Dressage D'Une Chienne - Partie Iv

J’aime beaucoup décrire mes expériences sexuelles, mais j’aime encore plus les commentaires que certains et certaines peuvent m’envoyer par mail. Suite à un mail qui ne comportait que deux mots : « Dressez-moi… », je souhaitai écrire ce qui me venait à l’esprit. J’espère que ça vous plaira, même si cette fois, c’est du pur fantasme.

Le contact avait été bref. Dressez-moi…Peu de mots avec un grand effet sur moi. Je la contactai rapidement, afin de voir avec elle jusqu’où elle était prête à aller, et ce qu’elle avait déjà essayé.

-Je suis prête à tout, je veux être votre objet sexuel, votre salope. Je veux être humiliée, souillée, et utilisée…

Une réponse on ne peut plus précise.

-Très bien, demain soir en bas de chez moi. Habille-toi comme tu penses devoir être habillée, j’exige juste un bandeau sur tes yeux.
-Pourquoi un bandeau maitre ?
-Parce qu’une salope dans ton genre doit gagner le droit de voir à qui appartiennent les queues qui la bourrent. Tu devras te montrer extrêmement soumise pour gagner cette faveur, c’est compris ? Si tu essaies de tricher tu seras punies.
-Bien maitre…

Je lui donnai mon adresse et une heure, puis je la congédiai. Cette nouvelle expérience m’excitait et me rendait fébrile, des idées, des images fusaient dans ma tête. Je réfléchis à ce que je voulais lui faire subir. Fixé sur mes envies, je pris mon téléphone et appelait un ami à moi, qui tenait une boite de strip tease. Une fois passées les banalités, j’arrivai au vif du sujet.

-Dis-moi vieux, tu n’aurais pas quelques mecs qui auraient envie de passer une bonne soirée sous la main par hasard ?
-Tu sais, ici c’est plutôt les danseuses dont je m’occupe, pourquoi ?
-J’ai une chienne dans mes filets, j’ai besoin de couilles pour la mater tu vois le genre ?
-Ah ok tu vas à l’Extase ? répondit-il en ricanant.
-Ouais tout à fait, tu peux m’en trouver une bonne dizaine ? Je m’arrangerai avec la boite ils ne paieront pas l’entrée, par contre ils paieront les prestations de la pute.


-Ok j’essaie de te trouver ça pour demain soir.
-Si tu as des filles aussi n’hésites pas.
-Ah, ça c’est moins dur à trouver ! Allez, à demain j’ai hâte de voir ce que ça donne !

Le lendemain, j’attendais la soirée avec impatience. J’avais prévenu Anaïs qu’elle devait se trouver à l’Extase ce soir mais qu’elle n’en serait pas la reine cette fois. J’avais refusé de lui en dire plus, mais je lui avais promis une surprise. Je préparai mes accessoires que j’entassai sur la banquette arrière, puis j’allai l’attendre.

22h-L’interphone sonne. Je jette un œil par la fenêtre de derrière. Pouvoir voir sans être vu est tellement plaisant. Surtout dans son cas puisque la femme sur le pas de ma prote était masquée. J’allai ouvrir. Elle se tenait devant moi, bien droite.

-Entre, lui dis-je d’un ton autoritaire.

Elle fit quelques pas prudemment. Prudence inutile, il n’y avait pas de marches. Je claquai la porte derrière elle, elle tressaillit. Je fis le tour de ma future victime. Mignone, la trentaine, une vraie blonde. Elle portait des chaussures à talons tenues par des lacets qui s’enroulaient jusqu’en dessous du genou. Une jupe plissée blanche qui descendait à mi-cuisse, un débardeur blanc également moulant ses seins d’une taille très raisonnable, et un boléro noir léger par-dessus. Vraiment attirante, et sexy.

-Maitre ?
-Ta gueule.

L’injure lui fit l’effet d’un fouet, et elle se ratatina sur elle-même. L’idée qu’elle ne sache même pas avec qui elle était m’amusait beaucoup.

-A genoux.

Elle obéit aussitôt. Je relevai ses cheveux et lui passais un collier muni d’une laisse autour du cou. J’attachai ensuite ses poignets avec des menottes, et fis de même avec ses chevilles.

-Ouvre la bouche.

Elle devait s’attendre à sentir ma queue venir l’empaler. Mais ce fut la boule d’un bâillon qui vint la remplir.

-A quatre pattes, et marche salope je te guide.


Je la fis sortir par derrière, jusqu’à la voiture, marchant comme une chienne. J’ouvrir le coffre et je la hissais à l’intérieur.

-On va se promener petite chienne.

Et je fermai le coffre. Aucun signe de protestation de sa part. Elle me faisait confiance d’une manière étonnante. Je démarrai la voiture et pris la direction du sauna libertin.

