Afghanistan

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Pendant la guerre en Afghanistan, j’étais à cette période , encore jeune capitaine, sans trop d’expérience du terrain et de la guerre, c’était ma première mission.
Un jour où tout était redevenu calme, dans le village où nous étions cantonnés sur un appel d’un colonel j’ai dû me rendre au village voisin en jeep en compagnie d’un camarade qui était adjudant.
Le terrain était dégagé et rien ne laissait prévoir que nous allions être attaqués et faits prisonniers par six afghans armés jusqu’aux dents qui nous barrèrent le passage et nous encerclèrent. La surprise était telle que nous n’avons pas eu le temps de réagir.Nous ne nous y attendions vraiment pas. Notre jeep réquisitionnée était conduite par un homme dont on ne voyait presque pas le visage, le passager à côté de lui nous menaçait de son arme étant tourné vers nous.Un autre véhicule nous suivait Nous avions été attachés les mains dans le dos ce qui n’était pas confortable du tout, nous avons roulé une bonne dizaine de minutes pour nous retrouver dans un campement d’une trentaine d’hommes dans la montagne.
Dès notre arrivée, c’était le branle bas de combat, des hommes armés sortaient de tous les côtés, s’approchant de nous en hurlant dans une langue que nous ne comprenions pas.Plusieurs nous sortirent sans ménagement de la jeep et là à ma grande surprise, nous arrachèrent tous nos vêtements sans nous délier les mains, découpant dans la toile de nos treillis, nous éraflant au passage la peau nous étions griffés un peu de partout. Ils savaient que les prisonniers entièrement nus étaient plus vulnérables.Tous les hommes autour de nous nous regardaient en riant et se moquant de nous, des gradés se faire surprendre et enlever comme des débutants, il y avait vraiment de quoi en rire.A coups de pieds aux fesses on nous emmena dans un coin du campement où nous nous sommes retrouvés attachés liés ensemble face à face, les bras en l’air à la branche d’un arbre.

Je n’avais jamais touché ni senti le corps d’un homme contre le miens .Entre militaires nous couchions un peu n’importe comment souvent avec d’autres militaires dans le même lit même à poil mais sans que nos corps ne se touchent.et de sentir le corps de mon copain contre moi, me troublait. Nos poitrines velues nos sexes se touchaient, et là, nous nous demandions ce que nous allions devenir, qu’allions nous devoir faire. Qu’allaient-ils nous faire subir. Nous avions entendus quelques récits sur leurs manières d’interroger leurs prisonniers et nous posions des questions. Nous allions devoir souffrir et résister.

Nos sentiments en ce moment de peur changèrent et nous troublèrent, Mon copain l’adjudant me regardait d’une façon étrange mêlée d’un sentiment que je ressentis comme de l’affection ou même de l’amour Je sentais les mamelons de ses seins hérissés toucher ma poitrine et sa verge qui touchait la mienne se dilatait entre mes jambes. Il me sourit en s’excusant de cette réaction involontaire provoquée par la situation où nous étions, cette peur de ne pas savoir ce qui allait nous arriver ni ce que nous allions devenir. J’en fus troublé moi aussi et me mis à bander mais nos corps serrés comme nous étions empêchaient nos queues de se relever et elles se raidirent chacun entre les jambes de l’autre. Nous n’avions pas vu que pris par nos sensations nouvelles et nos mouvements que des hommes, 5 ou 6 peut être plus nous observaient en souriant. Ils se rapprochèrent de nous pour mieux nous observer.

Ils nous laissaient faire, nous regardaient sans détourner leurs regards, certains étaient excités , nous pouvions les voir discrètement passer leur main sur leur braguette. D’autres ne se touchaient pas mais on voyait très bien leur érection qui déformait le devant de leur pantalon.
Leur commandant ayant remarqué la situation et ce qui nous arrivait en les voyants leur dit dans leur langage quelque chose qui les firent éclater de rire. Leur commandant aussi se rapprocha de nous et desserra les liens qui entravaient nos chevilles pour écarter nos corps, montrer nos sexes en érection et ils nous écartèrent les jambes qu’ils entreprirent de fixer au sol aux moyens de piquets.

