Libertines

Je parais une fille gentille, normale qui n‘aime que les hommes ou ma main. Je le suis dans un sens. A 23 ans, j’ai un ami avec qui tout se passe parfaitement. Je le pensais jusqu’à ce que je rencontre une copine, Babe perdue de vue depuis des années.
- Comment vas-tu ?
- Bien et toi ?
- Parfaitement depuis que je suis devenue libertine.
- Libertine ?
- Je peux te monter ce que c’est.
Curieuse j’accepte l’invitation. Je suis comme prévue chez elle l’après midi même. Elle me reçoit presque nue, enveloppée dans un « habit » vaporeux qui laisse tout voir. Je suis surprise de sa tenue, elle m’embrasse très près de la bouche.
- Tu aimes les hommes je crois ?
- Bien sur, pourquoi ?
- Je vais te faire aimer les deux sexes, tu verras, tu n’en reviendra pas. Laisse toi faire un moment. D’abord commence par te montrer nue.
C’est un ordre, je n’ai pas à discuter, Babe aussi est nue devant moi. Je l’avais vaguement aperçu déjà il y a longtemps : elle n’a pas changée, toujours aussi bien faite avec une paire de seins que j’envie car les miens ne sont pas bien gros.
Elle me fait assoir près d’elle sur un divan.
- Je vais de dire ce que je vais faire, d’abord te donner du plaisir, que tu me rendras, ensuite te faire baiser par un copain qui me baisera aussi devant toi. Si tu ne veux pas te faire baiser par un homme je te baiserai avec un gode, tu m’en diras des nouvelles.
Tout en parlant elle a posé une main sur ma cuisse, me caresse jusqu’à me faire frémir. Elle me donne un sein pour que je suce son mamelon. Je le fais uniquement parce qu’elle le demande. Je commence à prendre plaisir à son sein, j’ajoute une main sur l’autre pour le caresser aussi. Je ne sais pas ce qui me prend. Sa main monte doucement le long de ma jambes à l’intérieur de ma cuisse. Elle sait bien m’exciter.
Il me tarde que Babe arrive sur mon triangle d’où sort mon plaisir, même si en réalité mon triangle est une ligne droite depuis mon pubis jusqu’à mes fesses.


