Voir Rome Et ..... Baiser!

Après une journée de visite harassante de Rome Il est dix huit heures trente en gare de ‘Roma San Pietro’, nous embarquons dans le train régional qui va jusqu'au terminus de la petite ville balnéaire italienne a cent vingt kilomètres de là ou nous avons notre chambre d’hôtel climatisée, il fait une chaleur insoutenable, le quai est noir de monde, nous trouvons juste deux places en vis-à-vis avec deux femmes qui essaient de se rafraichir avec des prospectus
De temps à autre une grosse goute de sueur coule entre les seins d’Annie une large tache humide c’est formée sous, sa poitrine, ma chemise colle a ma peau, aucune climatisation ne fonctionne ! Heureusement peu à peu le wagon se vide
Une heure plus tard enfin plus que deux stations avant notre arrivée, je pense déjà à la douche qui va nous rafraichir avant de faire l’amour …
Avant dernier arrêt, nous repartons, je jette un coup d’œil, nous sommes seuls, Annie affalée, remonte sa robe tout en haut de ses cuisses écartées, seul un bout de tissus rabattu cache le string qui doit être enfondu, alanguie dans une position érotique, même en sueur elle est désirable ….. J’ai très envie de glisser ma main entre ses cuisses pour caresser son puits d’amour, mais dans ces conditions j’ai pitié, ce ne serais qu’un surplus de chaleur pour elle, bien que çà me fasse bander, je patiente !
Soudain un homme passe prés de nous, le vrai italien ‘de base’ ! jean collant, chemise blanche ouverte sur un torse bronzé et légèrement velus, lunettes de soleil sur le nez, tout comme nous d’ailleurs, l’air machos, sur de lui, le genre que ma chérie adore !
Il ne peut ignorer la tenue de ma femme ! Un temps d’hésitation, puis à l’aise vient s’assoir en face d’Annie qui n’a pas eue le temps de baisser sa robe
Les genoux du mec se retrouvent entre ceux de ma femme, je ne vois pas ses yeux mais je devine sans peine ce qu’ils matent !
Annie pousse mon coude prés du sien sur l’accoudoir, çà va ! J’ai compris !le mec lui plait, Jusqu’ou va elle aller ?, je calle ma tête sur la vitre et fait semblant de dormir mais je ne perds pas une miette de ce qui ce passe, l’italien caresse distraitement du bout des doigts la barre qui c’est formée instantanément sous son jean, la bouche de ma chérie esquisse un sourire ….

Celui-ci prenant cela comme une invite pousse ses genoux vers l’extérieur ceux de ma femme ne résistent pas, le tissus qui masquait l’entre cuisses se tend, le string détrempé dois lui apparaitre, il malaxe maintenant sans retenue sa bitte qui fait pointer sous le tissus une tache qui s’élargie
Nous somme en route vers le terminus, toujours seuls … Annie encore une fois me surprend, elle se lève et va sur la plateforme d’ouverture des portes …une fois là elle calle ses épaules dans une encoignure son corps tendus en avant elle se cramponne a une barre, les pieds écartés, offerte ….l’homme ne l’a pas perdue des yeux a bien compris qu’il peut baiser cette touriste ,se lève a son tour se dirige directement vers elle sans se soucier de ma présence, une fois devant elle il passe une main sous la robe, ma femme ouvre la bouche , je suppose que des doigts viennent de virer la culotte sur le coté, et trouvés l’entrée de la grotte brulante, dans un même temps celui-ci de son autre main fourrage sa braguette , je ne vois rien , je devine la queue bandée sortie , il s’approche au maximum entre les cuisses, plie un peu les jambes, tâtonne un moment puis d’un coup sec se redresse Annie pousse un cris de surprise ,elle vient de se faire embrocher comme une salope dans un wagon qui ralentit pour entrer en gare , je bande comme un âne !
Annie est secouée comme une poupée de chiffon, une main sur la barre l’autre sur l’épaule de son baiseur elle a de la peine a maintenir l’équilibre avec le tangage de la machine, en deux minutes elle arrive quand même a la jouissance, tandis que le mâle s’épanche au fond de sa moule
Dans un crissement métallique le train s’immobilise, l’italien se retire du ventre en feu de ma femelle, s’essuie de ses doigts sa bitte encore bandée, suintante, referme sa braguette, marmonne un ‘ gracie !arrivederci ‘ ouvre la porte puis descend et disparait !je rejoins Annie qui retire complètement sa culotte
- Au moins maintenant je sais pourquoi elle est mouillée !tiens chéri met là dans ta poche !
A peine sur le quai, à nouveau elle écarte les jambes, un gros paquet de sperme s’écrase au sol
- Ouah qu’est- ce qu’il m’a mis le rital !excuse moi chéri j’en avais trop envie, il était trop beau ! Viens vite on rentre tu va me nettoyer la chatte sous la douche !
- Tu n’a pas honte de te faire prendre comme une pute dans un train ? il aurait pus arriver des gens ?? Tu ne perds rien pour attendre, tu va voir ce que tu va prendre grosse salope !!Je vais prendre ta chatte et ton cul
- Oh oui Ho Ouiiiiiiiiiii !!!! En levrette ! Je veux en levrette !!

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