Arrivé à destination, je sortis ma chienne du coffre et la trainait en laisse jusqu’à l’intérieur. Tout le monde semblait déjà arrivé. Anaïs était plus provocante que jamais, vêtue simplement d’une longue robe noire décolletée fermée par des lacets du haut jusqu’en bas des fesses, sans sous-vêtements, avec des chaussures blanches à talons hauts.

-C’est ton nouvel animal de compagnie ? me dit-elle en jetant un regard méprisant sur la chienne ?
-Tout à fait, d’ailleurs va la promener et prépare la le temps que je boive un verre.

Je lui tendis la laisse qu’elle m’arracha presque des mains. Jalouse, pensais-je avec un sourire moqueur. J’allais saluer ceux qui étaient venus pour la fête. C’était parfait, il avait ramené 12 hommes et 3 femmes. Femmes qui semblaient parfaitement bi d’ailleurs, à en juger comment elles se caressaient entre elles. Nous rejoignîmes ma salope adorée qui s’était déjà bien occupée de notre objet du soir. Attachée à la croix de Saint-andré, nue à part ses chaussures, on voyait nettement un plug sortir de son cul et la ficelle des boules de geisha sortait de sa chatte. Anaïs attendait à côté, probablement que je lui dise quoi faire.

-Je te sens jalouse, lui dis-je.
-Absolument pas, c’est juste un objet je m’en fous.
-Tout comme toi, non ?

Elle rougit et me regarda avec colère sans oser répondre. Je m’amusai beaucoup du dilemme qui grandissait en elle. Elle aimait que je la traite comme une moins que rien, mais elle détestait la rivalité. On allait s’amuser.

-Tiens, lui dis-je en lui tendant le fouet.
Tu n’as qu’à la corriger en première, fais lui comprendre que tu seras toujours la reine.

Elle s’empara du fouet et recula derrière sa victime. Les lanières ne tardèrent pas à s’abattre et à mordre les fesses de la petite salope qui se cambrait à chaque coup. Elle commença à gémir de plus en plus fort, son postérieur rougissant à vu d’œil. Quand elle décida enfin d’arrêter, on voyait nettement les traces du fouet sur son cul.

-Détache-la, lui ordonnai-je.

Elle s’exécuta, et j’en profitais pour lui claquer les fesses au passage. Elle me tendit la laisse, et j’amenai ma chienne dans la salle suivante, dédiée au sm. Je l’allongeai sur un chevalet, l’attachant avec deux cordes au-dessus et en-dessous de ses seins. Puis je liai ses poignets aux genoux puis remontai ses jambes en attachant les cordes derrière sa tête. Dans cette position, on voyait toute son intimité, ses trous déjà ouverts par les bons soins d’Anaïs.

-Mesdames, messieurs, voici votre cadeau de ce soir. Ce n’est pas une femme qui mérite notre respect, mais une salope avide de sexe qui ne demande qu’à être défoncée. Considérez-la comme une pute, elle est à vous. Ici se trouve un pot dans lequel vous mettrez vos dons pour pouvoir l’utiliser.

Je sortis une pancarte sur laquelle était marqué :

-Bucal : 5 €
-Attouchements : gratuit
-Vaginal : gratuit
-Anal : 10€

-Les tarifs sont un peu élevés pour une pute de son rang mais il faut bien payer la location de la salle mes amis.

Je retirai le bâillon de la salope.

-Qu’en penses-tu petite chienne ? Tu penses que tu vaux la peine qu’on paye pour prendre ?
-Non maitre, je ne suis là que pour ça, pour me faire baiser, être une chose.
-On peut donc tout faire de toi ?
-Oui maitre, tout ce que vous voulez…
-Vous l’avez entendu, elle est consentante ! Alors, qui veut commencer ?

Un homme et une femme s’avancèrent aussitôt.
La femme me regarda avec un petit sourire et tira un billet de 5€de son décolleté pour le mettre dans le pot. Je l’arrêtais d’un geste.

-Voyons mademoiselle, pour les femmes c’est bien entendu gratuit.
-C’est très généreux, me dit-elle en riant. Allez lèches petite salope, lança t-elle en remontant sa jupe et en écartant ses cuisses sur son visage.

A en juger par les gémissements qui s’élevèrent ensuite, elle devait obéir. L’homme me demanda du lubrifiant et retira le plug et les boules d’un coup sec. On entendit un petit cri vite étouffé par une baffe de la part de la femme qui se faisait lécher. L’homme commença à la doigter, d’abord la chatte, puis le cul. Ses trous se dilataient complètement, il faisait des allers retours avec trois doigts dans son cul, de plus en plus vite. D’un coup, il plongea sa main entière. La salope tenta de se débattre et de hurler, mais la femme sur elle resserra ses cuisses autour de sa tête et l’étouffa complètement. Le poing de l’homme avait disparu dans son cul, jusqu’au poignet. Il ressortit doucement pour rentrer de nouveau.

