Julie, Véritable Salope

Julie est ma femme depuis 31 ans. Pour son âge, on peut dire qu'elle est particulièrement bien conservée avec un corps que l'on peut qualifier de corps de jeune fille, intégralement bronzé, un ventre plat totalement épilé, des petits seins bien fermes et bien accrochés et surtout des fesses exceptionnellement rebondies avec un sillon très profond, bref un vrai cul de négresse.
En ce mois d’août, nous sommes en vacances à Marbella, dans un hôtel au bord de la promenade où les restaurants et bars à tapas font le plein de touristes de toutes nationalités, avec cette caractéristique que les femmes s'y promènent dans des tenues spécialement sexy. C'est la station estivale où l'exhibition est une quasi obligation. Les talons aiguilles y sont légion, de même pour les mini jupes et les décolletés ou tout autre vêtement transparent.
Ce samedi soir, malheureusement, j'ai mal à la tête. Je ne me sens pas la force de sortir avec Julie. Pourtant je sais qu'elle apprécie de participer à l'ambiance coquine de l'endroit. Je lui annonce donc que je ne sortirai pas. Visiblement contrariée elle me rétorque que ça ne fait rien et qu'elle sortira toute seule, juste pour faire un tour et pour faire du lèche vitrine.
Il est 23 h. Julie sort de la salle de bain, nue. Elle est très belle. Elle s'est maquillée comme elle en a l'habitude, c'est à dire de façon prononcée, surtout les yeux, ce qui lui donne un regard noir auquel on n'échappe pas. Son rouge à lèvre brillant met sa bouche encore plus en valeur, alors qu'elle le dit elle même :
« Je sais, j'ai une bouche qui est faite pour sucer ».
Comme d'habitude, elle s'est manucurée couleur rouge vif. Elle s'habille devant moi : escarpins avec des talons de 10 cm, une micro jupe à volants, serrée à la taille en limite de son intimité devant et derrière et un petit haut croisé cachant à peine ses seins, puisque décolleté jusqu'à entrevoir ses mamelons, et de toute façon transparent.
Visiblement, elle me provoque.

Je l'interpelle sur sa tenue, lui faisant remarquer quand même qu'elle est habillée comme une salope.  Elle me rétorque qu'elle se sent effectivement très salope ce soir, mais que l'on est à MARBELLA et elle m'invite à sortir avec elle malgré mon mal de tête. Je décline son invitation, hélas. Je lui conseille d'être prudente étant donné qu'il est tard et que son look ne passera pas inaperçu. Elle me dit qu'elle espère bien faire réagir les mâles et que ça l'amuse.
Et d'ajouter :
« Au cas où, fais en sorte de ne pas être dans la pièce si je reviens avec quelqu'un, je te conseille donc le balcon ».
Une vraie salope ! Provocation ou réelle intention ? Elle quitte la chambre et je me couche.

Je constate alors que je bande. Étrangement mon mal de tête a disparu. Je me lève et je m'habille vite, décidé à la rejoindre. Puis je me ravise : je vais sortir et l'observer discrètement. Je bande encore plus. Je prends la direction de la promenade et je rejoins Julie facilement. Tout du moins je reste à distance respectable et je l'observe. Julie se dandine, la tête haute, la croupe fesses bien en arrière, visiblement fière de son image. Ce qui était prévu se confirme : les hommes la matent de haut en bas et de bas en haut, et se retournent sur son passage ou plutôt sur son derrière. C'est vrai qu'elle a un cul d'enfer !
Une question me vient alors à l'esprit. Porte-t-elle une culotte ? Je ne me souviens pas si elle en avait mise une ou pas. Toujours est-il que cette question doit être répétitive dans la tête des mâles qui la croisent.
Simple hasard ou transmission de pensée, soudain, Julie bifurque et s'engage dans une impasse étroite et mal éclairée. Arrivée au fond, sans se retourner, elle fait glisser rapidement le long de ses jambes ce qui est à priori un string et le range dans son sac. Puis elle revient sur la promenade et poursuit son chemin. Voilà qui répond à mon interrogation et qui confirme qu'elle est particulièrement en chaleur ce soir.
