Warda, Salim Et Moi

Warda et moi avions depuis quelque mois une relation épistolaire basée sur le sexe et l’érotisme.
Elle avait découvert, par hasard, sur un site consacré aux histoires de sexe, mes écrits érotiques qui semblaient l’avoir beaucoup excitée et inspirée. Elle m’avait écrit une première fois pour me féliciter de la qualité de mes histoires et pour m’avouer qu’elle avait beaucoup mouillé sa culotte à leur lecture. Je lui avais répondu que j’étais très content que mes historiettes lui eussent plu et qu’elles fissent couler sa chatte. Petit à petit, elle prit goût à m’écrire pour commenter mes histoires et surtout à me parler de ses fantasmes sexuels et de ceux de son mari.
Ce dernier, son maître en amour m’avait-elle précisé, lui avait avoué, au bout de quelques années de mariage, qu’il rêvait de la voir se faire baiser – il aimait utiliser ce mot cru qui l’excitait beaucoup - par un autre homme. Il lui avait ainsi déclaré son candaulisme. Il voulait prendre son plaisir en la regardant jouir sous les coups de boutoir d’un énorme sexe appartenant à un autre homme (ou à d’autres hommes, parce que, lui affirmait-il souvent, même le fait qu’ils soient nombreux à profiter, en même temps ou séparément, de la chatte ou du cul de sa femme, allait le rendre heureux).
Initialement Warda croyait à une blague ou même à un piège machiavélique qu’il lui tendait, pour mesurer son degré de fidélité. Puis elle finit par comprendre qu’il était vraiment sérieux. Depuis, l’idée de tromper Salim s’insinuait de plus en plus dans sa tête et son imagination débridée fit le reste. Elle m’avoua dans ses correspondances qu’elle était à la recherche d’un homme jeune, beau et monté comme un étalon pour l’emmener au septième ciel. En présence ou en l’absence de son mari, qu’importe !
Longtemps, elle me raconta ses rêves et ses envies. Mais elle n’avait pas encore trouvé l’occasion – ou le courage – de sauter le pas. Elle fantasmait surtout sur d’énormes queues d’hommes un peu brutaux, qui la tireraient en force et lui rempliraient tous ses trous.

Elle cherchait la jouissance suprême ; celle qui lui ferait perdre la raison et toute notion de morale. Elle voulait vivre les aventures que les personnages - imaginaires ou réels – de mes écrits érotiques vivaient en toute liberté et sans tabous. Elle était elle-même devenue - en imagination - l’un de ces personnages que j’avais créé à son image : Wassila/Shéhérazade.
Avec le temps, je m’étais mis à fantasmer moi-même sur Warda. Je m’étais mis en tête que je pouvais être cet amant qu’elle et son mari recherchaient avec tant d’insistance et d’espoir. Elle pour vivre une aventure extraordinaire avec un homme mûr, beau, grand, fort et monté comme un étalon; un homme à qui elle s’offrira sans retenue et qui lui fera connaître les orgasmes les plus intenses, qu’elle n’avait encore jamais vécus et qui lui fera découvrir toutes les facettes interdites de l’érotisme le plus torride; un homme qui deviendrait son maître en matière d’érotisme.
Lui pour vivre enfin ce fantasme qui le taraude depuis tant d’années et qu’il s’était enfin décidé à avouer à sa femme : l’offrir à un autre homme et prendre un immense plaisir à la regarder jouir sans retenue et grimper aux rideaux sous les coups de boutoir d’un bel étalon.
Bien sûr, moi je n’avais rien de cet étalon : ni la jeunesse, ni la beauté physique, ni la puissance et la virilité, ni bien entendu la taille du sexe. Mais dans le rêve et le fantasme tout est permis ! Je me transformai donc en Apollon virtuel et me mis à rêver de tout ce que Warda et moi vivrions ensemble, sous le regard concupiscent de Salim.
Mon imagination a toujours été très fertile. Il me suffit juste de penser à un point de départ pour que l’histoire se construise sous mes yeux, comme par enchantement. Et aujourd’hui c’est une invitation de Warda à la rejoindre chez elle qui constitue ce point de départ. Voici donc l’histoire, complètement rêvée, telle qu’elle s’est imposée à mon esprit malade du corps et du cul de Warda.
