Découverte Au Cinéma

Mon histoire n’a certainement rien d’exceptionnelle mais à force de lire toute ces confessions, j’ai eu très envie de la raconter.
Je précise que cela c’est passé il y a un peu plus de 25 ans.
Je venais d’avoir 18 ans, j’avais plutôt du succès auprès des filles, mais une timidité maladive faisait qu’à part quelques flirts, je ne connaissais rien d’autre.
Le sexe hantait mes pensées, je me branlais régulièrement devant des revues pornos dérobées chez le buraliste, et passais régulièrement devant un des rare cinéma X existant encore en languissant le jour ou je pourrais enfin y pénétrer.

Autant dire que je ne mis pas longtemps après mon dix-huitième anniversaire, carte d’identité en poche, à franchir le seuil du cinéma.
Le film avait déjà commencé (j’avais quand même tourné une bonne demi heure autour du cinéma avant de me lancer) et encore tout honteux je filais rapidement dans la pénombre m’installer dans la première rangée de siège vide.

Enfin j’allais voir un film de cul. Enfin autre chose que des revues.
Braguette ouverte et queue en main je commençais tout juste à apprécié ce moment lorsqu’un homme vint s’installer à quelques sièges de moi.
Dans un premier temps, un peu gêné, je stoppais ma branlette. Puis, trop frustré, je repris mon activité sans me préoccupé de lui.
Comme si cela constituait un message pour lui, l’homme se leva et vint s’assoire à mes cotés.
Complètement pétrifié, je gardais les yeux fixés à l’écran ne sachant absolument pas quelle attitude prendre. Et lorsque sa main glissa sur ma cuisse je restais à nouveau sans réaction.

L’inconnu pris rapidement possession de mon sexe. Il me branlait doucement, sans un mot, et moi je le laissais faire. Puis il se pencha et gobât mon gland avec une douceur encore inconnue pour moi. Sa langue tournait délicatement et une de ses mains se glissa dans mon jean pour me caresser tendrement les couilles.


Maintenant qu’il avait fait connaissance il entreprit d’enfouir plus profondément ma queue dans sa bouche et entama sa fellation. Mais sa position ne lui permettant visiblement pas de faire tout ce qu’il voulait, l’homme se redressa et me glissa à l’oreille de le suivre.

- Rejoins moi au premier rang nous serons plus à l’aise.

Bien que gêné, je le suivis. Je m’installais tandis que lui s’agenouillait devant moi indifférent au fait que nous étions en première ligne à la vue de tous. Pour ma part, tout ceci m’avait fait débander. Il reprit sa fellation mais le ressort était cassé, je n’avais vraiment plus envie et tous ses efforts ne firent rien. Je le repoussais et sans un mot ni un regard m’enfuis du cinéma.

Je passais les jours qui suivirent cette expérience totalement ailleurs. Tout se bousculait dans ma tête surtout qu’une chose s’imposait de plus en plus à moi. Me faire sucer par un homme ne m’excitait vraiment pas. Par contre, la vision de cet homme à genou avalant ma tige et me léchant le gland me procurait un nouveau fantasme. Etre à sa place.
J’avais beau rejeté cette idée, me dire que je n’étais pas homo, l’envie de sucer un homme prenait jour après jour de l’ampleur.
Et lorsque je me décidais enfin à retourner au cinéma, ce fut avec une seule idée en tête. Sucer un homme.

Comme la première fois je pénétrais dans une salle plongée dans le noir. Je restais un moment debout dans le fond afin d’habi mes yeux à la pénombre. Il n’y avait qu’une petite dizaine de personne.

Je jetais mon dévolu sur un homme seul dans une rangée. Il était installé au bout près du mur ce qui me réconforta dans mon désir de discrétion. Comme mon inconnu l’avait fait, je m’assis à quelques mètres de l’homme et jetais un œil. Il se caressait toujours, un bon point. Sans trop réfléchir je me levais à nouveau pour m’assoire à ses cotés.
Il stoppa immédiatement sa branlette mais ne fit rien d’autre. Son sexe prenait toujours l’air bien raide.
Et là tout se passa très vite. Je posais ma main sur sa queue, le branlais quelques secondes avant de plonger ma tête vers son entrecuisse. Je ne peux pas parler de plaisir à ce moment là. J’étais venu pour sucer et je suçais. Rien d’autre. Une fois de plus j’étais ailleurs et je pratiquais une fellation plus mécanique que gourmande.
Cette première expérience ne dura pas très longtemps. Bien aider par ma main, ma bouche ne tarda pas à venir à bout de l’homme qui éjaculat rapidement sans que je ne sente rien venir.
La bouche remplit de sperme je n’osais plus bouger. Je ne savais vraiment plus quoi faire. Je me retirais doucement laissant son jus s’écouler, me redressais et une fois de plus m’enfuis du cinéma comme un voleur.

