Camille Episode 13

(Effervescence)

C’est bientôt noël et c’est l’effervescence dans les magasins. Inutile de penser prendre sa voiture en ce samedi. Pourtant, il est grand temps de faire mes achats.
Fabien travaille, j’y vais donc seule.
Une fois n’est pas coutume, je m’y rends en bus. C’est sympa aussi, le bus.
Il y a du monde, mais j’ai eu de la chance et j’ai réussi à avoir une place assise.
Les gens debout sont si serrés que même assise, je suis gênée et je prends des coups sur l’épaule ou le bras.
Est-ce que le mot SALOPE est écrit en toute lettre sur mon front ?
Je me le demande.
C’est un jeune homme qui est debout près de moi. Il porte un pantalon ample, qui semble beaucoup trop grand pour lui, du style baggy.
Je peux affirmer qu’il ne porte rien dessous. Je le sens à la bosse qui se forme à chaque fois qu’il frôle mon bras.
Curieuse du risque qu’il prend, je fais celle qui ne se rend compte de rien.
Devant mon évidente crédulité, le garçon devient plus sur de lui. Il ne frôle plus, mais frotte son membre contre mon bras.
Ce qui n’était qu’une bosse, est devenu une pointe dans son pantalon. Ce qui me permet de dire, qu’il est très bien pourvu.
Il fait glisser sa queue de mon épaule au pli de mon coude. Je pense qu’il doit avoir une main dans la poche pour la guider ou bon lui semble.
Dans un virage, alors que son corps se penche sur moi, il se dresse sur la pointe de ses pieds et parvient à toucher ma joue.
J’imagine aisément, le fantasme qui doit tourner dans sa tête. Tout ceci m’amuse beaucoup.
Dans un autre virage, encouragé par mon manque de réaction, il recommence. Je tourne légèrement la tête et, il vient heurter la commissure de mes lèvres.
Encore un autre et son gland s’écrase sur mon sein. Surprise, je bouge un peu. Je pense lui avoir fait peur, car il ne retente pas l’exercice. Il se contente de monter et descendre sur mon bras.
Allez ! Jouons !
Je cherche un petit miroir dans mon sac et, mon tube de rouge à lèvre.

Puis, me penchant sur mon miroir, je prends soins de coincer le gland dans mon coude, tandis que je fais une retouche maquillage. Le type profite de la situation pour se masturber doucement, et aussi discrètement que possible, dans le pli de mon bras.
Il doit être comme un fou dans sa tête.
J’ai rangé mon miroir.
Merde ! Ce con m’excite. Je croise les bras.
Une aubaine pour lui, car ainsi, je lui offre une de mes mains.
Dans la seconde qui suit, je sens le gland se frotter sur le dessus de mes doigts. Il parvient même à le glisser entre mon pouce et mon index.
Il prend de gros risque, mais son état d’excitation le rend plus audacieux.
Et excité, il l’est. Mes doigts ressentent le tissu mouillé.
Je vais lui porter le coup de grâce.
Je passe ma main sous mon bras. Ainsi, personne ne verra ce que je me prépare à faire. J’attends qu’il se faufile une fois de plus dans la pince de mon pouce et de mon index. J’att un peu plus que son gland et je resserre mes doigts sur le bout de son membre.
Surprit et surement embarrassé d’être découvert, il fait un mouvement de recul. Mais c’est sans compter sur ma détermination. Je tiens bon et ne lâche pas. Mieux, je le branle sur quelques petits centimètres.
Il finit par se laisser faire, persuadé d’être tombé sur une coquine.
Pour la première fois, je lève la tête et le regarde. Il a les yeux au ciel, mi clos, la bouche entrouverte.
Il est aux anges. Pas pour longtemps.
Mes caresses portent leurs fruits. Le membre se durcit encore un peu plus et de petites contractions se font sentir.
Il tente de se dégager, mais, rapidement j’att son sexe en entier et le presse comme une éponge.
J’entends un petit gémissement, je sens les spasmes de son engin dans ma main et… son pantalon s’inonde.
Là, il est dans la panade.