…/…
Warda avait remarqué que j’étais entrain de tomber amoureux d’elle et qu’elle me faisait physiquement de l’effet.
En termes crus qu’elle me faisait bander comme un âne. Elle s’en était rendu compte au cours de nos relations épistolaires où il m’arrivait de lui signifier qu’elle me plaisait. Elle-même avait commencé à avoir quelques idées coquines me concernant. Elle aimait beaucoup mes écrits érotiques et disait qu’elle mouillait beaucoup en les lisant. Au cours de nos échanges de correspondances, elle avait compris qu’elle ne m’était pas indifférente, que je lui portais un intérêt de plus en plus grand et que je m’aventurais même, le plus souvent par allusions, sur le terrain sexuel la concernant. Cela lui donnait des idées et lui faisait parfois mouiller sa culotte.
Ce jour là – peut-être que l’excitation était encore plus forte que les autres fois – elle m’invita sans détour chez elle pour, me dit-elle, donner du plaisir à son mari. Je n’avais pas tout de suite compris la signification de cette invitation.
- Tu sais que tu me plais ! Alors pourquoi se compliquer l’existence et chercher ailleurs ce qui est juste à côté de moi. Viens me faire l’amour ! Viens me faire vivre en vrai ce que tu m’as souvent fait vivre virtuellement en tant qu’héroïne de quelques unes de tes histoires. Salim serait vraiment heureux que ça soit toi qui lui fasses vivre son fantasme de candauliste !
- Tu es vraiment sûre de toi ?
- Bien entendu que je suis sûre de moi ! Et je sais que tu me trouves bandante et que tu rêves de me soumettre à tes désirs les plus secrets! Viens ! Nous allons vivre des moments de folie ensemble !
- J’arrive !
Et voilà comment mon imagination a commencé à prendre son envol. Maintenant qu’elle a décollé, elle ne s’arrêtera qu’au moment où Warda et moi auront atteint les plus hauts sommets du paradis des amants.
J’arrivais donc chez Warda et Salim en début d’après-midi par une belle journée printanière. Ce fut Salim qui m’ouvrit la porte. Il me lança un sourire avenant, me tendit la main pour une poignée franche et amicale – je ne le connaissais pourtant pas réellement - et m’accompagna, sans rien dire, vers le salon où se trouvait Warda.
Elle était sagement assise sur le grand canapé et avait les yeux baissés; comme si elle jouait un rôle ; celui d’une fille timide qui attendait avec appréhension ce qui allait se passer. Je ne l’avais encore jamais vue auparavant. Dans nos échanges épistolaires, elle m’avait parlé de sa beauté et de son corps de vamp. Je croyais qu’elle exagérait un peu pour se mettre en valeur. Et bien non ! Elle était exactement la belle plante qu’elle me décrivait. Une femme dont le corps et l’âme était totalement tendus vers l’érotisme.
Elle était la sensualité personnifiée. Je ne crois pas qu’un homme normalement constitué pouvait la regarder sans penser à la « chose » et sans avoir envie de lui faire l’amour. Non seulement elle avait un corps qui faisait penser aux statues d’Aphrodite - la déesse grecque de l’amour – telle qu’on peut les admirer dans certains temples en Grèce, mais en plus, elle dégageait une sensualité torride qui faisait qu’elle excitait tous les hommes qui la croisaient. Salim connaissait et aimait ce côté sexuellement provocateur de sa femme. Il aimait que les hommes aient envie de Warda et s’imaginait tout ce qu’ils rêvaient de lui faire.
Sur son canapé, elle n’était vêtue que d’une légère robe d’intérieur en coton de couleur orange, qui s’arrêtait juste au dessus de ses genoux ronds et brillants et qui, malgré la position assise, ou peut-être grâce à elle, mettait en valeur ses formes généreuses. D’évidence, elle ne portait rien en dessous : aucune trace de soutien-gorge, ni de culotte ou de string. Comme d’habitude, elle était à croquer.
- Bonjour Warda ! lui lançai-je d’une voix tonitruante, pour cacher la petite gêne que j’éprouvais en ce moment.
- Bonjour Rachid ! répondit-elle d’une toute petite voix.
