Sous Le Charme Et Le Pouvoir D'Une Jeune Fille. Partie 5

Quelques instants plus tard, on sonnait. Aude : « Entre, Fiona ! » Moi, je commençais à paniquer, et si ce n'était pas Fiona, après tout on était chez moi, ce pourrait être un ou une amie à moi, que se passerait il ? La panique m'envahissait mais c'était bien Fiona, qui s'était changé pour l'occasion, elle portait un tailleur cintré gris, des talons assez vertigineux, des chaussures noires à pois blancs, des bas coutures noirs, un look assez année 50 qu'accentuait ses cheveux relevés en chignon, elle faisait un peu plus âgée que tout à l'heure mais sacrément plus excitante. Aude s' était changé aussi, elle portait sa robe noire achetée la veille et ses collants rouges ainsi que des bottes noires vernies aux talons de 8 cm. Je me tenais dans le salon les mains derrière le dos, très loin d'être à l'aise. Aude : « je te présente Vanessa, on a passé toute l'après-midi dans les boutiques pour la préparer ! » Fiona : « Tu es superbe ma chérie ! (sans rigoler ou se moquer de moi), tourne toi que je te regarde . »
Je m'exécutais, sans rechigner, je faisais un tour sur moi même sous le regard des deux jeunes filles. Fiona : « Ces jambes sont vraiment superbes, j'en serais presque jalouse, elle pourrait faire de la pub pour des collants ! Soulève ta petit robe que je vois la lingerie que tu as acheté tout à l'heure. » Je soulevais ma robe, laissant apparaître mon boxer, mon porte-jarretelle et le haut de mes bas.
Aude : « Baisse ta culotte ma chérie, montre lui ta petite cage ! » J'étais comme hypnotisé, l'impression que je ne contrôlais plus rien, je baissais mon boxer, dévoilant ma bite emprisonnée et douloureuse. Fiona : « Salope ! Tu lui a déjà mis la cage ! Elle va apprendre vite la jolie Vanessa. »
Joignant le geste à la parole, Fiona commença à triturer le bout de mon gland à travers la cage. « Ca va ma chérie, pas trop à l'étroit ? » Je tentais un pas en arrière pour me soutirer à cette caresse mais Aude était collée derrière moi, elle m'empêchait donc toute fuite et pire, tandis que sa copine agaçait mon prépuce, elle commençait à me caresser les tétons à travers ma robe.

Ma situation était de plus en plus inconfortable mais Aude mis fin au supplice en me demandant de leur servir l'apéritif. Je partis dans la cuisine, la sensation de me déplacer dans l'appartement habillée en femme, perchée sur des talons était tout bonnement incroyable et de savoir en plus que dans le salon, se trouvait deux jeunes et jolies femmes, qui me voyaient comme ça, m'appréciaient comme ça, me faisait ressentir une forme de plénitude. Je me surprenais même à rouler du cul en marchant, à accen mes gestes dans la cuisine quand je me penchais pour attr les bouteilles. Je me disais que j'étais entrain de vivre un truc incroyable.
L'apéritif se passait « normalement », j'avais servi les filles, j'étais assis dans un fauteuil, elles étaient dans le canapé et on parlait de choses et d'autres, Fiona m'interrogeait sur mon travail, ma vie, c'était surréaliste, j'étais « en femme », je parlais de mon travail, de mon quotidien. Je me régalais aussi en matant les jambes des deux jeunes filles, Fiona avec ses bas coutures et Aude dans ses collants rouges. Aude le savait que je me rinçais l’œil, elle avait défait la fermeture de ses bottes et sortait de temps en temps son pied gainé de rouge, comme pour le détendre. Mon sexe était douloureux, je manquais de place dans ma cage et du coup, je multipliais les croisements et décroisements de jambes. Aude : « Tu essayes de nous allumer petite salope ? Tu sais qu'on voit ta petite culotte dès que tu croises tes gambettes ? Viens plutôt me masser les pieds, approche toi à quatre pattes ! » Je la regardais, interdit. « A quatre pattes, j'ai dit ! C'est pas compliqué, tu te lèves et tu viens à quatre pattes me masser les pieds, quelle partie de cette phrase, tu n'as pas comprise ? »
Le ton était cinglant, je m'exécutais, je me dirigeais à quatre pattes vers les pieds de Aude en faisant le tout de la table du salon . Aude : « Cambre tes fesses quand tu te déplaces ! » Je me cambrais ma robe remontait et dévoilait le haut de mes bas et une partie de ma culotte.
