Tania

Enfin, la lettre de Tania, elle se plaint de la solitude.
« Je crois que je vais devenir folle si je dois passer une nuit sans que tu me baises. Je ne cesse de penser à ta grosse queue et à toutes les merveilles dont elle est capable, je donnerai n’importe quoi pour la sentir contre moi, la prendre dans ma main. J’en rêve même. Ca ne me suffit pas de baiser avec Pierre.
«  Et toi, penses-tu à moi et aux bons moments passés ensemble ? J’espère que tu regrettes ma présence dans ton lit, où je pourrai te sucer, jouer avec ta bite et baiser. J’ai découvert une sensation nouvelle, sans doute parce que je voulais que tu me le fasses. Tout ce qu’on me fait serait tellement plus agréable si c’était toi. Sans doute parce que tu as une queue tellement grosse. Quand je me rappelle la taille de ta queue, mon corps frissonne. J’ai même pensé à toi quand ce type m’enfilait.
« J’ai été si contente de me faire baiser par un homme (maman me surveille jour et nuit). J’ai à peine pris le temps de me déshabiller quand nous sommes montés dans sa chambre. Il voulait m’allonger sur le lit pour s’amuser un peu avant de passer aux choses sérieuses. J’étais tellement excitée que je n’ai pas pu attendre. Il a été obligé de me baiser de suite. Ca a été fantastique de sentir à nouveau un homme me baiser, c’était le première fois depuis ton départ que je m’envoyais en l’air. Il m’a baisée deux fois quand il m’a dit qu’il allait me montrer un truc nouveau.
« Il ma faite mettre sur le ventre, m’a écarté les fesses pour m’enculer. J’aime ça, tu le sais pour être venu dans mon ventre souvent par cette voie.
«  J’ai eu envie de faire pipi, il m’a accompagnée aux toilettes, il était juste en face de moi pour que je le suce. Figure toi qu’il m’a faite jouir rien quand le suçant et buvant son sperme !
«  En face de chez moi, je vois une école de dessin artistique où posent les étudiants. Quand c’est une fille qui fait la modèle tous, y compris les filles s’amusent à caresser qui une sein, qui une fesse : les filles sont celles qui touchent le plus la chatte du modèle.

Quand celui qui pose est un homme, il a droit aux mêmes égards, sauf que les filles s’attardent sur la bite qui bande bien au bout d’un instant. L’autre jour il a fallut qu’il se branle pour enfin débander. Je me suis caressée quand j’ai vu la scène : je pensais encore à ta queue.
«  Je sais que quand tu me liras tu sortiras la belle bite qui bande pour te branler. Pense à mon cul pour mieux jouir. Comme je viens de le faire en pensant à ton sexe que j’embrasse."

Bien sur je me branle, comment ne pas le faire en pensant à tout ce que nous avons fait ensemble. Pourquoi je suis parti de là bas ? Je m’en souviens : je venais de rencontrer une chinoise, une beauté rare. Le seul défaut était ses petits seins. Mais le reste, qu’elle croupe, qu’elle bas ventre encore un peu velu et surtout qu’elles lèvres.

La première fois que je l’ai vue j’ai eu envie d’elle, une envie qui m’a fait bander de suite. Bien sur j’étais placé de telle façon qu’elle s’en apercevait rapidement. La bandaison la faisait sourire, pourtant ses yeux ne quittaient pas mon entrejambe. Quand elle est venu vers moi, je savais que j’allais la baiser. Ou l’inverse, en tout cas nous allions nous emboiter.
Elle m’a pris par le bras :
- Sortons, l’air frais vous fera du bien.
- Oui, allons chez moi.
- Pas question, allons chez moi, j’y ai mes bijoux.
Je ne sais de quels bijoux elle parle, en tout cas elle est elle-même un bijou pour ma bite.
Pendant le durée du transport en taxi, elle ne cesse de parler de ses bijoux. En réalité elle n’en a qu’un seul, il est attaché autour de sa taille par un cordon de soie.
Elle me fait entrer dans ce qui lui sert de chambre. Elle est une véritable technicienne du streep-tease : elle fait durer le déshabillage très longtemps. Bien sur je n’ai pas débandé depuis que je l’ai vu. C’est vrai son bijou, une topaze juste sur sa chatte. Vrai ou faux je n’en sais rien et je m’en fiche un peu. Je reste presque indifférent à la pierre.
Je vois surtout son sexe. Je me mets à ses pieds. Elle sait ce que je lui réserve, elle ouvre ses cuisses pour que j’aille la sucer.
J’oublie la chatte de mon amante Tania. Ma langue fait aussitôt la différence entre les deux chattes, le gout n’est pas le même. Je lèche longuement le bouton. Je sais qu’elle jouit malgré son apparente immobilité. Je me relève la bite toujours en feu. J’ai besoin d’elle pour éteindre l’incendie : elle commence par prendre les couilles pour les caresser. Je bande toujours. Cette fois elle s’accroupit, ouvre la bouche. Elle prend ma queue en elle, sa langue est drôlement agile.

Nous sommes enfin couché, elle n’a pas lâché la bite. J’ai maintenant ma bouche sur sa chatte. Son odeur me rend fou. J’embrasse son clitoris, cette fois elle ne peut nier sa jouissance, son souffle est de plus en plus court. Quand elle jouit ses dents me mordrent à pleine la bite. Je reste avec la bouche au même endroit. Mes mains se débrouillent seules : je la doigte avec deux doigts dans le vagin et un autre dans le rectum. Elle me mort encore. Je change ma bouche de place, je vais lécher son anus : elle en gémit, j’entre un peu ma langue dans son cul.

Elle en oublie la bite, qu’elle remplace par sa main, pour venir embrasser mes couilles avant, elle aussi, de venir poser sa langue sur mon cul. Qu’elle sensation : nos deux anus en proie à la langue de l’autre. Je suis sur le point de jouir quand elle éclate avant moi. Je reçois sa mouille sur mon cou.
Je me retourne et la mets sur le ventre. Elle écarte ses fesses avec ses deux mains, elle mouille son petit trou avec sa cyprine.
Nous sommes prêts pour la seconde édition de notre baise. Elle tend son cul vers moi, J’ai envie d’embrasser encore l’anus avant de la sodomiser. Je suis satisfait qu’elle soit si sensuelle.
J’entre lentement dans un cul qui connait la sodomie. Elle monte et descend son arrière train quand je fais les mouvements inverses. Elle commence à gémir d’une drôle de façon.
Ses bras tendus au dessus de sa tête se tendent à tel point qu’elle laboure le drap avec ses ongles.
- Tu vas me faire encore jouir.
- Toi aussi. Tu baises bien.
Et ensemble nous jouissons, mon sperme part dans son cul.
- Dommage, j’en aurai voulu dans la bouche.
- Suces moi.
Elle revient sans ma bite, sa langue lèche ma bite encore pleine de sperme. Bien sur elle me fait bander. Trop peut-être, c’est bon de sentir sa bite qui se lève comme pour saluer.
Elle vient à cheval sur moi, cette fois c’est elle qui me veut : ma bite est avalée pas son vagin. Je suis sa monture, elle est ma cavalière. Elle n’a pas besoin d’étriers, elle mène la cadence seule, pour son propre plaisir. Elle jouit encore et du même coup me faire gicler.

C’est en rentrant chez moi que Tania sent une odeur sur mon corps, celui de la chinoise. J’ai du avouer que je venais de passer la nuit avec une autre, c’est pour ça que je suis parti. Elle le regrette maintenant.

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