Décidemment me dis-je, elle est entrain de jouer à la Sainte Nitouche ! A la fille innocente qui ne se doute pas de ce qui allait lui arriver ! Elle cherchait à me provoquer pour que je l’entreprenne immédiatement, sans préliminaires.
Elle savait que je ne n’étais venu que pour cela. Sa position réservée n’était que du cinéma. Warda voulait jouer avec mes nerfs. Et bien, j’alais lui montrer que je ne jouais pas à ce jeu. J’allais l’entreprendre franchement et lui faire savoir que j’allais la
tirer aussi franchement, sans aucun détour.
Je vins me mettre à genoux devant elle, en m’insérant presque brutalement entre ses genoux que j’écartai sans ménagement. En faisant cela, le bas de sa robe se releva, dénuda ses cuisses jusqu’à leur naissance et me permit d’avoir une vue panoramique sur son jardin secret.
Et quelle vue ! Des cuisses d’une blancheur de lait qui renvoyaient la lumière crue de la belle journée printanière. On aurait dit un miroir ! Et au bout des cuisses, son merveilleux triangle d’amour, parfaitement épilé, avec des grandes lèvres superbement ourlées, dont la couleur sombre contrastait avec la blancheur de la peau de ses jambes et certainement de tout le reste de son
corps. Elles laissaient entrevoir des petites lèvres cramoisies, humides et luisantes de mouille. « Elle est déjà toute mouillée » me dis-je en moi-même. Et rien que cette idée me fit bander comme un âne. Je lançais ma main en direction du paradis. Elle entra en contact avec son pubis rond, brillant et bombé et en testa la fermeté.
Le pubis de Warda, était à l’image de tout le reste de son corps: plantureux, doux et ferme. Du velours ou de la soie ! Au contact avec sa peau, je ressentis comme une légère décharge électrique.
Une décharge très agréable qui eut le don de faire faire un saut de cabri à mon sexe qui, pourtant, était déjà bien excité et avait atteint une taille respectable. Je caressais un moment le pubis de ma belle – qui ne disait toujours rien et avait gardé les yeux baissés – avant de descendre d’un cran et m’attaquer au délice des délices : sa chatte ferme et mouillée.
Autant elle n’avait esquissé aucun geste – ni pour me repousser, ni pour exprimer son plaisir – au moment où je lui avais caressé le mont de vénus, autant elle se cabra et poussa son basin en avant au moment où ma main s’était emparée de sa vulve. Elle poussa un tout petit gémissement et prit ma main pour la frotter encore plus fortement sur ses grandes lèvres. Je sentis qu’elle avait envie que ma main pénètre toute entière entre ses grandes lèvres et aille farfouiller à l’intérieur de son
vagin. Je ne me fis pas prier pour y aller franchement ; à la hussarde.
Les yeux qu’elle avait gardés jusque-là baissés s’étaient mis soudainement à bouger dans tous les sens pour suivre, avec gourmandise, les mouvements de mes doigts entre ses cuisses. Elle n’avait pas lâché ma main et lui imposait une forte pression pour qu’elle fasse tout ce qu’elle voulait lui faire faire à l’intérieur de son vagin. Je la branlai avec force en frottant tout le long de sa paroi vaginale. J’entendais les clapotis indécents que faisaient mes doigts au contact du jus qu’elle secrétait en abondance. Il accroissait d’autant mon excitation et gonflait encore plus mon
sexe qui commençait à me faire mal.
J’avais complètement oublié la présence de Salim, le mari de Warda. Il était assis sur un des deux fauteuils du salon et regardait la scène que nous jouions, sa femme et moi, avec des yeux brillants.
Je ne savais pas encore, s’ils brillaient du bonheur de voir pour la première fois sa femme se faire tripoter par un autre homme ou s’il était simplement aussi excité que nous. J’avoue que je ne lui prêtais aucune attention. Sa femme accaparait toute mon énergie et l’envie de grimper aux rideaux avec elle était vraiment trop forte, pour que quoi que ce soit d’autre vînt me distraire de mon objectif. Je le laissais donc gamberger à ce qu’il voulait et décidais de faire jouir Warda en la branlant, avant de m’occuper vraiment de prendre mon pied avec elle.
