Collection Pute. Grand-Mère Odette. Début De La Saison Ii (4/6)

Comme promit voilà la saison II qui devrait finir l’histoire.

Un bordel, un bar à pute, c’est ce que j’ai découvert en cherchant mes origines.
Mieux celle-ci passe par ma grand-mère Odette que ma mère me cachait.
Grand-mère ancienne pute et tenancière de bordel en Belgique.
Parmi les filles, qu’elle fait travailler, je rencontre Sacha, jeune femme longiligne avec de fort beaus seins malgré qu’elle est mise au monde trois bambins.
Trois bambines, car ce sont trois filles qui dorment dans une chambre non loin de la nôtre.

Sortie de notre bain, nous étant seulement embrassé et un peu caressé, c’est dans son lit que je continue à découvrir les plaisirs saphiques.
À ce jour, malgré mon jeune âge, je viens d’avoir dix-huit ans, seule des verges de garçons ou d’homme m’ont baisé.
Sacha, c’est nouveau, car bien plus tendre, plus douce, plus caressante, plus tout ce que j’ignorais que deux femmes pouvaient s’apporter comme plaisir.
Dans son lit, Sacha me domine étant celle qui sait.
Quand elle me demande de lui lécher la chatte, je le fais avec délice.
Quelle jeune fille dès qu’elle a découvert son corps à refuser à ses doigts d’entrer même sur les bords de sa propre chatte finissant par gouter sa cyprine.
Moi, je l’ai fait souvent avant de me faire pénétrer par les verges des mecs.
Avec Sacha, j’en fais de même avec beaucoup plus d’abondance.
Je vois que je suis efficace quand dans la lumière de la lampe de chevet son corps se cabre sous l’effet de l’orgasme qui la traverse.
Après avoir repris son souffle, elle me fait de même et c’est moi qui m’envole.

• Il est temps de dormir quelque peu, tu vas voir quand mes petites pestes vont se réveiller.

Quelle heure est-il, la seule chose que j’arrive à voir, c’est qu’il fait jour et qu’on saute sur mon lit.
Je me crois dans ma chambre ou ma grand-mère m’a installé.
Il va de soi qu’une fraction de seconde le cadre que je découvre m’est étrangère.


Nous sommes nus dans ce grand lit, Sacha a tiré un drap sur mon vagin, nos vagins.

• Mère qui c’est la dame.
• C’est une amie, elle s’appelle Gladys.
• Dite mère, j’ai sucé les gougouttes à la dame comme je suçais les vôtres quand j’étais petite.
• Charlotte va donner le petit déjeuner à tes sœurs.
Inutile d’embêter Gladys.

La fillette brune comme sa maman saute du lit suivi des deux autres et sort de la chambre.

• Gladys, tous les mercredis matin, ces petites pestes viennent sauter dans mon lit.
Je dors nue comme maintenant et un matin juste avant la naissance des jumelles et la fuite de mon mari, elle est venue dans mes bras.
Mes seins prenaient du volume et Véronique m’a demandé à quoi cela servait.
Elle jouait avec la pointe de ce sein.

Je le prends entre mon pouce et mon index et je le fais rouler.

• Arrête, Gladys, impossible avec les filles à côté.
Je lui ai dit qu’ils serviraient à donner à manger à ses sœurs et que lorsqu’elle était petite elle aussi avais sucé mes seins.
• Et deux ans après, comme elle est intelligente, elle s’est souvenue de ce que tu lui avais dit.
Mais, dis-moi, elle te dit toujours mère et semble te vouvoyer ?
• Oui, cadeau de John, leur père, il y tenait et malgré sa fuite, c’est resté.
Arrête de me caresser les gougouttes comme dit ma fille, je vais mouiller les draps.

Voilà nous nous levons, nous passons des peignoirs.
Les siens bien sûr et nous retrouvons tout ce petit monde, quand j’entends la clef dans la serrure.