Et qu'elle a des intentions coupables. Ce qui, d'ailleurs, me fait à nouveau bander.
Julie quitte la promenade et se dirige vers le port, endroit beaucoup moins fréquenté et beaucoup plus calme. Il y a là des bars avec terrasse façon cosy. Les fauteuils y sont profonds et les cocktails réputés. Julie entre dans l'un de ces bars, le Lounch Quiet et s'installe en terrasse. Je remarque que pour s’asseoir elle ne prend aucune précaution et c'est ainsi que le haut de ses cuisses s'offre à la vue de tout le monde.
Tout le monde, c'est vite dit. Les seuls clients sont 3 hommes qui occupent une table en face de celle de Julie. Ils ont la trentaine, 3 beaux mecs, bronzés, chemises et pantalons blancs, style membre du yacht club. Ils n'ont rien perdu de l'arrivée de Julie.
Je me tiens derrière une haie de thuyas, idéalement positionné pour voir sans être vu et pour entendre les conversations.
Le serveur propose à Julie la carte des cocktails et lui demande si elle est accompagnée, se proposant le cas échéant de revenir prendre commande. Julie répond clairement qu'elle est seule et rajoute : « pour l'instant », faisant en sorte d'être bien entendue de la table voisine. Elle croise ses jambes ce qui a pour effet de relever encore plus sa mini jupe et de libérer totalement ses hanches. Les 3 hommes ne ratent rien du spectacle. Ils savent désormais qu'elle est nue sous son petit morceau de tissu qui n'a plus d'utilité que de servir de ceinture.
L'un des 3 mecs lui propose de se joindre à eux pour boire un cocktail. Julie accepte, se lève sans retenue, laissant exhiber ses fesses dénudées le temps que les volants de la jupe retombent, puis va s’asseoir sur la banquette occupée par 2 des 3 clients. Elle choisit de s'installer entre les deux et se retrouve face au troisième homme. L'exhibition est totale. Ses fesses et ses hanches sont à nouveau dénudées, sans parler de sa chatte offerte pleinement à la vue de ses nouveaux amis.
Ils font connaissance.
­L'ambiance est immédiatement très chaude. Le serveur, debout, son plateau sur la main gauche, prend la commande : Pina Colada pour tous. Le mec de droite commence à lui caresser les cuisses, juste au dessus des genoux. Celui de gauche lui a posé une main sur son cache cœur et la caresse au niveau du ventre. Et elle ne dissimule plus rien à celui qui est assis en face. Elle écarte complètement ses jambes qui sont tellement sexy, puisque montées sur des hauts talons que seules les putes osent porter et qui se rejoignent à cet endroit si magique qu'elle a totalement épilé.
Les cocktails ont été servis. L'ambiance est torride. Le petit groupe, toujours seul dans l'établissement, discute, rigole, mate, caresse, boit. On sent que chacun est à l'aise et décontracté, l'alcool aidant, puisque un deuxième cocktail vient d'être servi. Et Julie maintenant parle fort et rit aux éclats. Les mains baladeuses sont toujours actives. Julie est totalement abandonnée à ces jeunes hommes. Au troisième cocktail, Julie les questionne sur l'effet qu'elle provoque sur eux :
« Dites-moi ! vous bandez ? La réponse est unanime, c'est oui.
Montrez le moi ! »
Mais sans attendre, elle touche les trois mecs là où il faut :
« Eh ben dites-moi mes salauds, vous avez du répondant ».
Julie est visiblement enivrée. Je ne perds pas un seul moment de la scène qui se déroule devant moi. Je reconnais qu'à cet instant je souhaite ardemment que Julie se fasse prendre par ces trois jeunes hommes. Je bande de plus en plus.
Cela fait 1 heure à peu près que Julie est là avec ses nouveaux amis. Le quatrième cocktail vient d'être servi et tous sont sous l'influence de l'alcool.
« Bon », dit l'un d'entre eux, et si on passait à des choses sérieuses.
- Pour quoi faire ?  rétorque Julie quelque peu naïve.
- Une petite promenade tous les quatre ! 
- Pas question rétorque Julie ! Ce sera l'un de vous trois tirés au sort ou rien.
- Ok.