Je décroise mes bras. Mon pouce est humide de sa semence qui traverse le tissu de son pantalon. Je me lève, le regarde et suce mon doigt.
Puis…
« Pardon, je descend ici ! Merci ! Bonne journée ! »
Et je lui fais un magnifique clin d’œil.
Je le laisse rouge de honte et très embarrassé. Je pense qu’il réfléchira à deux fois avant de recommencer.

Mes achats terminés, je rentre à la maison.
Epuisée, je m’écroule sur le lit.
Je ne peux m’empêcher de me masturber, en fantasmant sur ma petite aventure inattendue.
Je l’imagine sortant son membre et le frottant sur mon bras nu. Je sentirais la douceur et la chaleur de son énorme sexe, peut être même, l’humidité de sa mouille sur ma peau.
Je m’imagine tournant la tête et le prenant à pleine bouche, devant des passagers médusés et scandalisés.
Je l’imagine éjaculant dans mon décolleté, éclaboussant mon tee-shirt. Son foutre chaud, s’écoulerait lentement, entre mes seins.
Je l’imagine, s’essuyant la bite dans mes cheveux.
Il me caresserait les seins pour étaler sa semence et n’y tenant plus, il relèverait ma jupe pour me planter ses doigts dans mon vagin détrempé.
Je jouirais comme une folle, devant tout le monde, en poussant des « Hooo ! » des « Ouiiii ! » des « Encore » et des « Je viennnns ! » ou encore des « Plus vite ! Plus fort ! ».
« Et bien ! Et bien ! T’es en forme, ma petite chérie ! »
C’est Fabien. Emporté dans mon délire, je ne l’ai pas entendu rentrer.
« Oupss ! Là, tu m’as prise en flagrant délit ! Hihi ! »
« Bah ! Ce n’est vraiment pas grave, tu étais très jolie à regarder. J’aimerais bien te surprendre ainsi plus souvent. »
« Viens ! Viens me faire l’amour, mon Piou-piou à moi ! »
« Heuuu ! Camille, je suis rentré avec un pote de boulot ! Il est au salon. »
« Pouffff ! Ca ne serrait pas poli de le faire attendre ! Hihihi ! Il faudra que je te raconte ce qui m’est arrivé aujourd’hui ! Vas le rejoindre, je me change et j’arrive. »
Dommage. J’aurais bien aimé me faire sauter. Je vais rester dans un état second toute la soirée, avec ses conneries.
Hihi !
Quand je suis dans ces états là, je peux être bourrée de vice et de perversité. Le collègue de Fab pourrait bien en faire les frais.
Je passe un short en jeans ultra court, laissant apparaitre un bon quart de mes petites fesses. Puis, je noue une chemise blanche, très haut sur mon ventre, sous mes seins, sans attacher de boutons. Pieds nus, sans autre artifice sinon un peu de bleu aux yeux, je fais mon entrée dans le salon.
Les deux gars sont à la fenêtre et fument une cigarette.
« Coucou ! »
Lorsqu’il se retourne, Fab est au bord de la crise cardiaque. Son ami, lui, semble plutôt ravi du tableau que je lui offre, et me dévisage de la tête aux pieds, avec un large et franc sourire.
« Heuuu ! Kris, je te présente Camille. »
« Bonjour Camille. Vous… Tu es…ravissante. »
« Merci ! C’est gentil tout plein. Tu veux boire quelque chose ? »
Nous nous installons au salon et nous prenons l’apéro. Un long apéro.
Kris est de notre âge. Il est très sympa et nous passons un bon et agréable moment.
Je le surprends plusieurs fois à reluquer mes jambes ou mon décolleté. Mais, outre mon accoutrement, je ne l’allume pas et reste très sage. Pour le moment.
« Kris ? Tu reste diner avec nous, ok ? T’es d’accord Fab ? »
« Bien sur que je suis d’accord ! »
« Bon ! Ben, c’est gentil. Je reste avec beaucoup de plaisir. »
« Cool ! Je vous laisse un moment, je vais préparer un truc à grignoter. »
Je suis dans la cuisine depuis cinq minutes, lorsque Fabien me rejoint.