• Reste calme, c’est Jeanne qui vient aux nouvelles, elle aime savoir comment c’est passé ma soirée au bar.
• C’est une ancienne pute !
• Bonjours Jeanne, je te présente Gladys, la petite fille d’Odette.
Elle me demande si tu étais une pute !
• La pute de mon mari gendarme ici en Belgique, pour ça oui.
• Excusez.
• C’est à vous de vous excuser, je vous ai entendu rentrer, j’ai participé à vos ébats en me caressant jusqu’à ce que je jouisse en même temps que vous.

• Merde, le babyphone, pourtant je me souviens l’avoir pris en main.
• Laisse tomber, je suis revenue des années en arrière.

Les jumelles commencent à se chamailler.

• Charlotte, allez dans le salon regarder un dessin animé à la télé.
• Mère, les autres mercredis, vous nous l’interdisez.
• Charlotte fait immédiatement ce que je te dis, inutile de discuter, sinon tu vas aller au coin.
Tu sais qu’avec moi tu dois obéir dans les trois secondes lorsque je te commande quelque chose, sinon je vais dans le placard chercher ce que tu sais.

Tout en marmonnant, elle change de pièce entrainant ses sœurs.
Sacha a énormément monté le ton, à la limite du menaçant.
La télé est forte elle aussi, Grosminet a des soucis avec Titi.

• Que voulais-tu me demander, Gladys ?
• Vous avez connu ma mère !
• Si j’ai connu ta mère, toi je te vois venir, elle est venue de France pour savoir ce qui a poussé ta mère, pure Chit, à aller habiter dans le Sud de la France.
• C’est ça, vous avez raison.
• Je suis comme beaucoup de gens ici, chacun a sa version.
Ce que je vais pouvoir te dire, c’est la synthèse de ce qu’il se disait à l’école où j’enseignais.
Ta grand-mère est venue avec ton grand-père quand Odette a arrêté de se prosti.
Elle tenait le bar où elle officie toujours, mais derrière la caisse.
Ton grand-père est décédé et elle a refait sa vie dans les bras d’un homme venue se payer une pute et pour lequel elle avait eu le coup de foudre.
Combien de temps ont-ils vécu tous les trois avec Véronique, ce qui se dit c’est qu’un jour Odette est montée chez elle et qu’elle a trouvé sa fille dans une posture plus qu’équivoque avec son amant.
• Notre amie Jeanne te parle en langage d’institutrice Gladys.
Valentin ton père sautait ta mère sur la table de la cuisine, c’est la version que j’ai entendue.
• Si tu veux Sacha, avec mon mari, nous faisions l’amour, à votre époque vous baisez.


Nous éclatons de rire, comprenant que cette vieille dame devait avoir prononcé le mot baiser pour la première fois de sa vie.

• Tu as raison, j’aime la belle langue française.
Dans ma version, ils se sont enfuis et ils sont partis pour la France.
• Dans la mienne, ta grand-mère les a foutus dehors, ils sont partis pour Avignon.

Dans ces deux versions, il doit y avoir du vrai comme le nom de mon père et Avignon d’où je viens.
Ce qu’elle semble ignorer, c’est qu’entre Véronique, ma mère et Valentin mon père, ça avait été un coup de foudre réciproque puisque après sa mort, fauchée par une voiture, elle est redevenue vierge de toute verge.
Je savais enfin pourquoi ma famille avait atterri à Avignon, une simple histoire d’amour s’étant terminée par la mort d’un des deux protagonistes.
Ce mercredi, je prends mes marques avec les filles de ma nouvelle amie, je les emmène à la piscine pendant que Sacha va au supermarché.
Les jours qui ont suivi, je couche avec mon amie souvent après avoir rendu service à toutes.

Nous sommes le dernier mercredi avant mon départ pour retrouver mes bigoudis dès mardi à la réouverture.
Il est 15 h 45 quand nous arrivons.
J’avais bien entendu des sirènes d’ambulances sans en faire cas, dans une ville comme celle ou nous sommes c’est fréquent.
En tournant le coin, ils sont là, pompiers et ambulanciers devant la porte du bar.
L’ambulance part, Lala réconfortée par un pompier est en larmes.

• Gladys, c’est ta grand-mère...

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