J'Étais Une Femme Respectable

Il y a des circonstances où l'on ne réagit pas comme il le faudrait, où on laisse un inconnu
s'immiscer dans sa vie. Quand on s'en aperçoit, c'est déjà trop tard... ou peut-être enfin le moment
!

Décembre 2010. Un trajet en train interrompu par les intempéries. Fin imprévue du voyage pour Paris
à 23h00 dans en gare du Mans. Peu de monde dans le TGV dans lequel j'ai déjà passé 3h. J'ai
sympathisé avec mon voisin de siège. Nous nous mettons ensemble en quête d'un hôtel. Je suis un peu
piteuse avec mes talons hauts, les pieds dans la neige, les vêtements mouillés. Après avoir manqué
de tomber deux fois j'accepte son bras.

Nous arrivons enfin à un hôtel. Il reste une chambre. Après quelques coups de fil, les hôtels
alentours s'avèrent complets aussi. Bien sûr, il me laisse la chambre. C'est une chambre à deux lits
et il me semble correct alors, je lui propose en tout bien tout honneur, de partager la chambre.

5 minutes plus tard nous sommes dans la chambre. Comme nous n'avions pas prévu de dormir à
l'extérieur, nous n'avons que nos habits sur nous et aucune affaire.

Arrivés dans la chambre nous décidons d'éteindre les lumières afin de nous déshabiller et de nous
coucher. La situation me semble complètement irréelle. Moi, femme mariée, je suis prête à me
déshabiller dans une chambre minable, avec un inconnu à mes cotés. Mais, je n'y arrive pas, restant
planté devant le lit. La lueur de la veille de la télévision finit par nous permettre de deviner la
silhouette de l'autre. Enfin surtout la mienne car je suis restée debout, pétrifiée.

Il a compris et se moque gentiment de moi. Il me dit que je n'ai rien à craindre de lui, parce qu'il
va garder son slip. J'éclate de rire nerveusement après le stress de la journée. Il continue de me
parler, de me rassurer, et finit par me guider dans mon déshabillage.

A ce moment je ne m’aperçois
pas encore que je tombe dans un piège. Je suis en train de m'effeuiller sur ces ordres. Le manteau
trempé, la jupe humide, le collant. Il me dit "maintenant tu enlèves ton chemisier" et je l'enlève
comme une fille obéissante.

Je suis en sous vêtements, debout, et vu la position du voyant de la télé, il en devine certainement
plus sur moi, que moi sur lui. Puis il me demande d'ôter mon soutif. J'aurais pu, dû, dormir avec,
me glisser sous les draps. Mais je l'ai fait. Alors il m'a demandé de faire glisser mon string. Sa
voix était devenue directive.

J'ai hésité, mais suis restée muette. Il continuait de me parler, m'encourageant, prétextant de
fausses bonnes excuses pour que je ne me couche pas avec mon string. Ses arguments sont devenus plus
crus. Il ne fallait pas que mes dessous sentent la "moule". Il ne fallait pas que je mouille mon
string avec mon 'jus de chatte". Alors je l'ai fait, consciente et inconsciente à la fois, sachant
que le point de non retour avait déjà été franchit, mais sans m'imaginer une seconde jusqu’où cela
allait me conduire.

Mes mains ont guidées mon string le long de mes cuisses. Lorsque le fond de mon string s'est décollé
de ma fente, j'ai su que j'étais mouillée, et pas par les intempéries. Lui continuait de
"m'encourager" en me traitant de "gentille fille obéissante". Normalement, je ne suis pas femme à
me laisser traiter de la sorte, mais c'était bien ce que j'étais à ce moment. J'étais nue devant un
inconnu, mon dernier habit étant tombé à mes chevilles. J'avais le feu au joues et la chatte en eau.
J'étais une autre, et une excitation nouvelle montait en moi.

"Caresse toi maintenant"

Restant immobile, il continua de me parler avec cette voix doucement autoritaire, en me guidant dans
mes mouvements, me disant d'appliquer mes mains sur mes seins, de les caresser par de grands
mouvements amples circulaires, lentement, puis de plus en plus précisément, pour finir avec la pulpe
de mes doigts, sur mes aréoles déjà gonflées.
Je me laissai guidée comme une marionnette par ses
paroles osées, sans la moindre volonté de me soustraire à sa volonté.

