embrasse sur la bouche. Filo se masturbe aussi en nous regardant. J’espère qu’elle ne va pas oublier mon cul. Je suis en pleine baise, en allant et venant dans la gaine plus que confortable de Claire quand je sens enfin le gode sur mon anus. Hier je n’aimais pas qu’elle m’encule, aujourd’hui j’en demanderai : pas la peine, Filo sait ce qui me plait et elle me sodomise encore une fois.
Je garde mon sang froid pour ne pas jouir.
Claire ne sait pas encore ce qui se passe, elle se contente de jouir de ma pine.
Je ne sais si Claire est étonnée, je lâche une quantité qui m’impressionne de sperme.
J’essaie de me remettre de cet orgasme, les filles continuent leur baise. Elles s’entendent de mieux en mieux à les voir faire : masturbation, léchage, 69, jambes écartées largement pout avoir les sexe qui se caressent.

Je ne sais pas comment elles font pour jouir autant. Et pourtant, petit à petit je reprends forme. Tellement qu’elles me veulent toutes la deux. Je n’ai pas deux bites. Par contre j’ai une langue qui n’a pas encore servi.
Je fais mettre Filo sur ma bouche : je la lèche partout, en face d’elle sur ma bite vient s’assoir Claire. Elles ne manquent pas de s’embrasser et de se peloter. Je sais que si par malheur pour elle Claire laissait sa place une seconde, la bouche de Filo serait là pour la remplacer. Je reçois dans la bouche les secrétions de Filo comme Claire reçoit mon sperme chargé de plaisir.
Dommage fin de la nuit : il nous fait terminer, nous nous léchons ensemble. J’ai un sexe de femme dans ma bouche et une bouche de femme autour de ma bite, les deux femmes sont pareilles que moi : un sexe différent dans la bouche et sur le sexe.
Elles se rhabillent pour partir ensemble. Sans doute pour se retrouver plus tard.
Je ne passe jamais par Satolas sans penser à Filo.

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