« Putain, Camille ! Tu fais chier ! Pourquoi l’a tu invité ? »
« Ben quoi ? Il est sympa ! On se marre bien, non ? »
« Oui, mais tu ne le connais pas. C’est un chiant ! Une fois un peu chaud, il ne pense qu’au cul ! »
« Hummm ! Intéressant ! »
« Ha non, Camille ! Ne déconne pas, c’est un collègue ! Je n’ai pas envi que tout mon boulot apprenne que ma nana est une… »
« Une quoi, Fab ? Une pute ? C’est ca ? »
« Heuuu…non Camille.
Ce n’est pas ce que je voulais dire. Mais nous sommes trente sept au boulot. Tu imagine un peu, trente sept de mes collègues qui voudraient te connaitre pour te baiser ! Allons ! Sois sérieuse un moment ! »
« Trente sept, moins les désistements…humm, en quatre semaines ca peut être bouclé, non ? »
« Bon ! Puisque c’est ca, je vais lui demandé de partir ! »
« Et si tu fais ca, je pars avec lui ! »
« Mais putain ! Camille ! Qu’est ce que tu cherche à la fin ! »
« Moi ? Rien ! Mais je t’interdis de me dire ce que je dois faire ou pas. N’oubli pas notre contrat. Tu es mon cocu. Et pour que tu le reste, il faut que je te trompe, et avec qui je veux ! Ok ? »
Mon pauvre Fab ramasse les assiettes et les couverts et retourne, penaud, à la salle à manger.
Je sais qu’au fond de lui, il aime ce genre de petite friction ou je le rabaisse. Je sais aussi qu’il adorerait me voir baiser avec Kris. Je ne doute pas qu’il craigne les conséquences, mais au fond de lui, ca l’excite.
Je reste sage tout le long du diner, même si notre invité me lorgne sans arrêt.
Je débarrasse et fais un café.
« Bon, les garçons ! Ca ne vous dérange pas si je décore mon sapin pendant que vous prenez un digestif ? Je voudrais que Romain le voit demain. »
« Romain ? »
« Oui, c’est notre fils. Là, il est chez mes parents. »
« C’est cool ! Ca vous laisse un peu de liberté, comme ca. »
Il dit ca en me fixant et fini sa phrase avec un clin d’œil. Fabien l’a vu, mais ne dit rien.
Moi, je ne relève pas et commence la déco de mon arbre.
J’ignore combien de verre ils ont bu, mais ils semblent bien guillerets, tout les deux.
Je termine l’habillage du sapin et me hisse sur la pointe des pieds pour mettre l’étoile tout en haut.
« Attends ! Attends ! Je vais t’aider ! »
Kris, vient à mon secours.
Lorsqu’il pose ses mains chaudes sur ma taille, je suis prise d’un grand frisson. J’aimerai qu’il les monte plus haut, jusqu’à mes seins. Qu’il défasse le nœud de ma chemise et se collant à moi, qu’il me les caresse tout en me susurrant des insanités dans le creux de l’oreille.
C’est pourtant vrai, que je suis une petite pute. Je ne pense qu’à ca.
Je ne suis pas très lourde et lui, plutôt costaud. Il me soulève sans difficulté et je fixe l’étoile.
Mais, plutôt que de me reposer, il me soulève encore plus haut et dépose un baiser sur chacune des parties de mes fesses, que laisse apparaitre mon mini short.
Nous éclatons de rire.
« Désolé ! Je n’ai pas pu résister ! Hahaha ! »
Mon Piou-piou, lui, rigole jaune. Je ne crois pas que ca l’ai beaucoup amusé.
« Bon ! Allez, bande de sales gosses ! Au lit ! Kris, tu as bu, alors pas question de reprendre le volant. Tu dors dans le canapé. Il y a des draps propres. Fabien, aide-moi à le déplier, s’il te plaît. »
Si ca irrite Fab que je dise à Kris de dormir ici, ca le rassure que je lui propose le canapé, plutôt que notre lit. Ca, c’est sur.
Nous nous disons bonne nuit et lorsque je fais la bise à notre invité, il tente de m’embrasser sur la bouche, mais, j’esquive.
