Hélène Et Notre Amant

Ma copine Hélène est folle, dès qu’elle voit un bel homme elle fantasme sur lui. Elle le voit dans son lit lui faisant ce qu’elle aime. Je sais fort bien ce qu’elle aime : baiser en trio, comme moi.
Les circonstances ne se prêtent pas toujours à nos jeux coquins. La dernière fois nous avons levé ensemble Jacques, notre conquête réussie. C’est elle qui le repère dans la boite.
Il est grand, pas très costaud, par contre sa braguette est bien pleine, plus que celles des autres, signe de virilité, ce que nous aimons. Elle me le fait remarquer, va avec lui pour danser le seul pas qu’elle connaisse : le slow. Avec elle, je sais que la partie flirt est vite terminée. Elle se colle à lui pour le faire bander. Elle lève son pouce vers moi : « ce type est ok ». Je la remplace pour bien remarquer qu’il n’est pas gênée du changement de cavalière, il continu à bander. Je m’arrange
pour lui prendre la bite dans une main. Je me frotte à sa jambe pour que mon clitoris profite aussi de l’occasion.
- Tu veux nous faire l’amour avec ma copine ?
Il ne réfléchit même pas :
- Laquelle ? Celle avec qui j’étais tout à l’heure ?
- Oui, ta queue nous plait.
Nous sortons pour aller chez Hélène, c’est à deux pas. Nous nous arrêtons en route juste le temps de nous embrasser et de lui prendre encore la bite que nous sortons un peu pour être sures qu’elle bande bien.
Arrivée chez elle, Hélène ouvre aussitôt le clic-clac, ainsi pas de problème au dernier moment. Nous nous mettons à deux pour le mettre nu. Sa queue est toujours bien tendu.
- Tu as déjà baisé deux filles à la fois ?
- Bien sur, trois fois, la dernière fois la semaine dernière. Mes copains m’envient.
- Tu jouis vite ?
- Normal pour moi. Je peux vous baiser l’une après l’autre sans problème, après si vous voulez que je vous la mette au cul il faudra m’exciter. Après je bande des heures !
S’il dit vrai nous voilà parties pour une bonne nuit.


Nous allons nous déshabiller tranquillement chacune de notre coté, quand il devient le mâle:
- Pas question de jouer comme vous le faite. Embrassez vous sur la bouche, agissez en vraies filles.
D’un coté il n’a pas tord, nous ne faisons jamais rien ensemble au départ pour finir souvent à nous sucer en 69.
Ca plait bien à Hélène qui s’approche de moi pour me coller un patin. Je réponds et commence à la déshabiller. Elle se laisse faire, surtout que j’agis comme un amant : j’embrasse ses seins qui deviennent tout durs. A tant qu’y être je passe rapidement ma main sur son clitoris. Notre ami semble plus que satisfait, sa bite a des mouvements incontrôlés, il ne se touche pas, c’est bon signe.
C’est à mon tour d’être câlinée par Hélène, elle fait plus que passer sa main sur le clitoris, elle cherche mon con pour y entrer deux doigts.
Nous voilà prêtes à subir la loi, cette terrible loi de la baise. Il nous prend par la taille, nous embrasse longuement chacune, une main se pose sur nos seins. Il pelote vachement bien. Je suis mouillée comme rarement. Il me tarde qu’il me branle ou me suce, c’est comme il veut.
Il couche Hélène sur le lit, la met sur le ventre, lui fait écarter les jambes. Une main passe pour chercher son sexe, il la branle un moment. Je sais comment fait Hélène quand elle jouit. Je la vois tourner la tête dans tous les sens, elle fait ainsi trois fois. Je l’envie quand il vient sur moi.
J’écarte déjà les cuisses. Je m’attends à sa main, j’ai droit, heureusement à sa tête. Il vient me sucer le sexe en commençant par le clitoris. La vache, il suce comme un chef. Je ne peux tenir longtemps. Il me laisse jouir avant de plonger sa langue dans le con. J’en jouis encore. Il n’arrête pas là, il met sa langue dans le cul, directement sans seulement lécher l’anus au passage.
Il nous fait lever pour nous regarder et choisir la première : c’est moi qui vais passer à la casserole. Il ne me fait pas coucher, c’est lui qui se couche sur, le dos.
Sa bite me semble avoir grossit. Il me fait venir sur lui, je m’installe pour le recevoir, le bonheur à l’état pur. Je me la met lentement en laissant faire la pesanteur. J’ai des frissons quand elle rentre petit à petit dans mon trou. Je n’attends même pas qu’elle soit au fond pour remonter et cette fois en profiter
totalement. Hélène est juste à nos cotés, le jambes écartées la main sur son bouton, elle se branle devant moi comme elle ne l’avait jamais fait. Elle regarde la bite qui entre et sort, elle regarde mon sexe qui s’ouvre et se ferme. Sans rien me demander, pour la première fois que nous partousons ensemble elle me caresse le clito. Je ne peux tenir : je jouis.
Elle vient me remplacer rapidement. Je la vois monter et descendre autour du pieu de cet amant. Elle jouit cette fois encore . Lui, il n’a pas jouit encore. Je me dévoue pour le sucer : je lèche son gland et le prend le plus possible dans la bouche. Mes lèvres autour de sa bite font office d’un vagin. Ma tête va et vient, j’arrive à le faire juter dans la bouche. Je ne peux pas garder pour moi seule le sperme. J’en donne la moitié à Hélène qui aime bien ça.
Maintenant à nous de jouer pour le faire bander à nouveau. Hélène est la reine des découvertes sexys : elle prend la bite dans sa bouche, me fait avaler la moitié des burnes et pose sa main sur le cul de notre commun amant. Je sais la suite, elle va lui entrer deux doigts dans l’anus. Ca ne rate jamais : il bande à nouveau.
Je suis la première en levrette. Il vient sur moi, je sens la main d’Hélène me donner sa mouille mélangée à la mienne. J’aime quand il entre doucement dans mon ventre, il m’encule à fond, totalement. Sa queue est un peu grosse, je l’encaisse bien, j’en jouis plusieurs fois. Quand il se retire je ne vaut plus rien.
Au tour d’Hélène qui comme moi aime se faire mettre dans le cul. J’ai une idée en la voyant jouir, je passe ma main sur son clitoris et la branle, ajoutant un plaisir à l’autre.
Nous ne l’attendions pas, quand il sort du cul d’Hélène, il jouit.
Ses jets sont longs et puissants.
Le sperme s’égare sur le dos d’Hélène. Dommage. Il ne débande pas pour autant. Il vient sur moi, me baise encore deux fois, sans débander. Il en fait autant à Hélène qui n’en peut plus. Il m’encule une dernière fois, je sens son jus couler dans les boyaux.
C’était une nuit rare.

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