Warda s’accrocha à ma main comme une lionne affamée s’accroche à une proie qui essaie de lui échapper. Elle lui fit faire toutes sortes de mouvements - de va-et-vient et tournants - dans sa chatte qui dégoulinait de mouille. Elle m’obligeait à y faire pénétrer trois, puis quatre, doigts et à frotter avec vigueur la paroi vaginale. Elle gigotait très fort en essayant d’accompagner les déplacements de ma main dans sa chatte, par des mouvements désordonnés de son bassin, qui montait, descendait et tournait au gré des sensations qu’elle éprouvait et dont elle voulait accen l’intensité. Je commençais même à avoir mal à la main, tant elle la maltraitait pour pouvoir lui faire faire tout ce qu’elle voulait.
Jusque là elle était restée silencieuse, n’étaient ses petits gémissements de plaisir. Mais maintenant elle se laissait aller à prononcer des mots, puis des phrases entières, le plus souvent en arabe, dont la crudité accentuait visiblement son excitation. Elle avait commencé avec une toute petite voix pour finir par hurler son plaisir en jetant de temps en temps un œil, accompagné d’un sourire coquin, vers son mari qui se trouvait derrière mon dos et que je ne pouvais donc pas voir.
- Ach’hal mlih ! (comme c’est délicieux !) Succar ! (c’est du sucre !) A’acel ! (c’est du miel !) Kima zeb ! (C’est aussi bon qu’un zob !)
D’évidence, c’était à son mari qu’elle s’adressait. Moi je n’étais que le moyen de lui faire atteindre les sommets du plaisir qu’elle destinait à Salim. Le petit sourie coquin s’était maintenant transformé en vrai sourire de bonheur. Elle était heureuse de prendre du plaisir avec un autre homme, d’en donner autant à son mari qui la regardait jouir et lui dédier sa jouissance.
- N’hab Erdjal ! (j’aime les hommes !) … N’hab z’boub koubar ! (j’adore les gros zobs !) … Chouf martek i nik‘ha radjel ! (regarde ta femme se faire tirer par un autre homme!) … Djib li radjel akhour i nik ni ! (amène moi un autre homme pour me tirer !) … Rahi djaïa ! (je vais jouir !)
Et elle eut un formidable orgasme qu’elle accompagna par un long râle de mourante et par un flot de cyprine qu’elle déversa sur ma main et qui ressortit pour s’étaler par terre, à côté du canapé sur lequel elle était toujours assise. Quand elle s’arrêta, elle me regarda dans les yeux, me fit un superbe sourire et me tendit ses magnifiques lèvres pour un baiser torride. Nous eûmes – pour la première fois – un échange buccal plein de salive que nous bûmes avec délectation.
- Merci pour ton cadeau !
Elle s’adressait à son mari qui était toujours assis derrière mon dos. Je me retournais pour voir ce qu’il était entrain de faire. Il souriait de toutes ses dents en regardant Warda dans les yeux et en tenant dans sa main droite sa queue qu’il caressait avec douceur. Il ne se branlait pas. Du moins plus maintenant, ou pas encore. Il se caressait doucement la queue – qu’il avait longue, fine et pointue – pour la maintenir en érection. Il semblait adorer cette sensation d’excitation extrême et aimait visiblement bander. C’était comme s’il savait qu’au bout de cela il y aura une délicieuse délivrance qui lui fera atteindre, à lui aussi, les sommets du plaisir érotique.
Mais moi-même j’étais dans un état extrême d’excitation. Je bandais comme un âne. Surtout que j’avais toujours sous les yeux le jardin parfumé de Warda. Elle avait gardé sa robe relevée jusqu’à la taille et me laissait voir et sa chatte encore dégoulinante et son anus qui palpitait. Je voulais la voir toute nue et lui ordonnait d’enlever complètement sa robe. Elle s’exécuta immédiatement, toute fière de me montrer son superbe corps. Superbe était un qualificatif que je trouvais bien en deçà de la réalité. Mais comme je n’en trouvais pas d’autre, je m’en contentais.
C’était Vénus que je voyais devant moi ! La Vénus callipyge que se trouvait dans un musée de Naples en Italie ! Avec ses rondeurs à vous couper le souffle ! Ses seins en forme d’obus menaçants et aussi fermes et doux que du marbre ! Malgré deux grossesses consécutives, elle avait gardé une poitrine de jeune fille ! Elle avait un tout petit ventre rond au dessus de sa taille (certainement une conséquence de ses deux accouchements) tellement mignon et tellement érotique que le seul fait de le regarder accentuait mon excitation, que je pensais être déjà au maximum. Et ses épaules rondes et brillantes ! Et son long cou fin et flexible comme une liane ! Et ses hanches rondes et larges !