Arrivé aux pieds de Aude, elle enlevait un de ses pieds d'une botte et me le collait sous le nez. Aude : « Respire ma chérie, ennivre toi de cette odeur ! Vanessa adore sentir et lécher les pieds ma chérie, tu veux lui mettre un de tes pieds dans la bouche ? » Fiona : « avec plaisir ma chérie, viens ma salope me lécher les pieds » et Fiona d’ôter ses chaussures et de porter ses pieds dans leurs bas vers ma bouche. Cette sensation était incroyable, ses pieds étaient divins gainés de noirs, les pointes et les talons étaient rens, ses bas sentaient bons, je les prenais dans ma bouche. Aude : « Elle suce bien les pieds cette salope, on dirait qu'elle a sucé toute sa vie, elle rêve de sucer une bonne queue, on lui fera bientôt ce plaisir ma chérie, qu'en penses tu ? » Je continuais à sucer, ne perdant rien de l'échange entre les deux filles, elles me rendaient dingues, les sous-entendus de Aude me troublaient beaucoup, j'avais mal à la bite. Fiona : « Elle prend mon pied profond dans sa gorge cette petite pute, j'ai hâte de la voir avec une bonne queue au fond de sa bouche, dis moi ma puce, j'ai pris un gode avec moi comme tu me l'avais demandé, on pourrait peut être voir tout de suite comment elle pompe une queue ? » Je levais la tête pour protester, dire quelque chose, une nouvelle fois les choses allaient un peu vite mais Aude me maintint la tête au sol avec le pied de Fiona dans la bouche. Aude se leva, je poursuivais mon léchage en règle, elle revint dans le salon avec un gode fushia. Elle s'installa à coté de Fiona. « Tu dois pas t'ennuyer ma chérie avec un tel vibro » Aude écarta les cuisses de Fiona et commença à la caresser à travers sa culotte avec le gode. J'hallucinais, le spectacle était surexcitant, Fiona se tournait alors vers Aude pour l'embrasser, les deux gamines se roulaient une pelle du tonnerre. J'étais toujours à quatre pattes, Aude m appuyait ses pieds sur le nez, les yeux alors que Fiona ne lâchait pas ma bouche. Aude avait ouvert la veste de tailleur de Fiona et lui caressait les seins à travers son soutien-gorge léopard.
Aude écarta la culotte de sa copine et glissa le gode sur sa chatte, Fiona se laissait faire, elle écartait un peu plus les cuisses, la scène était sublime, après quelques va et vient dans la culotte de Fiona , Aude sortit le vibro, m'attrapa par les cheveux et me dit : « Viens sucer la bonne queue salope ! Viens gouter la bonne chatte de Fiona sur la bite. » Elle me tenait la tête, Fiona me regardait aussi, j'approchais mes lèvres et elle fit pénétrer tout doucement le gode dans ma bouche. Le gode était trempé de l'excitation de Fiona, Aude progressivement accélérait son mouvement et faisait pénétrer la bite de plus en plus loin dans ma bouche. « C'est bien ma pute, tu apprends vite, bientôt tu seras une vraie super suceuse, je vais t'en faire bouffer des bites, dans la bouche et dans le cul, des bites qui m'auront bien baisé, tu les nettoieras avec ta langue. Je me vais me faire prendre devant toi par d'autres mecs, des amis à toi, des gens de ta famille. Tu vas te faire baiser par des mecs qui me paieront pour ça, des vieux, des arabes, des mecs mariés. Tu seras ma pute partout, sur des chantiers, dans des caves, dans des partouzes. Tu n'es plus un homme, tu ne me baiseras plus, tu ne baiseras plus personne d'ailleurs, tu porteras ta cage tout le temps, je te trairais de temps en temps mais tu n'y prendras aucun plaisir ! C'est ça que tu veux salope ? Dis le moi que c'est ça !!! »
J'étais sous le choc, c'était un flot intarissable qui était sorti comme ça de la bouche de « ma copine », elle était ferme, sèche et poursuivait de plus en plus violemment sa fellation avec le gode, elle allait toujours plus profond et tentait d'y rester en m'arrachant des haut le cœur. J'avais les larmes aux yeux, tant par rapport à tout ce qu'elle venait de me dire, que par rapport au sexe en plastique qui butait au fond de ma gorge. J'avais un mal fou à tenter de réfléchir et à retrouver mes esprits, des mots revenaient « dans des caves, des gens de ta famille, tu ne baiseras plus ».