Ma bouche est toujours occupée à son sein. Sa main est enfin sur mon sexe. Elle ne fait que le découvrir sans jamais se poser à un endroit.
Je me demande ce qu’elle attend pour me caresser.
Elle arrête ma succion sur sa poitrine. Elle me caresse mon sein un instant avec un des siens, c’est excitant de sentir sa poitrine sur la mienne. Elle la descend jusqu’à venir sur ma chatte. Je me demande ce qu’elle y fait, je le devine vite, elle pose son téton contre le clitoris. C’est déroutant, c’est énervant, c’est bon aussi. C’est bien la première fois qu’une fille me caresse surtout avec un sein. Le plus important est qu’elle arrive à me faire partir dans les airs. Je jouis comme jamais. Mes cuisses écartées s’écartent encore plus. Je voudrais qu’elle me caresse aussi avec l’autre sein en même temps. Je tiens sa tête comme si je pouvais l’obliger à rester ainsi.
Je voudrai également qu’elle arrête, je ne suis pas une lesbienne. Finalement je ne sais pas ce que je veux, si je veux jouir encore.
- Je vais te faire une chose que tu ne connais pas encore, enfin je suppose.
Elle a enlevé son sein de mon sexe. C’est encore sa main qui revient là où elle était tout à l’heure. Elle caresse toute ma fente, avec un court arrêt sur l’anus. J’aurai bien aimé qu’elle mette quelque chose dedans.
Babe revient sur l’entrée du vagin et le caresse longuement avant d’y plonger deux doigts. Elle me fait jouir avec ses vas et vient.
Pour elle ce n’est pas suffisant, elle m’a fait assez jouir de façon orthodoxe. Elle dispose sa main de telle façon qu’elle puisse la mettre en entier dans le vagin. Je suis surprise par cette intrusion rare. Je n’en veux pas, sauf que je sens un plaisir mêlé à la douleur envahir mon ventre. Finalement ce n’est pas la douleur, je ressens un immense plaisir à être possédée de cette manière. Je m’entends hurler de jouissance.
Je me demande comment elle arrive à rester calme. Quand elle sort sa main, il me semble entendre un « ploc » mouillé.
C’est vrai que j’ai de la cyprine qui coule entre mes fesses.
Babe me demande maintenant la monnaie de sa pièce :
- Soit aussi libertine, tu verras comme c’est bon de faire jouir quelqu’un comme je t’ai fait.
- Mes seins ne sont pas assez gros.
- Qui ne te parle pas de tes seins, tu as autre chose, trouve le pour me faire jouir.
Je ne vois rien sur moi qui pourrai la contenter. Si j’ai mes jambes. Je la fais mettre à cheval sur une cuisse. Je sens sa chatte mouillée sur moi. Je la prends pas les fesses pour la faire avancer vers moi, je sens le frottement de ses lèvres sur ma cuisse. Je la repousse, elle commence à soupirer de plus en plus fort. J’arrive ainsi à me rejoindre au pays des orgasmes.
Je connais la suite, je pose ma main sur sa chatte. Elle écarte les jambes, je trouve toujours une humidité extraordinaire sur son sexe. Je vais branler une fille, je devient folle. Je caresse son clitoris à peine, elle jouit très vite.
Je l’embrasse sur la bouche, nos langues pactisent immédiatement. J’entre maintenant deux doigts dans son vagin : elle est chaude. Très chaude sans doute de l’excitation ou naturellement, je n’en sais rien. Je dispose mes doigts en pointe pour la pénétrer. Je ne fais pas de sentiment, même si je lui fait mal. Je l’entends gémir puis hurler vers la fin, juste avant son orgasme.
Elle est satisfaite : elle m’a converti au libertinage. Je suis même capable de lui demander ce que je veux : pas d’homme, un gode;
Elle en possède une bonne collection. J’ai le choix. Je prends un machin en verre, pas très gros, cannelé tout le long.
Elle prend le même sauf que les dimensions sont impressionnantes, on dirai la bite d’un âne.
Pour que nous soyons toujours en communion, nous nous installons bien en vue de l’autre, la vue compte autant que le plaisir lui-même. Elle écarte ses cuisses avant moi, je vois sa chatte sous un autre angle. Je suis attirée par son aspect et sa mouille. Je vois que son regard est sur ma chatte aussi.
Elle entre lentement le gode dans son vagin, elle l’enfonce jusqu’au fond pour le faire aller et venir. Elle ferme les yeux.
J’entre moi aussi le gode dans mon ventre, je le fais aller et venirs j’ai plus de plaisir avec lui qu’avec mon ami. Je jouis assez vite: Babe a déjà eu son orgasme. Elle s’approche de moi :
- Encules moi avec ton gode.
- Mets moi le tien dans le con.
Ce n’est pas commode de réaliser en même temps ces deux choses, alors Babe se couche les cuisses ouvertes pour que je vienne sur elle la sucer, d’abord.
Couchée sur son ventre, je sens ses seins. Je sors ma langue, curieuse de connaitre le gout de sa cyprine. C’est agréable, bon et excitant. Je reçois aussi sa langue dans ma chatte, elle me fait un bien fou sur le clitoris. Avant de me mettre le gode, elle me lèche l’anus, je l’ouvre un peu, sa langue rend visite à mon cul, c’est tellement bon que j’en jouis.
- C’est beau de voir ta chatte quand tu jouis. Attention je vais te baiser.
Pourquoi me dire attention, j’attends ça depuis un moment, le gros gode. Il est tellement gros qu’il me semble que c’est sa main qui entre dans le ventre. Quel plaisir immense je ressens.
J’éprouve autant de plaisir à me faire mettre qu’à lui entrer l’autre gode dans le vagin.
Nous partons presque ensemble dans un grand orgasme.
- Tu vois, être libertine c’est penser et faire l’amour tout le temps. Et l’important est d’oublier les principes moraux de la société. Jouis, fais jouir.
Ce crédo n’a rien pour me déplaire. Depuis, j’ai quitté mon ami, je cherche les femmes libérées qui comme moi aiment jouir libres de toutes contraintes.

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