Bouboule

Il me semble avoir déjà vue cette tête là. Le corps bien proportionné par contre ne me dit rien. Curieuse comme une concierge, je ne peux m’empêcher de l’aborder. Ce n’est pourtant pas mon genre, je suis du genre discrète, presque silencieuse, ce que me reproche mon époux. Ha, ce cher mari, nous en vivons des moments agréables tous deux, surtout nus dans le lit, quand là je ne me tais pas : je provoque des situations explosives pour nous deux. J’invente des jeux pour, des jeux qui finissent toujours pareillement : lui emboité dans moi. Pas ment dans le sexe, souvent juste un peu plus bas, ou bien plus haut, dans la bouche ou entre les seins pendant que mes mains s’occupent de l’entrejambes en attendant le jaillissement de semence.
Revenons à mon inconnue : je passe en revue tous les endroits où je l’ai vue, pas à l’écoles primaire, peut-être au collège ou au lycée, pas à la fac, c’est sur, pas au bureau non plus... Reste donc le collège ou le lycée. Je passe en un quart de seconde toutes les filles que j’ai vue à cette heureuse époque.
BINGO :::: C’est tout simplement Bouboule (son surnom). Du diable si je me souviens de son vrai nom. Nous étions au lycée en 2°, tout un bail.
Je ne fais ni une ni deux. J’appelle sans me priver : Bouboule. J’avais gagnée, elle se retourne : C’est bien elle.
- Comment vas-tu depuis le temps ?
- Bien et toi ?
- Je suis mariée, je travaille dans une boite et toi ?
- Je suis célibataire, toujours célibataire, je n’ai pas changé.
J’ai un éclair de souvenirs, avec elle nous nous amusions à jouer les amoureuses, nous nous embrassions sur la bouche et nous faisions en sorte, enfin elle faisait en sorte que sa langue aille dans ma bouche, c’était agréable. Une fois même, chez elle, nous nous sommes mises nues pour nous caresser. Nous avions fini en 69. La seule et unique fois de ma vie avec une fille. J’avais aimé sur le moment, ensuite je rencontrais un beau garçon qui a pris ma fleur d’une façon remarquable en me faisant jouir plus fort que Bouboule.


Ce recul dans le temps me fait penser qu’elle est resté occupée par les filles, ce qui est son droit le plus strict.
Nous nous promenons un bon moment en nous racontant. Pourtant notre ancienne intimité n’est évoquée que plus tard, alors que nous allions nous séparer. C’est elle qui remet le couvert :
- Tu te souviens de nous deux ?
- Oui, nous étions jeunes.
- C’étais drôlement bon.
- Oui, je garde un bon souvenir.
Elle me fait arrêter contre une porte, me prend dans ses bras et colle sa bouche sur la mienne. Je n’ai plus l’habitude d’une bouche de fille sur la mienne. Sa langue s’insinue. Je fais la seuls chose à ne jamais faire : je répond à la caresse de sa langue. Elle se serre un peu plus. Je sens son corps contre le mien, elle me donne des envies au bas ventre. Je sens ce serrement dans mon vagin qui indique que j’ai une envie : jouir avec elle.
Je ne pense que furtivement à mon mari. Tant pis je lui raconterai après ce que je vais faire : il en sera excité, comme moi en ce moment. Il me baisera mieux. Elle m’emmène chez elle, de l’autre coté de la ville, j’aurai largement pu partir. Non, je reste avec elle, pleine de désir pour elle.
Elle habite un de ces immeubles dans lequel on ne peut accéder qu’en ascenseur. Une fois montées dans l’engin nous recommençons nos baisers. C’est moi qui maintenant mets ma langue dans sa bouche. Elle me tient par la taille, je lui entoure simplement le cou. Je sens ses seins contre les miens à travers nos robes. Je suis tentée de les caresser maintenant. Trop tard, nous sommes à son étage.
Chez elle c’est bien un intérieur de « vielle fille », trop plein de souvenirs baroques inutiles, par contre un divan magnifique en buffle. Elle vit seule avec quelque fois une visite d’une amie, manière de rompre l’isolement en faisant l’amour qu’elle aime.
Nous ne nous embrassons qu’une seule fois. Elle s’occupe de moi, en me déshabillant lentement. Je ne porte plus qu’une paire de bas et les portes jarretelles.
Je dois avoir une allure ultra sexy. Je lui fais de l’effet, elle voudrait me faire l’amour comme ça. Pour moi il manque sa nudité. Elle comprend vite la chose quand elle est nue en 2 minutes à peine. Son corps a pris un peu de volume aux endroits où elle en manquait : la poitrine qui de petiote et devenu normale, attirante pour n’importe qu’elles lèvres. Les miennes en tout cas y sont attirées. Je suis derrière elle, j’en profite pour prendre ses seins bien beaux dans mes mains, elle me laisse faire. Je prend un plaisir inconnu à la caresser, surtout que j’agis comme un soutif. Mes pouces ne servent que pour attiser le feu des tétons.
Elle arrive à se tourner, colle ses seins contre les miens, j’attendais cet instant avec impatience. Sa poitrine fait gonfler la mienne. Je colle mon pubis contre le sien. Je la sens douce de partout. J’ai envie de ses mains sur tout mon corps. Elle me fait assoir sur le divan, prend mes jambes pour commencer à me caresser à sa façon : elle commence par prendre un gros orteil dans sa bouche, le suce, comme si c’était une bite. Elle passe sous le pied avec sa langue, puis les chevilles. Enfin elle monte sur les mollets, puis sur le genoux et pour finir entre mes cuisses, là où je suis sensible comme toutes les femmes. Les bas que je porte ne me gênent pas du tout.
Je ferme les yeux pour la suite inévitable que je souhaite. Elle passe ses mains juste en haut sur la jointure des cuisses pour arriver à mon sexe qu’elle écarte avec douceur. Aucun de ses mouvements n’est brusque. Mes petites lèvres bien mises de coté, sa langue prend le relais : elle me lèche presque mécaniquement avec beaucoup de réussite. Je me tends de plus en plus, je suis sur les talons et la tête, sans que mon corps touche le divan. Elle arrête 5 secondes pour reprendre aussitôt. Je force pour tenir : je ne veux pas jouir si vite. Il me semble qu’elle me suce depuis 2 minutes à peine. Je tends mon corps une dernière fois et en gémissant je pars dans un orgasme comme je n’en ai pratiquement jamais connu.

