Ma Canadienne À Montpellier

En descendant du tram à fleurs, Place de la Comédie à Montpellier, j’allais me diriger vers le centre ville, le Clapas. Je tourne la tête vers la terrasse du Riche, la café bien connu. Je vois une fille dans une robe fleurie avec des sandales rouges à lanières. Je ne sais ce qui m’attire, sa robe, son allure ou carrément les trésors que j’imagine sous ses vêtements que je devine très légers. Je me fais tout un cinéma : je la vois sans dessous, je rêve tout simplement. Il me semble voir dans ses yeux une lueur coquine. Je me trompe peut être, elle doit avoir une envie. Laquelle, je ne sais pas.
Elle me fait hésiter, je vais la voir ou pas….. Si j’y vais elle va me jeter, c’est certain. Je suis trop âgé pour elle, les mecs de 40 berges ne doivent pas compter pour elle. Pourtant si elle savait comme j’aime baiser. Après tout je m’en fous. J’y vais :
- Bonjour mademoiselle.
Elle me snobe, elle ne répond pas. C’est vrai qu’elle n’est pas seule à cette table. L’autre fille je m’en fous c’est elle que je veux.
- Bonjour !!
- Oui, bonjour.
- Voulez vous que je vous paye une autre consommation.
- Non merci, je voudrai aller me baigner.
- Où, à la mer ? Il faut prendre un bus, à la piscine, il faut monter dans le tram et descendre à l’arrêt place de l’Europe, à 15 minutes d’ici. En plus je connais le responsable, il nous laissera entrer sans problème et même dépasser l’heure si nous sommes en retard.
- Avec plaisir, je choisis la piscine.
Nous prenons le tram. Cette fille me parle de son pays, un pays mystérieux pour un Français moyen : le Canada. Pour moi c’est un pays fait de forêt et de neige, je suis méridional. Elle se moque gentiment de moi. Mais non le Canada c’est……………..
Nous arrivons tard mais nous arrivons. Le gardien des lieux, mon copain qui a confiance en moi me donne la clé.
- Tu connais les lieux. Ferme bien en sortant, j’ai éteint tout ce qui risque, sauf les douches où l’eau coule encore.


Nous sommes libres dans une piscine olympique.
Elle se réfugie dans un coin à l’abri pour se mettre en maillot. Si on peut appeler ainsi ce qu’elle porte qui est un véritable appel au viol. Je peux rivaliser avec elle je n’ai qu’un tout petit string.
Ma fois si la vue de mes fesses et de ma queue la gêne, elle n’a qu’à s’en aller. Je ne sais même pas si elle m’a vu. Elle plonge directement. Je me mets à l’eau sans attendre. Je la retrouve pas loin, à un ou deux mètres.
Que fait un homme presque nu devant une fille qui tient plus de la naturiste que de la fille pudique ?
Il fait ce qui arrive, il va la rejoindre pour chercher ses lèvres qu’elle refuse, comme toutes les filles la première fois.
Je connais ce genre de chipie qui cherche le mâle sans l’avouer. (elle a du être ce genre au début, je le sens) J’ai envie d'elle, de ses seins pas énormes mais qui attirent les bouches des admirateurs, des fesses qui recèlent un trésor, son cul et de son entre jambes qui a aussi plein d’autres trésors à lécher, à câliner, à caresser, à pénétrer.
J’ai tellement hâte de l’avoir pour moi que je commence à bander, même si dans l’eau à peine tiède j’ai une petite queue.
Je force à peine pour cette seconde tentative, sa langue attendait la mienne. Nous nous serrons un petit moment. Juste le temps pour elle de sentir ma pine bandée.
Nous sortons de l’eau, nous allons nous cacher là où sont les sièges. Nous cacher est un bien grand mot : si un curieux regarde bien nous sommes visibles. Mon baiser revient. Elle prend l’initiative suivante, baisse mon string, pas tellement pour voir ma queue mais pour la prendre dans sa main droite. Au fond de moi je pense que les Canadiennes sont drôlement dégelées cette année (Pire que Céline Dion et R’né !!!). Elle me veux nu : me voici. sa main commence les vas et vient. Je l’arrête vite, les hommes sont tous les mêmes, si on les branle trop, ils jouissent vite. Je m’assois à coté d'elle, ouvre ton soutien gorge ou ce qui en tient lieu.
Enfin ses seins magnifiques qui ne demandent qu’une seule chose quand elle les tend vers moi : ma bouche sur les tétons, ma langue, je les tète comme si j’étais un bébé. Je trouve qu’ils ont bon gout.
Il n’empêche que j’ai une main libre, attention je descends là en bas, où je vais poser ma main pour lui donner le grand plaisir, celui qu’elle éprouve quand elle se branle, mais en plus fort.
Elle écarte déjà les cuisses alors que je ne suis qu’à hauteur de son pubis. Je passe ma main sur lui, la peau est douce, elle a du se raser il y a peu. Mon index, lui, ne s’occupe pas tellement de ça, il va chercher une petite, toute petite chose à laquelle elle tient beaucoup : son clitoris. Je caresse son bouton, je sens bien qu’elle est au bord de l’orgasme. Je change de doigt, j’ai trouvé une autre place pour le majeur que j’entre de son con. Qu’il est doux son sexe, dedans, je ne me lasse pas de le caresser ; j’oublie son clitoris pour entrer mon autre doigt dans son cul. Mes doigts coulissent à la même vitesse dans les deux trous.
Si sa main s’est arrêtée, elle reprend ma bite pour me faire jouir, cette fois elle y est décidée, elle doit me faire juter. Elle a choisit même le lieu où je dois faire aller mon sperme : son visage. J’aurais aimé sa bouche. Sans doute la prochaine fois elle me donnera l’autorisation de jouir dans sa bouche ouverte. Sa main va très vite maintenant qu’elle aussi jouit, j’ai beau me retenir, ma prostate n’est pas d’accord, je sens un énorme plaisir qui monte dans mes reins, mes jambes mon torse : j’éjacule sur elle.

Tous les lieux cités existent réellement.

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