-Ce n’est plus un trou du cul qu’elle a c’est un tunnel ! s’exclama quelqu’un.

Des rires vinrent s’ajouter à l’humiliation de la salope. La femme se retira et on pouvait voir son visage couvert de mouille. Pendant qu’une deuxième femme prenait sa place, l’homme remplaça son poing par un énorme god. Puis il s’attaqua à ses seins, les pinçant, les tirant, vite rejoint par d’autres.

Un premier homme glissa un billet de 10€dans le pot. Sans un mot, il tira sur le plug laissant voir un trou béant, et l’enfila par le cul violemment. Il baisa la salope et sur le point de jouir, je lui tendis un seau. Il jouit à l’intérieur et retourna dans l’assistance. Il était temps de prendre les choses en mains. Je demandai à tout le monde de s’écarter et j’installai ma chienne sur un autre chevalet, sur le ventre. Sa tête fut coincée dans une guillotine, comme se mains. Ses jambes attachées écartées au pied du chevalet. Ainsi soumise, elle ne pouvait même plus bouger la tête, à parfaite hauteur pour sucer. Les hommes se mirent en file indienne devant et derrière elle, les uns pour l’enculer, les autres pour lui baiser la bouche. Coincée comme elle l’était, ils pénétraient sa bouche comme si c’était un sexe, avec des grands coups de reins. De la bave coulait abondamment sur son menton et sur les queues qui s’enchainaient dans sa bouche. Son cul se faisait bourrer en permanence, et les femmes se relayaient pour lui fouetter les fesses en même temps. L’une d’elle décida de la fister pendant qu’un homme l’enculait. Ses trois trous remplis, elle commença à hurler son plaisir, étouffé par les queues qui lui défonçaient la bouche. Je demandai aux hommes qui voulaient jouir devant de gicler sur son visage de pute, ceux de derrière jouissaient dans le seau. Mon ami avait choisit des hommes endurants, lorsque l’un avait fini, celui d’avant était déjà prêt à l’emploi, remis en forme par Anaïs et une autre femme qui n’avait pas de place autour du chevalet à grands coups de fellation. Mêmes lorsqu’elles ne suçaient pas, le spectacle de les voir en train de se lécher mutuellement semblait suffire à revigorer les hommes.

Le spectacle commençait vraiment à m’exciter, et je décidai de profiter de ma chienne. Je lui fis sucer mes boules doucement, puis je passai ma queue sur son visage pour ramasser du foutre, avant de l’enfourner dans sa bouche. J’enfonçai ma queue jusqu’au bout, ne prêtant pas attention à ses protestations. Une fois au fond je commençai les allers-retours, sa bouche déjà élargie par les autres était chaude, ouverte et accueillante. Je me vidai à l’intérieur, puis passait derrière elle. Quand l’homme qui l’enculait sorti, j’enfonçais mes doigts dans son cul. On aurait pu y faire entrer très largement deux bites. J’appelais ma petite salope d’Anaïs et lui fit lécher l’intérieur de son cul, tandis que je prenais le sien. Elle gémit sous mes coups, tandis que les hommes s’enhardissaient devant le spectacle. Quand je jugeais que tout le monde avait joui plusieurs fois, je stoppais les festivités. Je détachai la chienne et l’allongeai à même le sol. Je remplis une poire de lavement du foutre contenu dans le seau, et je la vidai dans le cul d’Anaïs.

-Va vider ton cul dans sa bouche.

Elle se dirigea à quatre pattes vers la chienne, en serrant les fesses.

-Ouvre ta bouche sale pute.

Elle obéit. Anaïs enjamba son visage et poussa sur ses fesses. Un long jet de foutre vint s’écraser dans la bouche de la salope.

-Ne recrache rien ou tu seras sévèrement punie, lui dis-je.

Je remplis à nouveau la poire, et recommençait le manège jusqu’à épuisement du seau. Anaïs semblait prendre beaucoup de plaisir à l’humilier. Sa bouche débordait abondamment malgré ses efforts.

-Avale maintenant !

Elle déglutit doucement, par petites gorgées. Le niveau du foutre dans sa bouche se mit à descendre, jusqu’à disparaitre.Je congédiais tout le monde à part Anaïs, et prit le bocal.

-Tu as ramassé un joli paquet petite pute, regarde.

Je retirai le bandeau de la salope. Elle pleurait doucement tout en étant secouée par des spasmes de plaisir.

-Tiens je n'ai pas payé ma pipe, on va dire que c'est ta part, d'accord?

Et je lui jetai un billet de 5€.

- Occupe-toi d’elle, profites-en, dis-je à Anaïs. On la ramène ce soir.

Elle me regarda avec un sourire et l’emmena dans le coin jaccuzzi. La fin de la nuit s’annonçait chaude.

Si vous avez aimé n'hésitez pas à me faire part de vos commentaires : maitre_domination@live.fr :)

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