Je suis effondrée.
Elle me laisse le temps de récupérer avant de me demander la suite. Elle a raison je l’avais oubliée. Quand elle vient sur mes genoux, je sais ce qu’elle veut quand elle écarte les jambes : elle veux que je la masturbe, comme avant. Je me souviens maintenant de ce que je lui faisais. Je caresse ses jambes, je monte presque à sa chatte pour l’abandonner après. Je vais sur le pubis, de là je descends vers sa chatte. Cette fois mes doigts la fouillent d’abord sur la chatte et enfin j’écarte les lèvres pour arriver à son clitoris qui lui n’a pas changé, il est toujours bien long. Je le prends à deux doigts que j’agite comme elle aimait. Ca marche bien puisque je la sens jouir. Je la connais, je n’arrête pas, je la branle encore jusqu’au prochain orgasme.
Maintenant je vais lui mettre deux doigts dans le vagin. Il est trempé. J’entre plus que facilement. Je la baise carrément. Ma bouche rejoint la sienne pour un baiser qui dure tout le temps de la masturbation finale.
Nous arrêtons un instant pour qu’elle récupère. Elle avoue un secret :
- Je ne suis plus vierge.
- Je n’ai pas de bite à te mettre.
- Moi, oui, j’ai ce qu’il faut.
Elle se lève pour prendre dans un tiroir à la portée du premier venu un double gode
- Je m'en sert quand je suis avec une autre ou seule. Si je suis seule je peux me remplir des deux cotés. C'est assez bon des deux cotés. Je préfère avec une autre.
- Tu veux me baiser avec ça ?
- Bien sur tu n’as jamais essayé ?
- Si, je le fais avec mon mari.
- Tu l’encules ?
- Mais non, c’est lui qui me le met en même temps que sa bite, ça dépend de l’endroit où il a sa bite, des fois devant des fois derrière.
- Tu le veux où ?
- Pourquoi pas devant ?
Nous nous installons sur le divan qui du coup est trop court, nous allons sur le tapis et là, couchées sur le dos, elle entre un bout du gode dans mon vagin, elle le met à fond., puis se le rentre dans son trou.
Elle agite tellement bien que nous jouissons presque ensemble. Elle me demande si j’en veux encore : bien sur je suis partante pour un autre coup. Si elle veut, elle peut me le mettre dans le cul.
Elle le sort du vagin et le pose à l’entrée de l’anus. Elle le garde dans son con. Sans trop forcer elle trouve le passage pour me sodomiser. Ma première avec une fille qui sait bien m’enculer.
Nous jouissons ensemble encore une fois. Maintenant elle veut que nos clitoris soient l’un contre l’autre : c’est le véritable amour entre lesbiennes. Je veux bien essayer. Je suis surprise du résultat car si la mise en place est laborieuse, le résultat est sensationnel.
Quand j’entre à la maison j’avoue tout à mon mari qui écoute sans rien dire tout ce que j’ai à lui dire, explication des branles, des sucions, du gode et de la partie finale. Il écoute attentivement avant de se jeter sur moi. Je crains le pire : j’ai raison, le pire arrive... il me baise comme rarement !!! J’ai droit à tout ce qui se fait ou même ne se fait pas comme de me baiser la tête en bas. Je ne peux pas dire combien de fois il a joui. Je me suis réveillée le lendemain ayant mal partout, particulièrement au cul.

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