Mon Loup

Mon loup.

Il est toujours très tard quand mon chéri rentre du boulot, du restaurant. Ma soirée solitaire a été ponctuée de messages indiscrets ; j’aime imaginer le coup de sang que je lui inflige lorsqu’il les lit à la dérobée, entre deux commandes. Ses réponses sont tout aussi scandaleuses ; je me caresse doucement en l’attendant.
Passé 1 heure, je commence à bailler, mes paupières s’alourdissent ; j’attends avec impatience le tour de clef.

Après un moment passé avec lui, la soirée commentée, je n’y tiens plus et m’affale nue sur le lit, les yeux presque clos. « …bon, je me couche là j’en peux plus. – Je te rejoints vite mon amour. »
Je me sens glisser dans le sommeil quand il se glisse à mes côtés, le corps nu et chaud. « Retourne toi, j’ai envie de me coller à tes fesses… » Sa position préférée pour s’endormir. Il place son sexe entre mes fesses, comme dans un étui, son étui. Je le sens gonfler. Ca m’excite instantanément, mais j’ai encore plus envie de Morphée. « …j’ai envie de mettre mon gland dans ton cul. – Mmmhmouaisnon… - T’inquiète pas, juste mon gland… -Pppff..oh non désolée mon amour…làaaa (bâillement)..là non… » Alors que je proteste fort mollement, il cherche ma petite entrée avec son membre de plus en plus dur. Il me glisse deux doigts dans la bouche et en recueille la salive ; l’applique sur mon sphincter et sur son gland, appuie… Je gémis. « Attends…non… » Après quelques efforts de son extrémité, je sens mon cul céder, pousse un petit miaulement. Il commence des va et vient lents, pénètre de plus en plus profondément en moi ; je me débats en poussant de petits cris à chacun de ses mouvements qui me déchire. Excité par cette résistance, il se raidit encore plus et me serre avec force contre lui, accélère ses mouvements.
« Tu veux que je me mettes sur toi ? -… bof… - Mets toi sur le dos. » Il se retire, essaye de me faire rouler, prend position entre mes jambes.

« Non… je te jure, là je suis tendue, ça me fait-.. - Ta gueule. » Une vague de chaleur presse mon cœur, j’obéis. « Allez, rentre ma bite dans ton cul. » Il se place en missionnaire sur moi, ma main cherche et trouve son pénis, je l’appuie sur ma rondelle qui se laisse transpercer à nouveau ; je gémis de douleur tout en écartant mes fesses. Il s’enfonce totalement en moi, râle de plaisir. « Je t’aime… C’est si bon de te faire l’amour. – Je t’aime aussi... »
Alors qu’il me défonce à coup de reins de plus en plus amples, j’enroule mes bras autour de sa taille crispée, savoure sa peau si douce puis la rondeur ferme de ses fesses. Il se démène sur moi. On s’embrasse à pleine bouche ; j’aime tâter ses flancs contractés à chaque assaut.
Ma chatte trempe maintenant son pubis. Partagée, je sanglote et me donne complètement. Je saisis maintenant son cul bombé et accompagne ses mouvements pour venir l’écraser en moi. Le contact de son bas ventre et de mon clitoris tendu me secoue de plaisir. Je me tortille et me frotte, gémis de plus en plus fort. Je suis complètement dilatée pour l’accueillir et le plaquer contre mon sexe.
Là, on se regarde yeux dans les yeux alors que mon orgasme déferle ; puis il colle son visage au mien, me dit qu’il est fou amoureux de moi. Encore secouée par la jouissance, je suis écrasée par son corps puissant, les jambes repliées sur mon ventre, il se met à me pénétrer avec toute sa force, me donnant des coups de butoir qui m’arrachent des cris, faisant claquer ses couilles sur mes fesses. Il ne m’a jamais baisé le cul aussi fort, j’ai l’impression qu’il pourrait me déchirer ; il bourre mon orifice avec la régularité et l’implacabilité d’une machine. Ca plait à mon esprit mais bientôt je cris pour qu’il s’arrête. Mon corps lui l’en peut plus.
« J’en peux plus ! J’en peux plus…» Il se retire dans l’instant. En sueur, le visage halluciné : « J’ai jamais cassé un cul comme je viens de casser le tien.. ! »

Je resserre les jambes, soulagée, le fait s’asseoir à califourchon sur moi.
Il branle sa superbe bite au dessus de mon ventre ; je suis à nouveau emplie de désir pour lui, mon homme, vorace comme un loup.
Après un temps à s’acharner sur son membre, il abandonne, essoufflé, et se redresse fébrilement. « Je vais me laver la bite, tu vas me finir avec ta bouche. »

Il se lève et fait les quelques pas qui le séparent de la salle de bain.


(à suivre


Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!