Le Père Vincent

En hommage à une histoire lue sur ce site. L’auteur se reconnaitra et qu’elle en soit remerciée.

Fabienne a 40 ans. Et bon sang qu’elle est belle. Une blonde douce, une silhouette parfaite, des fesses qu’on suit du regard quand elle marche dans les rues du village en petite robe d’été, un visage doux… Une mère de famille qui a su garder toute sa féminité certes, mais aussi sa beauté. Ses 2 garçons ont la vingtaine. Et leurs potes doivent salement fantasmer depuis toujours !
Pourtant, elle n’aguiche absolument pas. Gentille avec tout le monde. Amoureuse de son mari. La perfection, vous connaissez ?
Ce jour là, le père Vincent , un vieux du village passait par là. Lui, il a tendance à égarer ses mains. Son truc, pas bien méchant, c’est pincer les fesses à portée !!! Pour vous dire, que les fesses soient féminines ou masculines, c’est pareil !! Bon, il lui manque une ou deux dents devant et le béret (le quitte-t’il la nuit ???) bien posé au milieu de la tête complète le personnage. Le pantalon tenu par des bretelles qui arrivent presque sous ses épaules…j’oubliais !
Et voila la Fabienne qui taille ses roses au dessus du muret. Elle adore les fleurs, c’est son droit ? Bien sur elle est penchée en avant et bien sur, depuis la ruelle, le spectacle est charmant. Deux jolies jambes, découvertes un peu plus haut qu’à mi-cuisse… splendide. Et très tentant. Surtout pour mon père Vincent qui passe par là…
Il avance droit vers son objectif et pose deux mains conquérantes sur le postérieur sans défense. Fabienne se retient au muret et rale « père Vincent, ça suffit ! » Mais le vieux n’entend pas s’arrêter là. Le voila qui s’appuie contre cette croupe tant de fois admirée. Et sa main caresse en tremblant.
Est-ce l’émoi qu’elle sent chez le Vieux ? Est-ce qu’il arrive juste quand il faut ? Elle n’arrive pas à se dégager, en plus. Et le Vieux qui insiste, sa main à saisi la robe et la remonte !!
« père Vincent, ça va barder , arrêtez tout de suite »
Et le Vieux qui répond :
- Tais toi donc, tu vas vouère.