Et son fessier proéminent, musculeux et ferme ! Je ne reviens pas sur ses magnifiques jambes pleines et superbement galbées ; sur son pubis aussi brillant et doux qu’un miroir ; et sur sa chatte aux grandes lèvres longues et ourlées et aux petites lèvres cramoisies, qui feraient bander un mort.
Mais à ce moment là ce furent surtout ses fesses qui attiraient mon attention et ma convoitise.
Elles étaient tellement belles que je n’arrêtais pas de les mater. Je la fis se retourner pour que je les aie sous les yeux et me mis à les palper et les caresser. C’était la douceur et la fermeté à l’état pur ! Je me rappelais que dans nos correspondances, elle m’avait affirmé qu’elle avait un superbe cul, sur lequel même ses élèves du collège fantasmaient. Je me rappelais aussi qu’elle m’avait affirmé qu’elle n’aimait pas beaucoup être sodomisée. Cela lui faisait trop mal.
Mon tempérament de prédateur sexuel venait de se réveiller. Il me fallait absolument enculer ma belle Warda. Elle se doutait bien de ce que je venais de décider de lui faire. Elle se retourna pour me regarder avec des yeux de biche apeurée, comme pour me supplier de ne pas faire cela.
- Avec Salim, tu es une lionne ! Mais aujourd’hui avec moi, tu seras chienne ! Il faudra m’obéir sans broncher ! Je vais t’enculer et je vais te faire aimer ! Tu auras un peu mal, mais tu verras que cela passera très vite. Après cela, Salim pourra prendre son plaisir dans ton cul, sans te faire mal et en te donnant même du plaisir. Mets-toi à quatre pattes par terre ! Je vais me régaler !
Warda se retourna pour regarder son mari ; elle eut un petit sourire d’agneau allant au sacrifice, puis se mit à quatre pattes par terre, la tête posée sur le canapé. J’admirai un long moment sa magnifique croupe, relevée à hauteur de mon sexe et offerte à ma concupiscence, puis je me positionnai derrière elle pour prendre possession de son anus et de son rectum. J’en bavais par avance. Je goûtais déjà à tout le plaisir que ce magnifique cul allait me donner. Surtout qu’il était presque vierge. Warda n’avait jamais laissé son mari aller jusqu’au bout de la sodomisation.
Elle avait mal et lui demandait invariablement d’arrêter. Et à chaque fois, il arrêtait et restait à l’entrée de l’anus. Pour mon bonheur à moi, qui allait ouvrir le chemin !
J’avais décidé d’y aller franchement. De l’enculer sans tenir compte de la douleur qu’elle pouvait ressentir. Je savais que ma belle Warda aimait vraiment le sexe. Qu’elle était capable de supporter la douleur des premiers instants, pour ensuite tirer le maximum de plaisir que tout acte sexuel pouvait lui apporter. J’étais certain que la sodomisation, passé les premiers moments de douleur (tout comme le dépucelage) allait lui procurer de merveilleuses sensations de plaisir.
Je me mis tout de même à enduire son anneau de mouille pour le lubrifier et faciliter l’entrée de mon engin. J’avais un engin légèrement plus long que celui de Salim, mais surtout beaucoup plus gros. Je savais qu’il aurait plus de mal à pénétrer dans le rectum de ma belle. J’enduisis donc l’anus de mouille que j’allais directement puiser dans sa chatte encore dégoulinante et essayait d’y faire pénétrer un doigt, puis deux, puis trois. A chaque fois, elle protestait que je lui faisais mal. Mais je ne tenais aucun compte de ses protestations et continuais imperturbablement à élargir l’entrée avec mes doigts. Quand je jugeais que l’anneau était assez distendu, je positionnais le gland de mon manche en son milieu et entrepris de pousser avec mon bassin pour le faire pénétrer.