Elle était devenu folle, elle avait pété un plomb avec l'excitation et avait sorti tout ce qui lui passait par la tête. Elle continuait à enfoncer le gode bien profond, me pinçant le nez pour m'empêcher de respirer, j'étais au bord du vomissement alors que Fiona profitait de ma position à genoux pour me caresser la cage de chasteté avec ses pieds gainés de noir. Aude m'enleva à mes tentatives de pensée, de réflexion et revint à la charge. « C'est ça que tu veux ? Devenir ma pute, mon esclave ? DIS LE ! »
« Oui, Aude, c'est ça que je veux, devenir ta pute, ton esclave » J'avais capitulé, ma bite prisonnière et très douloureuse, le mélange d'excitation et de peurs qu'elle m'inspirait, tout cela avait eu raison de toute forme d'opposition. Elle me regarda avec un sourire, fis un clin d’œil à Fiona et me décrocha une monumentale gifle. « Je t'ai déjà dit de me vouvoyer sale pute et maintenant tu m'appelleras Maitresse Aude, désormais tu m'appartiens, tu n'as plus AUCUN libre-arbitre, tu me demanderas la permission avant de faire quoi que ce soit ! On est d'accord ? » Moi, la tête basse et le visage douloureux : « Oui Maitresse Aude, on est d'accord ».
Aude qui n'avait jamais cessé sa fellation, regarde Fiona, un grand sourire aux lèvres : « Ma chérie, c'est officiel, j'ai un esclave ou plutôt une esclave, je te promets que je te la prêterais » Elle éclata de rire ! Je n'arrivais plus à garder ma salive qui sortait de partout de ma bouche, tellement elle allait profond avec la bite en plastique, le gode avait un goût dégueulasse avec tout mes haut le cœur. Aude dit alors à Fiona : « ça te dirait pas de sortir ce soir ma chérie, maintenant je sais ou dormir, j'ai un appart au centre et ce soir, j'ai très envie de me faire baiser par un vrai mec, on va en boite, on trouve des mecs, on les ramène ici et on s'éclate, ça te dit ? » Je n'en croyais pas mes oreilles, elle disait vrai tout à l'heure ? « Tu vas nous attendre sagement ma petit pute et pour être sure que tu seras bien sage, on va t'attacher à une chaise et tu nous attendras sans dire un mot. Fiona, va voir dans sa chambre sous son lit, il y a plein de collant, on pourra le ligoter. »
Les deux filles m'attachèrent dans le salon, sur une chaise, habillée en femme. Aude s'absenta deux minutes et revint avec sa culotte à la main. « Pour être sure que tu ne feras pas de bruit,je vais te la mettre dans la bouche, tu vas adorer, j'ai pissé dessus !» Elle m'ouvrit la bouche et y glissa sa culotte trempée d'urine, elle me fixa un collant autour de la bouche pour bien la fixer et demanda à Fiona d'enlever son boxer afin de me le mettre sur le visage, l'entre-jambe, bien sur mon nez.
« A tout à l'heure ma petite pute, si tu as envie de faire pipi, laisse toi aller, mais n'oublie pas qu'on ne rentrera pas seules tout à l'heure ! »
Elle éclata de rire et elles quittèrent l'appartement toutes les deux.

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