Jouons-la à la courte-paille. »
Et c'est le troisième homme qui gagne, celui qui est en face de Julie. En fait le plus frustré jusqu'à présent puisqu'il n'a pas encore touché. Julie lui propose de se rendre à l'hôtel. Ils se lèvent tous les deux et s'éloignent. Le gars prend Julie par la taille, puis sa main relève sa jupe. Elle exhibe à tous son magnifique cul. Heureusement qu'à cette heure-ci les passants se font rares.
Je prends un autre chemin. Je courre jusqu'à l'hôtel pour arriver avant eux, sans grande difficulté. Je m'installe sur le balcon, les rideaux tirés, la porte fenêtre presque entièrement fermée. Depuis le haut du balcon je les vois arriver, bras dessus bras dessous, la main droite du mec plaquée sous les fesses de ma femme et qui la pousse vers l'avant comme pour la faire avancer plus vite, plus ou moins en équilibre sur ses talons de pute.
Ils entrent dans la chambre. Le plus discrètement possible, je m'installe pour voir la suite des événements. Je bande toujours.
« Je n'en peux plus d'attendre » déclare Julie. Il me faut une bite maintenant. Une bien longue et bien dure. Allonge toi ! Je vais m’empaler sur ta queue »
Ce qui est fait instantanément. Et Julie imprime aussitôt un rythme d'enfer, ouvre complètement son cache cœur, lève les bras, positionnant sa croupe bien en arrière. Elle imprime des mouvements de va et vient impressionnants puis rapidement se met à crier : elle jouit :
« Ouiiiii ! Vas-y mon salaud ! Explose ! Ouiii ! Je sens ta queue, énorme, c'est bon ! Oh ouiiii ! Tu jouis aussi, je sens ton sperme brûlant. Que c'est bon ».
Je me branle tellement fort que j'éjacule aussi. Mon sperme gicle sur la baie vitrée. Voir ma femme se faire plaisir ainsi m'a excité comme jamais. Je n'imaginais pas qu'elle pourrait aller jusque là. En plus, elle se doutait bien que j'étais juste à côté, ce qui a dû augmenter encore son désir. Quelle salope !
La scène n'a pas duré 5 minutes. Le mec propose de retourner au bar. Julie rectifie son maquillage, passe un gant de toilette sur sa chatte et sur ses cuisses dégoulinantes et repositionne ses vêtements. Les voilà repartis vers le port. Je reprends ma filature.
Arrivés au bar, chacun reprend sa place. Julie se love entre les deux mecs restés sur place. Elle les embrasse et s'excuse de ne pas leur avoir donné le plaisir auquel ils pouvaient prétendre. Ils reprennent leurs caresses.
« Et si on la tirait une nouvelle fois au sort ? 
- Oh ! Vous êtes des vrais cochons ! 
- Tu es tellement désirable.
- Bon d'accord, mais à condition d'avoir un nouveau cocktail. »

Julie est désormais complètement saoule. Elle assiste au tirage au sort. C'est le mec à sa droite qui gagne.
« Debout, petite pute, on y va »
Julie s'exécute, sa jupe reste au niveau de la ceinture. Sa chatte est totalement exhibée, son cul complètement dénudé.
Ils prennent la direction de l'hôtel en titubant. Je m'arrange à nouveau pour être le premier arrivé. Depuis le balcon, je les vois s'embrasser, arrêtés contre la balustrade de la promenade au pied de l'hôtel. Elle s'offre complètement, sa jupe toujours aussi inutile et ses seins à l'air. Puis, le mec prend la tête de Julie dans ses mains et la pousse vers le bas, l'obligeant ainsi à s'accroupir. Elle n'hésite pas une seule seconde sur l'accomplissement de son devoir, elle sort la queue raidie du pantalon, tire dessus à plusieurs reprises puis l'avale goulûment. Elle lui lèche les couilles puis donne des petits coups de dents sur la bite qu'elle avale à nouveau. Le mec la tient toujours par la tête ou plutôt désormais par les cheveux : il lui impose le rythme qui lui convient, l'obligeant à avaler à gorge profonde.