L’anneau résista et ne laissa pénétrer le gland que difficilement. Warda cria qu’elle avait vraiment mal et qu’il fallait que j’arrête. Au lieu de ça, je continuais de pousser et fis pénétrer tout le gland et une partie de la hampe. Je sentis l’anneau se distendre au maximum et être sur le point de se déchirer. Je savais que je faisais très mal à ma belle. J’éprouvais un plaisir sadique à continuer. J’aimais l’entendre crier que je lui faisais très mal ; cela accentuait mon excitation et mon plaisir. Je ne tins donc pas compte de ses cris et continuai imperturbablement mon action de
démolition de l’anus de ma belle.
Je sentais l’anneau qui serrait très fort mon membre et qui tentait de résister. Puis il céda subitement. Warda poussa un énorme cri de douleur qui me fit arrêter le mouvement. J’avais même eu peur que Salim, qui était toujours assis sur le fauteuil à côté et qui suivait en bavant d’excitation la séance de que j’appliquais à son épouse, n’intervienne pour que j’arrête. Je regardais de son côté et vis qu’il souriait aux anges, toujours occupé à se caresser le zob. Je repris donc la poussée et fit pénétrer mon manche jusqu’au bout. Mes couilles vinrent cogner contre ses fesses. Je restai un long moment à l’intérieur de son rectum sans bouger, si ce n’était de tous petits mouvements circulaires au fond de son cul, pour lui faire sentir très fort la présence du monstre.
Je me dis qu’il était maintenant temps de lui faire aimer la sodomisation. J’étais déjà à l’intérieur de son cul et savais que les mouvements de va-et-vient qui allaient suivre lui feraient encore très mal. Il me fallait équilibrer la douleur de l’enculade à la hussarde par un plaisir compensateur. Je lançai ma main vers sa chatte de manière à y faire pénétrer deux doigts et entreprendre une masturbation parallèle aux va-et-vient de mon manche dans son cul. J’y parvins difficilement – ma belle était plantureuse et mon bras était juste assez long – mais je pus commencer de frotter le vagin de Warda et apaiser ainsi la douleur qu’elle ressentait dans son
arrière train.
Et puis le miracle se produisit ! Petit à petit Warda se concentra sur mes doigts dans son vagin et oublia la douleur qu’elle ressentait sous mes coups de boutoirs dans son cul. Parce que maintenant j’y allais franchement en ahanant comme un bucheron. Le plaisir que j’éprouvais à chaque aller-retour de mon manche dans ce magnifique rectum très serré, allait crescendo. J’étais au paradis !
Warda se mit à accompagner les mouvements de mon bassin par un mouvement identique, montrant qu’elle commençait à y prendre du plaisir, qu’elle cherchait à accen en poussant ses hanches vers l’arrière pour que je la pénètre encore plus loin. Et surtout elle fit une chose à laquelle je ne m’attendais pas : elle me fit retirer la main de sa chatte et la remplaça par le sienne. Elle fit pénétrer quatre doigts dans son vagin et se mit à se masturber franchement. Elle tentait même, à travers les fines parois de son vagin et de son rectum, d’attr mon zob qui allait et venait.
Elle était elle aussi aux anges. Elle reprit son soliloque de tantôt, toujours en arabe et avec des mots très crus. Des mots et des phrases qui augmentèrent encore plus mon excitation et mon envie d’exploser dans son cul si accueillant.
- N’hab zebek ! (J’adore ton zob !) … Kasserli ga’ari ! (Il m’a démoli le cul !) … dhork en’ cheddou! (Je vais l’attr !) … Ach hal m’lih zeb fi ga’ari ! (j’adore ton zob dans mon cul !) … Salim chouff kiffach i nik ni ! (Salim regarde comment il me tire !) … Chittan ! (c’est un Diable !) … M’lih zeb ! (j’adore le zob !) … M’lih ! M’lih ! (c’est bon !) … Rahi djaïa (Je vais jouir !)
Elle eut une jouissance encore plus forte que la première. Elle continua de crier très fort son plaisir en appelant son mari.
- Merci Salim ! Merci ! Merci ! C’est le paradis !