Nos jambes écartées ainsi libérèrent nos sexes qui se redressèrent d’un coup les faisant rigoler. Leur commandant tout en faisant des commentaires passa sa main entre nos bas ventres et se mit à nous triturer le sexe, riant de plus belle, prenant nos verges en érection pour les masturber. Il nous masturbait en nous faisant tourner vers ses hommes qui se rapprochaient et pouvaient ainsi, mieux nous voir et même pour certains nous toucher. Des mains étaient partout sur nos corps passaient entre nos fesses qu’ils prenaient plaisir à écarter pour bien montrer nos orifices à tous les mâles excités. Nous ne comprenions rien à leurs bavardages mais avions une idée de ce qui allait suivre lorsque deux hommes prenant nos têtes rudement nous obligèrent à nous embrasser sur la bouche. Ils nous firent comprendre en mimant par des gestes que nous devions nous embrasser ,ouvrir nos bouches en faisant toucher nos langues,ils mimaient en même temps l’acte sexuel. Les hommes étaient de plus en plus nombreux autour de nous et certains se masturbaient en se frottant contre nos cuisses, nos fesses, nous montrant leurs grosses queues tout en nous parlant. Nous avons du nous rouler des pelles comme on dit pendant un bon quart d’heure et par la force des choses, nous y avons pris du plaisir, nos sexes se dressaient davantage avec des érections dures comme du bois. Nous avions compris que nous allions certaiement nous faire sodomiser par tout leur régiment.
Il n’en fut rien, du moins pas tout de suite. Ils nous délièrent pour faire retourner l’un de nous et nous rattacher puis nous firent comprendre que nous devions nous sodomiser. C’était en fait l’adjudant qui était derrière moi, on lui graissa la queue qui était encore en érection pendant qu’un homme m’enfonçait avec ses doigts une sorte de graisse épaisse, et leur commandant la prenant bien en main la guida lui-même sur l’ouverture de mon anus. Comme mon camarade ne voulait pas se prêter à leur jeu, il fut frappé à main nue sur les fesses par un soldat ce qui lui fit faire des bons en avant le faisant ainsi me pénétrer.
Les premières pénétrations étaient horribles une douleur atroce j’avais l’impression d’êtres pénétré par un fer rouge.Puis petit à petit la douleur s’atténua pour finir par se changer en plaisir. Sa grosse queue puisqu’elle était très grosse et très longue, me pénétrait à chaque bon qu’il faisait, me procurant du plaisir, un plaisir que je ne pouvais pas cacher,mon érection en était la preuve très visible aux yeux de tous et ils prirent à ce moment un plaisir sadique à me masturber ce qui curieusement sous la douleur n’en finissait pas de me faire dresser fièrement une belle érection. L’adjudant était fessé sans relâche, du dos aux fesses jusqu’à la jouissance et qu’il éjacule dans mon anus .Ils avaient l’œil et lorsqu’il eut enfin éjaculé, ils me retournèrent et ils m’ont alors fessé moi aussi mais doucement pendant que l’un d’eux me masturbait toujours,et ils firent pénétrer ma verge dans l’anus de l’adjudant. A ma grande surprise, je n’eus aucun mal à le pénétrer et me dis qu’il devait avoir une certaine habitude de ces pratiques ce qui redoubla mon excitation et mon plaisir. J’ai aussi comme mon camarade été fessé tout le temps que dura sa sodomie et lui éjaculais dans l’anus en criant de plaisir, comme une bête. C’était la première fois que je sodomisais un homme et c’était un copain de mon régiment et j’y ai pris du plaisir .J’étais prêt à recommencer s’il le fallait.
La suite dura une partie de la nuit, ils nous lièrent chacun sur une table basse côte à côte, à plat ventre, les fesses légèrement relevées pour une très longue séance de sodomies successives, chacun leur tour, les uns derrière les autres, ils nous sodomisèrent. Nos anus regorgeaient de leur sperme qui maculait les tables sur lesquelles nous étions attachés , c’était comme ça à la brute vite fait pour se libérer de cette tension sexuelle qui les obsédaient ce besoin de libérer leur sexe d’une envie et que ce soit sur des hommes et dans des anus d’hommes, ça ne leur était d’aucune importance , il fallait jouir même plusieurs fois si leur besoin s’en ressentait et le fait de savoir que les hommes qu’ils sodomisaient étaient des militaires qui commandaient un régiment ennemi les excitaient davantage, les faisant rebander pour certains et recommencer,quel plaisir de pouvoir se défouler en sodomisant des ennemis et surtout des officiers , un capitaine et un adjudant.

Ils nous gardèrent prisonnier quelques temps pour nous transférer ensuite dans un autre campement.

Lex


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