Les Tribulations De Madame

Madame voulait sortir, en bon employé, je lui demandais où cette dernière voulait se rendre... Son idée était plutôt vague, mais la lueur de lubricité dans son regard en disait long...

Je m'enquerrais de monsieur pour lui indiquer notre départ imminent... Celui-ci me décocha un clin d'œil m'indiquant qu'il comprenait à demi mot les intentions de madame et ma compréhension de son envie.

Madame monte dans la voiture, vêtue d’une robe noire, moulante, relativement courte, décolletée sans être vulgaire… Un collant ? Des bas ? Je ne saurais le dire, mais je doute qu’aillant opté pour des talons si haut elle eussent choisi de porter un de ces affreux collants…

Nous roulons depuis quelques minutes, je n’ai de cesse de lorgner dans le rétroviseur pour tenter de savoir ce que porte madame sous cette robe, tout en essayant de suivre la conversation que nous entretenons…

« Vous savez jeune homme, je vois clair dans votre jeu… »

- Madame ?

- Vous brûlez de savoir ce que je porte sous ma robe, ai-je tort ?

Rougissant : « Non madame, je l’avoue… »

Plus un mot de sa part.

Nous arrivons enfin à destination : un de ces bois où les promeneurs ne déambulent pas pour observer la nature… Quelques voitures sur le parking, hommes seuls, couples, femmes ? Même si ces dernières y sont rares, sait-on jamais…

Madame descend de la voiture, fière, bourgeoise, sûre d’elle… « Jeune homme, offrez moi votre bras… » J’obtempère lui offrant mes services… Nous avançons sous le couvert des arbres…

Quelques mètres plus tard, nous croisons nos premiers comparses, jeunes, vieux, timides, aux regards insistants, aux gestes lubriques ou au simple sourire… Nous continuons notre ballade, entendons des ahanements dans les fourrés… Madame poussée par la curiosité s’engouffre dans le bosquet pour y trouver deux hommes… L’un est jeune, la vingtaine, pantalon aux chevilles, se tenant au tronc d’un arbre, cambrant son fessier, fessier pris par un homme d’âge mur qui le pistonne vigoureusement… Les claques sur les fesses pleuvent et madame de me demander : « Pourriez-vous me tenir ceci jeune homme ? » Elle me tend alors son sac à main, remonte sa robe, me dévoilant enfin ses bas tenus par des jarretelles noires, sa culotte tout aussi noir mais d’une transparence affolante… Madame passa alors sa main dans sa culotte, et, dans un bruit humide délicieusement indécent, fit sortir les boules de geisha qui remplissaient son vagin… Se retournant vers moi, elle m’offrit un spectacle de toute beauté en léchant les boules avant de les mettre dans son sac…

Le couple gay nous a vu, a vu que nous les observions, et que madame sortait ses boules chinoises de ce vagin tout humide.

Sans mot dire, toujours accrochée à mon bras, cette dernière s’approcha du jeune homme sodomisé. Le redressant, m’indiquant de continuer de lui tenir la main, elle s’accroupit devant cet homme prenant son sexe gonflé à l’extrême dans sa bouche…

Les effets de la bouche experte de madame, associée à la sodomie subie, firent éjaculer rapidement ce jeune homme. L’autre homme excité par la lubricité de ces deux protagonistes, sorti son sexe épais de l’anus du jeune homme et le présenta à la bouche de madame.

Tout en sussions et caresses, malaxant ses testicules, madame avalait encore et encore ce sexe avec pour but de le faire aussi jouir sur sa langue… Le résultat ne se fit pas attendre, et bientôt je vis madame déglutir une grosse quantité de semence.

Sans crier gare, madame se leva, m’indiquant son envie de reprendre notre ballade.

Quelques pas et déjà nous sommes suivi par 3 hommes… Madame se tourne vers eux, leur souri, et s’enfonce à nouveau dans un bosquet… Ces hommes nous suivent sans un mot mais avec cette lueur de prédateur dans leurs yeux…

Face à un arbre, madame se penche en avant, prenant la même position que ce jeune homme tout à l’heure, et, de me dire : « Jeune homme, pourriez-vous tirer sur l’anneau de mon chapelet anal ? »… Baissant la culotte de madame, je commençais à tirer doucement sur l’anneau, faisant sortir une à une les boules de l’anus fripé de madame… Que de gémissements de sa part, l’aveu d’un orgasme foudroyant, sa chatte dégoulinant de mouille… Extase de sortir enfin toutes les billes de cet anus tant convoité.

« Invitez les » me lance-t-elle, « traitez moi comme une chienne ». J’invite alors ces messieurs à nous rejoindre, rapidement, leurs sexes sont dévoilés, du plus fin très long à celui d’une épaisseur rare.

Madame voulait jouer aux chiennes, j’allais lui faire se plaisir. Chef d’orchestre, j’indiquais tantôt à l’un de se mettre à porter de sa bouche vorace, à l’autre de pénétrer sa chatte trempée… La bouche pleine d’une queue longue et fine, le cul cambré prise en levrette, madame gémissait déjà alors que le troisième larron enfonçait des doigts dans son anus en malaxant sa poitrine… Les coups de butoir volaient, les claques sur ses fesses aussi, le tout dans un brouhaha de gémissements, d’insultes, de corps claquant, se frottant, de termes de plus en plus crus, de bruits humides, de bruits de sussions indécents mais si excitants.


Celui qui s’occupait de l’anus de madame demande à celui qui la prenait de s’allonger au sol, ce qu’il fit alors que l’autre poussait sur les épaules de madame pour la faire s’empaler sur son méat. N’attendant plus, l’autre cracha sur la petite rondelle ouverte, puis plaça son énorme gland dessus. Un grand coup de rein, un cri déchirant le calme de la forêt, madame venait de prendre d’un coup toute la longueur de son sexe dans son anus. Des mouvements virils, de grands coups de butoir, des cris, des hurlements de plaisir, madame se faisait copieusement pilonner devant et derrière alors qu’elle léchait les testicules de notre troisième protagoniste et que ce dernier se masturbait au-dessus de son visage.

Il n’en fallut pas plus pour que madame hurle sa jouissance, alors que le branleur se répandait sur son visage et que les deux autres se vidaient en elle… Repue, madame me fit signe de leur demander de partir. Lui claquant chacun une fesse, ils nous abandonnèrent là dans ce bosquet… La chose était entendue, je remis les billes dans l’anus de madame et introduisit les boules de geisha dans son vagin avant de lui remettre sa culotte. Culotte trempée de ses excès, de mouille, de foutre, de perversité.

Arrivés à la voiture, madame m’interrogea sur mon érection, et sans plus attendre ouvrit mon pantalon pour sortir mon sexe tendu… Quel ne fut pas mon plaisir de sentir cette bouche experte sucer mon gland, lécher ma tige, sucer mes testicules… Madame me fit rapidement jouir et avala tout mon sperme… S’essuyant la commissure des lèvres, elle m’indiqua que ce soir elle voulait monsieur, et moi pour l’avilir et l’humilier… Pour son plus grand plaisir.

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