Moi je n’avais pas encore joui. Je continuais donc de pilonner le cul de ma belle, qui était maintenant affalée, exténuée et repue. Elle avait gardé ses doigts dans son vagin et moi je continuais mes allers-retours dans son rectum. Très vite je sentis venir l’orgasme. Il arriva tel un torrent déchaîné et explosa en envoyant plusieurs jets de sperme épais, visqueux et brulant à l’intérieur du cul de ma belle. Les allers-retours de mon zob expulsèrent tout le jus vers l’extérieur. Il alla se répandre par terre en de longues trainées qui descendaient lentement d’entre ses fesses. C’était un spectacle divin ! Tout ce sperme blanc, mélangé aux sucs marron secrétés par le rectum, qui dégoulinait de son anus, suivait le chemin que lui faisait le sillon des grandes lèvres et allait s’étaler sous ma belle toujours à quatre pattes.
J’admirai le spectacle un long moment. Je continuais, malgré l’orgasme que je venais d’avoir, de bander en regardant l’image que m’offrait Warda dans sa nudité indécente. J’avais encore envie d’elle. J’avais gardé mes mains sur ses hanches et l’envie de la tirer comme cela en levrette devint irrépressible.
- Je vais encore te baiser ! lui dis-je à l’oreille.
Je parlais doucement comme si j’avais peur que Salim m’entende et m’en empêche. Je me disais que lui aussi voulait sa part de plaisir et qu’il voulait prendre ma place. Je n’avais pas envie - pour le moment du moins - de la lui céder. Mais Warda avait une autre idée en tête. Elle voulait une double pénétration. Dans ses mails, elle m’avait souvent écrit qu’elle fantasmait beaucoup sur la double pénétration. Elle qui disait détester la sodomisation, rêvait d’avoir ses deux trous remplis en même temps.
- Nikou ni fi zoudj ! (Baiser-moi tous les deux !) … Enta mel goudam, houa mel lour ! (toi par devant, lui par derrière !)
Elle regarda son mari et lui envoya un sourire lumineux qui le fit se lever, son sexe toujours dans sa main droite. Warda prit les affaires en main et me demanda de m’allonger sur le canapé, de manière à ce qu’elle vienne s’empaler sur mon zob. Je ne me fis pas prier. Warda vint me chevaucher, telle une superbe amazone et fit pénétrer mon manche dans son vagin encore complètement mouillé.
Elle entreprit pendant un moment de monter et descendre sa croupe, tirant de moi des gémissements de plaisir de plus en plus sonores. Elle s’arrêta un moment à mi hauteur, tourna la tête pour regarder Salim et lui ordonna :
- Dekhal houli mel lour ! (Prends-moi par derrière !)
Salim obéit et encula – pour la première fois – sa femme. Je sentis le manche du mari au moment il croisa le mien. Je n’avais encore jamais ressenti une telle sensation. C’était divin ! Nos deux zobs se rencontraient en allant et venant dans les trous de notre belle. Je ne pouvais retenir les gémissements de plaisir qui sortaient de ma gorge. Salim aussi gémissait – moins fort que moi. Quant à Warda, elle se laissait totalement aller à son bonheur d’être ainsi baisée et n’arrêtait pas de le crier, avec ses mots crus, tellement érotiques.
- Nikou ni ! Nikou ni ! (Baisez-moi !) … Salim n’hab zebek fi ga’ari ! (Salim j’adore ton zob dans mon cul !) … Ga’ari mahloul ! (mon cul est maintenant ouvert !) … Hatchouni i heb zeb ! (ma chatte adore le zob !) … Zboub kbar ! (les gros zobs !) … Djebdou ni ! (Tirez-moi !) … N’mout a‘alla zeb ! (je suis prête à tout pour un zob !) … N’mout a’alla r’djel ! (J’adore les hommes !) … Rahi djaïa ! (Je vais jouir !)
Ce fut elle qui la première eut un orgasme. Elle poussa un long râle, lâcha une tonne de bave sur moi, et s’affaissa sur mon zob toujours en érection. Je lui fis relever le bassin de manière à ce qu’il soit à mi hauteur et que je puisse continuer d’aller et venir dans son vagin. Salim continua aussi à pilonner le cul de sa femme et poussait maintenant des han de bucheron. Nos deux zobs se croisaient en elle et leurs frottements nous procuraient un immense plaisir. Ce fut Salim qui le premier lâcha son foutre, en plusieurs jets, dans le cul de Warda, rapidement suivi par moi, qui
envoyai le peu de sperme qui me restait dans le vagin de la belle. Mon spermeressortit aussitôt et retomba sur mon ventre.