Il a ensuite guidé mes mains, toujours par la voix, plus bas sur mon corps. Tout en parlant il
s'était rapproché doucement, peu à peu, et il se tenait maintenant debout près de moi. Il me
chuchotait à l'oreille des insanités entre 2 ordres destinés à mes mains. Il parlait de mon odeur de
femme en chaleur, me traitait d'obsédée, de petite vicieuse. Et moi, au lieu de le gifler comme
j'aurais giflé pour moins que ça tout homme en temps normal, moi je continuai à me caresser de plus
en plus bas vers mon pubis, et je me savais si excitée, que déjà je voulais être sienne.

Mais la patience étant visiblement l'une de ses qualités, je n'avais qu'une seule issue à mon désir
: obéir, attendre, encore et encore.

Mes mains frôlaient maintenant mon pubis et je désirais et redoutais à la fois, l'instant où mes
doigts atteindraient ma chatte, que je savais ruisselante. Mais il avait d'autres projets pour le
moment. Il me fit prendre appui de mes mains sur le bord du lit. Il me fit écarter les jambes au
maximum. Il me demanda de me cambrer. Ma position était particulièrement indécente, et c'est
l'instant qu'il choisit pour allumer une lampe de chevet, dont la faible lumière suffisait à lui
dévoiler mon intimité, à m'humilier encore plus.

Il fit le tour du lit, plaça son visage à hauteur du mien, me fixa droit dans les yeux.

"Maintenant je vais te punir pour ton comportement indigne d'une femme respectable, pour ces envies
malsaines qui te vrillent le bas ventre, pour l'odeur de femelle en chaleur que tu distilles dans
cette chambre".Il ôta la ceinture de son pantalon devant mes yeux. Il me demanda d'en embrasser le
cuir avant de se relever, de me contourner et de me demander de compter les coups.

Je n'avais jamais reçu le moindre coup, je ne savais absolument pas la sensation que cela
procurerait, mais à cet instant je ne désirais rien d'autre.
Et malgré la crainte de la douleur,
malgré l'humiliation de ma condition de soumise, offerte à un inconnu, j'étais excitée comme jamais
je ne l'avais été auparavant.

Le premier coup me fit l'effet d'une douche froide. Il n'y allait pas de main morte. Puis les coups
suivants arrivèrent, les uns après les autres, de manière irrégulière, pour ne pas me permettre
d'anticiper les coups. J'avais oublié de compter les premiers à voix haute. Il me fit reprendre à
zéro et compter jusqu'à 20. J'avais le cul en feu mais ce qui m'intriguait le plus, c'était cette
irrépressible envie de me faire défoncer. Même le mot ne me serait jamais venu à l'esprit avant. Et
là, c'était la seule chose qui pouvait assouvir ma soif de sexe.

Quand sa main a touché mon sexe, ce fut comme une décharge électrique. Il m'a pénétré de ses doigts,
fouillé, encore et encore. Ma mouille si présente faisait comme un clapotis. Je haletais et
gémissais, comme une longue jouissance continue, et sa main m'emplissait toujours plus. Et j'en
voulais toujours plus, perdant la tête et la raison, oubliant toute retenue, remuant et gigotant
telle une bête, hurlant ma jouissance, balayant d'un coup tous les plaisirs que j'avais cru éprouver
avec d'autres.

Mais ce n'était que le début. Sa main dans mon sexe, céda la place à sa queue dans mon cul, et se
positionna sur mon clitoris gonflé à bloc. Un nouvel orgasme fulgurant et prolongé m'emmena encore
plus haut sur l'échelle du plaisir et me laissa totalement vidée.

La douceur de ses mains sur mon corps, ses baisers, m'ont ramenés lentement à la vie, à l'envie
d'une autre soumission, d'un abandon total, pour une jouissance hors limites.

Ma vie sexuelle ne ressemble depuis ce jour en rien à ce qu'elle a été auparavant. Je suis devenue
soumise, dans une soumission librement consentie et vécue, comblée comme jamais.

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