« Respire par le nez, » ordonne le mâle, alors que Julie commence à avoir des hauts le cœur. Mais soudain la vitesse du va et vient imprimé par le mec démontre qu'il est en pleine jouissance. Julie poursuit sa prestation, puis libère la queue. J'entends le mec lui dire « avale tout », puis « nettoie moi avec ta langue ». Julie obéit. Elle le lèche de partout.
Je me suis remis à me branler et je jouis à nouveau, mon sperme giclant cette fois dans le vide, à travers les barreaux du balcon, tellement cette salope m'excite.
Ils n'ont pas eu à venir jusqu'à la chambre et ils font demi-tour en direction du bar. Je reprend ma place de voyeur en me postant au même endroit. Là un sixième cocktail les attend. Julie a soif. C'est le résultat de sa prestation précédente. Elle est totalement saoule mais rit toujours aux éclats. L'ambiance est restée particulièrement chaude au sein du petit groupe, toujours seul en terrasse.
«  Et si je me foutais complètement à poil ? 
- Ah ça oui, excellente idée, petite pouffe. »
Julie enlève son cache cœur et sa jupe.
« Garde tes chaussures, tu es encore plus désirable et monte sur la table »
Les ordres se succèdent de la part des 3 gars. Julie se soumet. Les verres sont retirés de la table et Julie se met à danser alors qu'elle est complètement enivrée. Les hommes la retienne pour qu'elle ne tombe pas. Puis elle s 'écroule sur elle-même. La voilà à quatre pattes sur table, le cul offert à la vue de celui qui aura été le perdant jusqu'à maintenant. Il se lève, sort sa queue en érection et prend Julie par son petit trou, d'un seul coup, à sec, tel que ! Julie crie sa douleur, d'autant que le mec lui ramone violemment son espace intime. Avec ses mains ; il la tient par les hanches et l'amène à lui autant que de besoin puis l'éjecte aussitôt. Il la sodomise avec une force t assez impressionnante. Julie se fait démonter le cul comme la dernière des putes ne l'imaginerait même pas. Elle crie toujours, de douleur à coup sûr. Mais elle crie aussi apparemment de bonheur. Elle ne cherche pas à fuir, au contraire, elle se retourne vers son marteau-piqueur et l'encourage :
« Vas y ! vas y ! Défonce moi ! Ah oui j'aime ça. »
Les deux autres mecs se positionnent autour de la table, sortent leur queue, et exigent que Julie les branle. Elle obtempère. Arrive le serveur, qui observait tout ça depuis son arrière boutique. Il sort sa bite et pénètre Julie par la bouche. Elle sait qu'elle a une bouche à sucer des bites. Ce soir, elle le vérifie concrètement. Le serveur se sert de sa bouche comme si c'était son sexe.
Le locataire de son trou, particulièrement excité par le déroulement de cette soirée, mais quelque peu frustré jusqu'à maintenant, se met à jouir et répand son jus sur la croupe de Julie. Les deux autres éjaculent en même temps et leur sperme s'accumule sur sa poitrine. Le serveur n'en peut plus et explose lui aussi, balançant des giclées sur son visage.
Julie est pleine de foutre, elle en a plein la bouche, sur le visage, sur les seins, sur le ventre, entre les cuisses...
Les mecs se lèvent, règlent les consommations et s'en vont, non sans avoir dit au revoir à Julie :
« Salut petite baiseuse, tu nous as fait du bien ! Tu es une vraie pute. On te laisse rentrer toute seule, on ne sait jamais, tu rencontrerais un homme qui voudrait te sauter, on ne veut pas, par notre présence, te faire manquer un coup ».
Et ils s'en vont en se marrant. Julie, complètement ivre d'alcool et de sexe, se rhabille comme elle peut et rentre à l'hôtel.
Je l'attends dans la chambre. Elle s'écroule sur le lit. Je sors ma queue en érection et je la sodomise au moins aussi violemment que ce qu'elle a subi précédemment.

C'est confirmé, Julie est une salope de niveau supérieur. La prochaine fois, je lui organiserai une soirée identique, mais payante, histoire de joindre l'utile à l'agréable. Julie fera une pute de tout premier ordre, mais chère, très chère, au vu des prestations exceptionnelles qu'elle fournira.

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