Une fois dehors, la honte et le remord me pris à nouveau. Qu’est ce que je viens de faire. Ce n’est pas possible, je ne suis pas PD. Je passais le reste de l’après midi à errer en ville ressassant encore et encore ce que je venais de vivre. En rentrant chez moi je me rendis compte que j’avais encore le goût du sperme dans la bouche. Je n’avais pas songé une seule fois à boire un coup, manger ou me précipiter sur une brosse à dent. Non, ce goût ne me déplaisait pas bien au contraire. Et finalement, lorsque je m’endormis ce soir là, toute mes pensées étaient encore tournées vers le remord. Mais plus le même.
Je m’en voulais maintenant de n’avoir pas apprécié et pris mon temps. Et surtout je repensais à cet homme que j’avais laissé là le sexe dégoulinant de sperme. J’avais vraiment été nul.


Ma troisième visite au cinéma devait être aboutit. Je m’étais convaincu toute la semaine. Pas de demi mesure. Le souvenir de cette première fellation et surtout de l’éjaculation dans ma bouche ne me quittait plus.
Afin d’éviter de tomber sur mon malheureux cobaye, je choisis un dimanche plutôt que le mercredi pour tenter à nouveau l’expérience.
Il y avait beaucoup plus de monde. Je restais quelques secondes en fond de salle à observer.
Et là, première surprise, des couples étaient formé et visiblement se branlaient mutuellement.
Je remarquais également des allées et venues vers les toilettes. Cette ambiance me décomplexa définitivement. Je repérais un homme seul au premier rang et repensais immédiatement à mon suceur du premier jour « le premier rang nous serons plus à l’aise ».
Je ne voulais pas tourner autour du pot. Je descendis en bas de la salle et m’assis directement à coté de l’homme.

Les choses se firent encore une fois rapidement, simplement, sans un mot.
Mon inconnu se caressait tranquillement sans vraiment bander.
Je me mis à genou devant lui, lui baissais le pantalon aux chevilles et pris avec une vraie gourmandise son sexe en bouche. Une main sur chaque cuisse, j’entamais une fellation que je désirais inoubliable pour lui comme pour moi. Mon va et vient régulier fit rapidement son effet. Et plus je sentais son sexe grossir plus mon excitation et mon envie de le faire jouir grandissait elle aussi. Je m’appliquais à engloutir sa queue bien profondément, alternant les séries de suce goulues avec des arrêts sur le gland que ma langue se faisait un plaisir de r. Je ne sais pas vraiment combien de temps dura ma pipe. Je sais juste que je ne fis aucune pose gardant toujours sa queue en bouche jusqu’à l’éjaculation. Et le plaisir, mon plaisir, fut au rendez vous. Ce moment où il se soulagea dans ma bouche fut un plaisir immense que je ne saurais oublier aujourd’hui encore. Je me délectais de son jus et avalais son sperme avec gourmandise tout en continuant à le sucer. Je ne le relâchais qu’une fois sûre d’avoir tout bien récupéré.
L’homme se réajusta, me glissa à l’oreille un « merci c’était super » qui me fit rougir de bonheur et partit.

Ce ne fut qu’à ce moment là que je m’aperçu qu’un homme c’était installé à deux sièges de moi. Il se branlait et n’avait sûrement rien perdu de ma prestation. Je croisais son regard. Un mouvement de tête me fit comprendre qu’il n’était pas contre une bonne petite pipe.
Je me remettait tout juste et préférais détourner la tête et l’ignorer.
Loin de se décourager, il vint s’assoire à mes cotés, passa son bras autour de mon cou m’incitant à venir le sucer. Je me laissais glisser à ses genoux et le pris en bouche.
Je sentis une vraie différence. Non seulement il avait un sexe beaucoup plus gros, très épais en fait, mais en plus il ne s’embarrassait pas de chichi. Il plaqua immédiatement ses deux mains sur ma tête imprimant lui-même le rythme.
J’étais loin de prendre le même plaisir à le sucer même si plus tard, le souvenir de cette façon de me prendre la bouche me revint à l’esprit au moment de m’abandonner à mon plaisir solitaire préféré. Je découvrais une autre facette de ma personne, la soumission et le désir d’être le jouet sexuel d’un homme.
Toujours est il que sur le moment ma libido n’avait pas encore fait ce chemin et j’accueilli avec soulagement ses premiers jets au fond de ma gorge. Heureusement pour moi il relâcha rapidement son étreinte et me laissa me délecter de son jus. Car là il n’y avait plus aucun doute. J’aimais vraiment qu’un homme jouisse dans ma bouche. La vraie certitude était là.

Je nettoyais avec gourmandise son sexe puis sans demander mon reste pris la porte du cinéma comme à mon habitude. Mais ce jour là j’étais déjà persuadé d’une chose. Je reviendrais.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!