Nous le laissons dans le salon et nous allons dans notre chambre.
Fab, un peu parano, ferme la porte à clef. Je me déshabille entièrement et me couche.
Fab me confie son soulagement.
« Ouf ! Tu m’a fais peur, tu sais ? »
« Ben oui, j’ai bien vu. Mais moi, je me suis bien amusée à le voir s’exciter tout seul. Mais je te comprends, tu sais. Je sais qu’il est difficile de me faire confiance. Je dois être un peu folle, non ? »
Pas de réponse.
« Je suis folle ou pas ? »
Toujours rien. Je tourne la tête vers Fabien. L’alcool l’a rattrapé et il dort comme un bien heureux.
« Ben, merde ! Et moi, alors ! »
Tout ca, c’est bien joli, mais cette soirée pleine d’allusions et de retenues m’a excité comme une puce.
« Pffff ! Je fais quoi moi, maintenant ? »
Un peu colère, je me lève.
J’att au hasard une des nuisettes accrochées au porte-manteau de la porte, et je l’enfile. C’est une de mes préférées. Elle est noire, très courte, en dentelle et sublimement transparente.
Doucement, je tourne la clef et sors de la chambre. Je vais boire un grand verre d’eau fraiche, espérant que ca me calmera.
En retournant à la chambre, je passe devant le salon. Je ne peux m’empêcher d’y jeter un coup d’œil.
Kris est torse nu, couché sur le dos et les mains sous la tête. Il est endormi. J’approche.
Je m’assois sur le bord du lit et j’ai tout le loisir de contempler son corps.
Sous son nombril, une bande de poils descend et disparait sous le drap. Il a de beaux abdos, bien dessinés. Son torse est poilu, mais pas trop. C’est un beau gosse.
Je pose doucement une main bien à plat sur son ventre. Il monte et descend au rythme de sa respiration. Sa peau est chaude et douce.
Je suis troublée et je devrais m’en aller. Mais mes pulsions sont plus fortes que moi.
Ma main descend, passe le nombril, suit la petite bande de poils et disparait aussi sous le drap.
Mes doigts s’enfoncent dans sa toison pubienne, qui crisse sous mes ongles. Je m’y attarde un peu, grattant et caressant doucement la douce fourrure.
Je vois le drap se soulever progressivement. Déformation du tissu, prometteuse d’une belle découverte.
Ma main glisse encore un peu plus bas et heurte la base de son pénis. Mes doigts impatients, l’entourent et jauge sa taille. Dieu qu’elle est belle et dure.
« Je te prends la main dans le sac ! Elle te plaît ? »
Je sursaute.
Il me regarde avec de grands yeux coquins.
« Ho ! Je t’ai réveillé ! Je suis désolée, je n’ai pas pu résister. »
« Humm ! Je voudrais être réveillé ainsi, tous les jours. Mais dis moi…et Fabien ? »
« L’idiot c’est endormi. »
« En effet, il faut être idiot de dormir lorsqu’on a une si belle femme. »
Il pose une main sur ma cuisse et la caresse doucement.
Moi, je le masturbe avec délicatesse, sous les draps.
« Tu n’a pas peur qu’il se réveille ? »
« Un peu. Mais il ne dira rien. »
« Ha bon ! Tu crois ca ? »
« Mais oui, t’inquiète pas. Il adore être cocufié. Bien qu’avec toi, ca semblait le gêner. J’ai l’impression qu’il ne te fait pas trop confiance. Il se trompe, n’est ce pas ? »
« Bien sur, chérie, qu’il se trompe. Rassure-toi, je sais tenir ma langue quand c’est nécessaire. »
Je me penche et l’embrasse longuement. Sa main a glissé de ma cuisse, à mes fesses. Il les pétrit à tour de rôle, laissant parfois un doigt s’égarer entre les deux.
Mes baisers glissent de sa bouche à son cou. De son cou à ses tétons. Je les suce et les aspire, puis y fait rouler ma langue avec adresse.
Je lèche son ventre jusqu’à son nombril et suis le rail poilu.
