Adultère La Première Fois

La boite de nuit était à moitié vide : c’était un jour de semaine. Véronique se déhanchait au rythme saccadé de la musique. Face à elle, J-E ne la quittait pas des yeux : sa jupe serrée rouge dessinait ses formes, les deux premiers boutons de son chemisier blanc s’étaient défaits, laissant apparaitre fort joliment l’arrondi de ses seins. Cela faisait plusieurs semaines qu’il lui faisait du rentre dedans ; elle n’avait pas semblé insensible à ses avances, à ses petits mots doux où il déclarait son désir pour elle, mais n’avait pas cédé à son flirt appuyé ; tout au plus avait-il réussi à obtenir de lui faire quelques baisers dans le cou et d’effleurer son corps : elle était mariée, mais ce soir, il pensait avoir une chance !
Ils avaient dîné avec les membres du service dans un Chinois ; quelques-uns, dont J-E et Véronique, avaient décidé de poursuivre la soirée en boîte : Véronique avait abusé du saké : elle avait eu du mal à garder son équilibre jusqu’à la 4L de J-E. Arrivés dans la boite vers 11 heures et demi, elle avait pris une vodka orange : ça l’avait mise dans un état d’ivresse avancée, toute inhibition levée.
Elle se lâchait sur la piste de danse, inconsciente des regards masculins posés sur elle ; de ses mains, elle remontait sa jupe jusqu’en haut de ses cuisses ; son petit slip, également rouge, apparaissait par intermittence ; son chemisier était sorti de sa jupe, les deux derniers boutons avaient lâché, son nombril se laissait voir ; quatre à cinq hommes dont J-E la serraient de près. La pénombre se fit : un slow démarra : J-E la saisit immédiatement par la taille et la colla contre lui. Il lui prit la bouche ; elle s’abandonna ; ses mains se firent insistantes, l’une glissant sous son chemisier, l’autre remontant le long de sa cuisse ; elle se laissa faire; tout le slow, la langue de J-E tourna dans la bouche de Véronique tandis que ses mains la caressaient ; un deuxième slow débuta ; il se pencha sur elle, l’embrassa dans le cou ; sa main gauche dégrafa le soutien-gorge, elle vint se poser sur le sein libéré ;cela la fit frissonner ; sa main droite remonta jusqu’au slip, se glissa sous l’élastique : ses doigts glissèrent jusqu’au clitoris ; elle écarta les jambes pour aider J-E ; il fit glisser son slip jusqu’à mi-cuisses ; elle ne dit rien ; sa main s’aventura entre ses fesses nues ; elle frôla son anus ; elle se cambra ; ivre, Véronique avait perdu toute raison.

Elle se laissait faire par J-E ; le plaisir montait sous les caresses ; la main droite de J-E était maintenant sur son pubis ; son ventre s’avançait à sa rencontre; ses cuisses s’ouvraient ; l’accès à son sexe était facilité ; elle accueillit les doigts au fond de son ventre humide : le plaisir montait sous leur va-et-vient ; ses seins durcissaient sous l’autre main de J-E.
Ce dernier accentua ses caresses ; ses doigts entraient et sortaient du ventre trempé ; ils effleuraient au passage le clitoris gonflé ; son autre main pétrissait les seins durcis de désir ; son propre sexe lui faisait mal : il le frottait contre Véronique. Au début du troisième slow, elle jouit, sans retenue, au milieu de la piste de danse, la jupe relevée, les fesses à demi-découvertes, empalée sur la main de J-E. Celui-ci ne bougeait plus ; il attendait que son orgasme se termine. Ensuite, il sortit ses mains de dessous ses vêtements ; il la prit par le bras et l’entraina dehors, seins à moitié à l’air, jupe relevée sur les hanches, ventre et sexe exposés aux regards.
Cà n’est pas facile de faire l’amour dans une 4L ; J-E avait conduit quelques minutes avant de se garer sur une aire de repos ; il l’avait fait monter à l’arrière : il lui avait enlevé tous ses vêtements ; il avait baissé son pantalon et son slip ; il s’était assis sur le siège et l’avait fait mettre à cheval sur lui.
Véronique avait un peu froid ; les effets de l’alcool se dissipaient ; elle commençait à réaliser ce qui se passait : elle avait pris du plaisir avec un autre homme que son mari et elle se retrouvait nue, à cheval sur lui, prête à se faire sauter. Elle n’eut pas le temps de réfléchir plus avant ; son ventre fut investi par une verge chaude ; ses hanches furent saisies par deux mains vigoureuses ; elle fut soulevée puis laissée retomber sur le sexe tendu de plus en plus rapidement ; le plaisir la prit ; elle agrippa de ses mains les épaules de J-E et l’accompagna dans son rythme : à intervalles irréguliers, des phares éclairaient l’intérieur de l’habitacle ; le visage de J-E reflétait alors un désir intense ; il la retourna et la prit par derrière ; appuyée sur le siège avant, elle donnait de violent coup de reins pour s’empaler au plus profond ; il s’agrippait à ses seins; elle jouit lorsqu’il jouit en elle ; son érection ne diminua pas ; il continua ses allers et venues ; le plaisir la reprit ; elle avait chaud dans cette voiture aux vitres couvertes de buée ;elle avait envie de baise : tant pis pour son mari !; elle ouvrit la portière ; elle se dégagea de son sexe et sortit de la voiture ; elle appuya son dos sur le capot avant encore chaud ; il l’allongea et la prit s’agrippant à ses seins; de se savoir visible dans les phares des véhicules qui passaient, décupla le plaisir de Véronique ; elle eut plusieurs orgasmes à la suite sous les coups de boutoir de J-E ; le plaisir irradiait de tous les endroits de son corps que J-E stimulait : de ses seins, de ses hanches, de ses fesses, de son clitoris sur lequel le pubis de J-E se frottait, de son ventre qui gonflait pour mieux enserrer le pénis turgescent : lorsqu’enfin elle le sentit gicler au fond de son vagin, elle eut un orgasme si violent qu’elle perdit conscience.

Le froid la réveilla ; elle se dégagea de J-E et se releva ; du sperme coulait abondamment de son ventre béant ; elle s’essuya avec son slip ; elle remit sa jupe, son chemisier et sa veste ; elle monta dans la voiture ; J-E la rejoignit ; il se pencha sur elle la remercia ; elle ne put refuser le baiser mais elle n’avait plus comme idée que se mettre au lit. A deux heures du matin, J-E la déposa devant chez elle. Elle rentra discrètement dans l’appartement essayant de ne pas réveiller son mari, alla rapidement dans la salle de bain pour effacer les traces du passage de J-E ; elle se glissa épuisée dans le lit ; son mari se tourna vers elle, et sans plus attendre se mit sur elle ; sa verge pénétra sans difficulté son vagin encore gonflé et humide; il prit rapidement son plaisir et elle put enfin s’endormir.

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