J’vas te gater !
- Ça va pas ? répond-elle, sans toutefois esquisser le moindre geste !
- C’est que ton cul, y m’plait bien t’sais !!
L’autre main a aussi saisi la robe qui se retrouve troussée et repliée sur les reins de la ménagère… Les pognes saisissent les deux fesses, en maquignon plus qu’en amant, et les pressent, comme pour les soupeser.
« Mon dieu que c’est bon, je suis barjot, faut que je l’arrête… » pense Fabienne tout en laissant vincent malaxer hardiment ses deux fesses.
Elle se cale même plus confortablement si on peut dire et semble attendre la suite des évènements.
Et la suite… ouh la la… la main se déplace vers le centre des fesses, descend le long du sillon en rencontrant un anus qu’il dédaigne. Non, le Vieux il va à l’essentiel. D’autant que Fabienne, en se calant a légèrement écarté les jambes. Sciemment ? va savoir, mais mon petit doigt (qui irait bien faire trempette) me dit que oui. Et sa main emprisonne la jolie moule et son doigt se retrouve à la porte de la grotte. Hop, le voila dedans !!
- Te v’la trempée ma belle, j’vas calmer ce feu qu’t’as au cul.
Et le doigt investit la chatte si sage de Fabienne. Et il commence à pistonner… Bientôt accompagné d’un deuxième doigt… et ça clapote !!!
Fabienne écarte les jambes, cette fois franchement, laissant le Vieux la branler tranquillement. Elle jette un œil alentour, faudrait pas que 20 ans de bonne réputation s’envolent en même temps que sa vertu. Elle se répète qu’elle est folle. Qu’il faut qu’elle fasse quelque chose…
Mon père Vincent, pratique, descend la petite culotte, un pied puis l’autre se soulèvent. La voie est libre. Royale.
Des petites fessées, comme sur les bêtes qu’il élevait jadis...et ses mots qui n’arrêtent pas
- Dis donc, t’aime ça la Fabienne, viens pas m’dire l’contraire !
- Tiens, quand j’tourne mes doigts, hein ? pas mal non plus ?
- C’que tu mouilles ma garce !
- Y a pas faut que j’goute !
Et il se fout à genoux derrière la femme qui attend… Et sa langue vient lècher à grands coups de langue tout ce jus qui suinte.
Il s’en donne à cœur joie.
« tiens, pendant ce temps il parle pas » se dit Fabienne qui commence à vraiment se sentir partir.
« je vais quand même pas jouir ? » s’inquiète-t-elle, d’autant que la barbe de 3 jours du vieux gratte autant que la langue est douce !
Et pourtant, du tréfond de son ventre, monte lentement, inexorablement un plaisir qui explose brutalement !
- Le salaud !! tu m’as fait jouir ! Va-t-en maintenant. Vite !!! je veux plus te voir ici, jamais !
-c’est c’qu’on va voir lui répond le septuagénaire qui a remis son pouce dans le con de sa proie et qui pistonne à nouveau , en terrain conquis. Son autre main fait sauter les bretelles et le bénard chute à ses pieds.
Fabienne a bien entendu les petits déclics. Et le temps qu’elle comprenne d’où vient le bruit, le chibre de mossieu Vincent est enfoncé jusqu’à la garde dans sa chatte.
Et le pilonnage commence. C’est qu’il se débrouille bien le petit père. Un bon rythme, une bite bien droite malgré son age, et ma foi de bonne longueur et épaisseur…
Fabienne se dit que là, autant en profiter… Et elle goute au plaisir de se faire marteler la foufoune, elle a fermé les yeux et tout son être se retrouve concentré à ressentir ce qui vient de sa moule. Elle en revient pas. Son mari, avec qui tout va bien y compris au lit, a du mal a la faire décoller comme le vieux salaud l’a fait tout à l’heure. D’ailleurs… d’ailleurs… d’ailleurs elle commence à vraiment aller chercher les coups de boutoir du bonhomme, ce qui lui provoque des frissons de plaisir à chaque poussée. Et bien sur, à force d’excitation, du sexe de la belle Fabienne jaillissent mille étoiles et elle prend un pied pas possible ! Et elle n’a pu retenir un cri de bonheur, un long cri de jouissance….
- Tiens ma garce, tu vois, le père Vincent y t’as bien niquée. Et t’as ben aimé !!! Mais attend, j’ont pas fini !!!
Et le pistonnage se poursuit, dans une moule trempée et comblée.
-mais arrete donc, vieux saligaud, arrete donc !!
- t’es drôle, faut qu’ça vienne ! Accroche toi, j’vas accélérer !!
Et voila mon petit père qui se démène comme un beau diable, la queue fichée dans cette cramouille endolorie qu’il n’arrête pas de martyriser ! Il fait tant et si bien que la jouissance arrive.
Oh pas pour lui, c’est Fabienne qui est partie une nouvelle fois et s’est envoyée en l’air !
-ben toi, alors, on peut dire qu’tu l'aimes ma bite!!
-j’vas essayer aut’chose s’amuse le vieux qui sort son membre de son étui gluant et se pointe sur le trou du cul offert.
-mais t’es malade ! arrête ou je crie !!!
-ben crie donc, et j’raconte comment qu’j’t’ai baisée depuis l’tantôt sur ce mur.
-salaud, mais c’est pas vrai ! arrête
Bien inutile, les jérémiades de la mère de famille. Le vieux accroche les fesses, pousse et son gland passe la porte. Après, que du bonheur…! il entre lentement, mais jusqu’au bout. Jusqu’à ce que ses couilles butent sur la chatte encore béante et meurtrie.
-Là, c’est bien, bonne fille. Laisse faire le pépé. J’vas te ramoner le cul. J’espère que j’pourrai cracher l’jus !!
Et c’est parti. La bite entre et ressort presque; lentement; et le sphincter de la dame lui donne encore un surplus d’érection !!! Et il accélère. C’est grandiose. Vous voyez le tableau, une superbe femme , les jambes écartées, pliée contre le muret, à moitié dans le vide, qui s’accroche pour ne pas basculer et le vieux derrière, la bite enfoncée dans des fesses de rêve et qui bourre et qui bourre. Le béret est toujours fiché sur la tête et les yeux du vieux ne quittent pas ces fesses admirables. Et les mains s’aggripent à cette chair, les pouces sont si enfoncés dans la partie charnue qu’il faudra cacher les marques plusieurs jours, si je peux avancer un conseil…
- Tiens ! tiens ! tiens !
- Tu croyais pas hein ? T’aurais pu me laisser t’enculer avant, garce. J’vas bientôt jouir, j’sens monter la sève. Ouv’ton bec, je veux le cracher d’dans.
-surement pas ! s’indigne Fabienne !!
-alors on continue !!!
Et hop, nouvelle escalade dans le rythme et hop… Fabienne voit arriver un orgasme … non ! l’Orgasme de sa vie. Elle jouit intensément, son ventre est secoué de saccades, elle va à la rencontre des coups de boutoir, elle veux encore ce pieu qui la transperce, qui l‘encule comme une trainée.

-tu vois, la gamine, ça c’est du cul ! hein ? t’aime ? dis vouère… ! Et pan, une fessée bien pesée sur la fesse possédée !
- oui, j’aime, salaud. Allez viens dans ma bouche, tu l’as mérité vieux salaud !!! Fabienne vaincue, admets son bonheur !!!
Dans un élan suprême le vieux accélère, arrache sa bite au cul accueillant, tire la ménagère en arrière, enfourne sa bite dans la bouche qui s’ouvre et finit de la baiser dans sa bouche qui enfin le délivre de quelques maigres jets de sperme…
- Avale, salope !
Et il caresse, enfin gentiment, ce visage bouleversé.
Le père Vincent remonte son bénard se reboutonne tranquillement et donne ses instructions.
-faudra vite enlever ta culotte quand j’reviendrai. Et pis faudra me sucer passque j’ont été ben gentil de t’fourrer sans qu’tu m’suces !
-oui, pere Vincent je te sucerai. Mais lave toi avant de venir. Tu sens fort, quand même.
-ptet !

Et sur ce, il tourne les talons, mets ses mains dans ses poches et part en sifflotant…
Fabienne réalise que sa culotte est quelque part derrière elle. Elle la ramasse et file se doucher. Se demandant si c’était un rêve ? En tous cas, pas un cauchemar car elle se dit que prendre son pied comme ça…mmm … ça peut pas rester sans lendemain.

A vos messages….

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