Quand nous nous séparâmes, Warda, la magnifique Warda, remarqua le reste de sperme sur moi et vint, un sourire goguenard sur les lèvres, me lécher et avaler consciencieusement tout le jus. Je me rappelais pourtant que dans ses écrits, elle affirmait ne pas aimer boire le sperme de son mari.
- C’est pour toi que je fais cela, pour te remercier du plaisir que tu viens de me donner. Je bois ton sperme avec plaisir et je te promets que je le boirais toujours si tu restes avec nous. Tu as vu comment Salim a aimé me voir jouir entre tes bras. Il ne va pas s’arrêter là ! Dès que tu partiras, il me fera encore l’amour plusieurs fois. Dis-lui que c’est vrai !
- Oui c’est parfaitement vrai ! J’ai toujours rêvé de ce que nous avons vécu aujourd’hui. Je n’ai encore jamais eu le courage de franchir le pas ! Mais depuis que ma femme correspond avec toi, je me suis dis que c’était l’occasion parfaite de vivre mes fantasmes et celui de Warda qui a toujours rêvé de me faire cocu, avec mon assentiment.
Et ce fut ainsi que notre couple à trois s’était formé et continue encore aujourd’hui, pour notre bonheur à tous.
../..
En guise de postface je ne sais pas comment Warda, à qui, par dépit ou par provocation, j’ai décidé, il y a déjà
plusieurs mois, d’envoyer cette histoire imaginaire, pleine des fantasmes érotiques du couple qu’elle forme avec Salim mélangés à mes propres fantasmes, va prendre la chose.
Je crains qu’elle ne l’ait reçue très mal et l’ait considérée comme une véritable trahison. Trahison d’un homme qu’elle considérait comme une espèce d’être virtuel, plein de sagesse et doté du don de deviner tout ce qui pouvait sexuellement lui faire plaisir. Un homme qui ne jugeait pas ses envies et ses désirs à l’aune de la morale ambiante. Un homme qui comprenait qu’une femme puisse avoir autant besoin qu’un homme de vivre librement sa sexualité.
Et surtout un homme de plume qui savait inventer pour elle et son mari des histoires érotiques qui les mettaient en scène dans des situations qu’elle ne pouvait même pas imaginer, et qui avaient le don de réveiller le désir un peu émoussé de Salim et l’amener à se comporter, pour la nuit, en vrai taureau.
J’étais surtout, et seulement, un auteur qui s’intéressait presque exclusivement à elle et qui avait le don par mes écrits, de transformer sa chatte en fontaine, tellement ce qu’elle lisait - ou que son mari lui lisait à haute voix - l’excitait. En un mot j’étais celui qui jouait le rôle du boute-en-train, chargé de préparer la jument pour la saillie réservée à l’étalon.
Je savais que je n’avais absolument aucun autre rôle à jouer; surtout pas celui de l’Apollon qu’elle appelait de ses vœux pour l’amener au septième ciel et avec qui elle allait vivre les plus belles aventures érotiques de sa vie. Celui qui allait faire pousser une superbe paire de cornes sur le front de son mari.
Malgré cela, j’ai pris la décision de lui envoyer cette histoire et de lui montrer ainsi que j’avais moi aussi des désirs et des besoins et que le plus grand d’entre eux, c’était elle ! Alea jacta est ! (le sort en est jeté) s’était écrié Jules César, au moment où il franchissait le Rubicon. C’est aussi mon cri aujourd’hui. Et advienne que pourra !
Cela fait maintenant plusieurs mois que j’ai envoyé cette histoire à Warda. Et depuis c’est le silence sur toute la ligne ! Plus aucun message ! Pas même un message de reproches ! J’ai vraiment peur d’avoir déclenché des réactions inattendues par ce geste stupide d’envoyer l’histoire à Warda – donc à son mari ! Je suis même entrain d’imaginer des scénarios catastrophes dans lesquels, Salim serait devenu un homme jaloux et qu’il est entrain de faire vivre à sa femme de très mauvais moments.
J’aimerai tant qu’il n’en soit rien et que Warda est simplement mécontente de voir en moi un homme normal – fait de chair et de sang et de passion - et non plus cet ami virtuel qu’elle appréciait beaucoup.

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