Tantine Olga

Cette année là, j’allais sur mes dix-huit ans. Maman, veuve dès avant son mariage et enceinte, m’élevait donc seule. Comme elle venait de changer d’emploi, elle n’avait pas pu prendre de vacances et s’était arrangée avec une de ses tantes pour m’y envoyer passer l’été, afin que je ne sois pas seul à la maison. J’avais peu souvent vu tante Olga ; tantine, comme nous l’appelions, mais nous gardions régulièrement un contact téléphonique. A soixante cinq ans, elle était célibataire, sans , et s’était fait une joie de me recevoir pour les grandes vacances, dans un petit village du Midi où elle s’était retirée, afin de préserver sa santé, disait-elle.
Le lendemain de la fin des classes, j’ai donc pris le train, avec toutes les recommandations de maman : de rester tranquille durant le voyage, de faire très attention à mes bagages, d’être très gentil et bien poli avec tante Olga, de l’aider autant qu’il m’était possible et de ne pas me montrer trop exigent, etc, etc…
Bref, muni de tous ces bons conseils, je patientais sans bouger de ma place dans le train, bien que le voyage m’ait paru long.
Arrivé à la gare de destination, à quelques kilomètres du village en question, Tante Olga m’attendait sur le quai. Après des effusions et des embrassades copieuses, elle me fit monter dans sa petite voiture pour m’emmener chez elle. Une fois rendus, nous avons téléphoné à maman pour lui dire que j’étais bien arrivé, que tout s’était bien passé et avant de raccrocher, j’ai eu droit à une nouvelle litanie de recommandations.
Tante Olga m’a alors montré ma chambre et aidé à défaire mes bagages et ranger mon linge dans la commode laissée à ma disposition. Bref, mon arrivée se passait à merveille, Tantine était vraiment très heureuse de me recevoir et se montrait d’une extrême gentillesse, en m’offrant un verre de jus de fruit pour me désaltérer. Après quoi, elle me proposa de prendre un bon bain pour me remettre du voyage ; ce que j'ai accepté avec enthousiasme.


Dans la salle de bains, tante Olga m’a dit que je pouvais me déshabiller, tandis qu’elle faisait couler le bain. Je n’étais pas spécialement pudique, me trouvant assez souvent nu à la maison en présence de maman. Aussi, c’est sans la moindre gêne que je me suis dévêtu devant ma tante qui, d’ailleurs, ne semblait nullement faire particulièrement attention à ma nudité. C’est tout juste si elle jeta une ou deux fois un regard vers moi, pendant qu’elle s’occupait à faire couler le bain.
Lorsque ce fut prêt, elle m’aida à m’installer dans la baignoire. Ce n’est qu’après avoir ramassé mon linge et m’avoir me laissé prélasser dans l’eau chaude, qu’elle m’a demandé :
- Veux-tu que je te lave le dos, mon grand ou est-ce que ça te gêne ?
- Ça ne me gêne pas du tout, tantine. A la maison, maman me lave toujours le dos dans le bain. Ai-je répondu.
- Bien ! Alors, lèves-toi.
Je me suis mis debout dans la baignoire et tante Olga s’est attachée à bien me savonner le dos, les fesses et les cuisses. Sa façon de faire, à main nue, me procurait d’agréables sensations et j’ai eu un début d’érection. C'est alors que tantine m'a demandé :
- Tournes-toi, que je te fasse devant.
Obéissant, je me suis donc tourné face à tante Olga, nullement troublé de montrer mon sexe à demi dressé. Ma brave tante m’a alors savonné les épaules, les bras, le torse, bien comme il faut, avec des gestes souples. Mon érection se faisait de plus en plus évidente, tandis que Tantine descendait sur mon ventre, shampooinait mes poils, puis a savonné sans problème mon sexe raidi et tendu à l’extrême. Lorsqu’elle a retroussé le prépuce pour bien laver le bout du zizi, je n’ai pas pu contenir une éjaculation. Je me suis excusé d’un « Oh ! Pardon, tantine. »
Mais tante Olga n’a pas parue autrement offusquée. Elle m’a dit simplement :
- Ne t’inquiètes donc pas, mon grand. C’est une chose tout à fait normale à ton âge.
Puis elle a terminé ma toilette en me rinçant avec la pomme de douche.
Après quoi elle m’a fait sortir de la baignoire pour m’essuyer avec une grande serviette, avant de m’envoyer dans la chambre revêtir mon peignoir.
J’avais eu bien du plaisir au cours de cette très agréable toilette et j’en étais reconnaissant envers Tante Olga, l’aidant à mettre la table, puis à faire la vaisselle après le repas.
Le lendemain soir, au retour d’une longue ballade pour visiter les environs. Tantine m’a à nouveau proposé un bon bain, que j’ai accepté en demandant, un peu sournoisement si elle voulait bien venir me laver. Honnêtement, je pensais que ma bonne tante, compte tenu de l’incident de la veille, trouverait une bonne excuse pour me refuser ce service. Mais contre toute attente, tantine accepta sans l’ombre d’une réticence et comme la veille, j’ai eu droit à un savonnage complet, à main nue avec, bien entendue une éjaculation finale. Ce que tante Olga trouvait tout à fait normal, puisque je devenais un petit homme, disait-elle en souriant.
Durant encore deux jours, je demandais à tantine de me savonner dans le bain, puis l’habitude s’est ainsi faite et sans même que j’ai besoin de lui demander, ma brave tante Olga venait d’elle même, chaque jour, me savonner, dois-je dire, pour mon plus grand plaisir, puisqu’à chaque fois, sans qu’il n’y ait plus besoin d’excuse, je me laissais aller avec joie aux mains délicieuses de tante Olga, en lui barbouillant les doigts de ma semence. Quant à tantine, bien qu’elle ne disait pas mot, je suis à peu près certain qu’elle n’y trouvait pas de déplaisir, puisque jusqu’à la fin des vacances, elle m’a ainsi toiletté en prenant grand soin à chaque fois de bien me retrousser pour me laver correctement, disait-elle.
J’avoue bien sincèrement que j’ai passé cette année là les plus merveilleuses vacances de ma vie. Détail que maman n’a jamais su. Jamais je ne lui ai avoué le pourquoi d’une évidente érection, lorsqu’elle venait me laver le dos dans mon bain et que revenait à ma mémoire, l’imposant souvenir des toilettes que me faisait tantine Olga.

Bien aujourd’hui tantine Olga ne soit plus, j’en garde un émouvant souvenir.

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