Ma langue touche enfin son membre qui attend ma bouche. Je le prends entre mes dents et le mordille gentiment.
« Humm ! Tu veux me manger ? »
« Ouiii ! Je vais la dévorer ! Humm ! »
Je me jette sur son gland humide et je déguste le fruit lisse et rose. Puis je laisse sa queue prendre doucement possession de ma bouche, toute entière.
Il a glissé deux doigts dans ma chatte et me branle frénétiquement.
Je jouis une première fois.
Je l’enfourche et écrase mon vagin suintant sur son visage. Sa langue impatiente, cherche déjà l’orifice, source de mon plaisir. Elle y pénètre et frétille comme un millier de petits poissons. Je m’électrise et me mets à mouiller abondamment.
Moi, je saute sur ces couilles et les gobe, une à une. Puis, à grands coups de langue, je remonte le long de sa hampe et l’enfourne à nouveau, jusque dans ma gorge, au risque de vomir.
C’est le meilleur soixante neuf qu’il m’ait été de vivre jusqu’ici.
Mais je n’en peux plus. Je veux me sentir pleine. Pleine de chair chaude et vivante.
En deux temps, trois mouvements, je m’empale sur lui. Je le prends tout entier du premier coup.
« Rhooo ! Hummm ! T’es bien serrée ! Hummm ! T’es bonne ma salope ! »
Je le chevauche comme une hystérique.
« Ouiii ! Défonce-moi ! Bousille-moi la chatte ! Ouiiii ! Hooo ! Casse-moi l’utérus ! Hummm ! C’est boooon ! »
Je suis comme une démente. Je ne contrôle pas mon langage. Je n’ai jamais parlé comme ca, en faisant l’amour. Mais là, c’est tellement fort…J’aimerais qu’on m’ouvre en deux, qu’on broie mes seins, qu’on m’encule avec un tison porté au rouge, qu’on…qu’on…qu’on me gifle, qu’on me frappe, qu’on me fasse mal…qu’on me tue.
« Camille ! Camille ! Oh ! Reste avec moi, ma puce ! Ouvre les yeux ! »
Je suis à la limite de l’évanouissement et Kris s’en est aperçut.
Il me couche sur le dos, tout en restant en moi. Il m’écrase du poids de son corps et laisse son dard planté très profond. Je le sens toucher le col de mon utérus.
Il ne bouge pas et me souffle doucement sur le visage.
« Ben dis dont ! Quand tu jouis, toi, tu ne fais pas semblant ! »
« Houlà ! Je suis montée très très haut, là ! Humm ! C’était tellement bon ! »
« T’en veux, ma salope ? Tu veux que je te pilonne, encore ? »
« Ho, oui ! Baise-moi encore ! Baise-moi fort ! Fais-moi gueuler ! »
Et c’est ce qu’il fait.
Il me lamine, me bourre, me défonce. Ce n’est plus un homme, mais un marteau pilon.
Lorsque soudain, son miel abreuve mon con en longues saccades, il place sa main sur ma bouche pour m’empêcher d’hurler.
J’ai joui si fort que j’en pleure de plaisir.
« T’es une sacrée bonne baiseuse toi ! Je ne regrette pas d’être resté ! J’adore les putes de ton genre. »
« Merci Kris. J’aime ce genre de compliment. »
Je me relève et m’essuie la chatte avec ma nuisette qui m’a été arrachée.
J’embrasse notre invité une dernière fois et retourne dans ma chambre.
Fabien dort toujours. Pourtant, je ne peux pas dire que nous ayons été discrets.
Haaa ! Les ravages de l’alcool ! Ca a parfois du bon. Hihi !
Mon Piou-piou se lève avant moi.
« Tient ? La porte est ouverte ! Je suis pourtant sur de l’avoir fermé à clef ! Tu t’es levée cette nuit ? »
« Hein ? Heuu, ben oui ! J’ai été prendre un verre d’eau. »
« Et Kris dormait ? »
« J’en sais rien moi ! Surement ! Je n’ai pas été vérifié, tu sais ! »
Je me lève à mon tour.
Kris est déjà parti.


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