Annette

Je vais changer les lieux, les prénoms et les détails qui permettraient à des personnes de se reconnaitre, sinon, tout est vrai.
Un de mes amis Gabriel, travaillant pour une gosse boite internationale, demandait une mutation outre mer. Sa femme, Annette tenait une boulangerie avec succès. Quand il a reçu sa mutation, mon ami avertissait sa femme pour qu’elle vende son fond de commerce, se prépare à partir, demande un passeports et les visas nécessaires.
Il doivent partir le vendredi. Annette est toute heureuse de retrouver son mari pour elle seule.
Elle est au courant des infidélités de son mari : en ce moment, il fréquente une femme du même âge qu’elle, belle plante, je la connais aussi.
La veille du départ, Gabriel prétexte une course en ville. Il sort donc et ne revient pas. La salaud a trouvé le moyen de tromper sa femme non seulement sur le plan amoureux, mais surtout sur la date exacte du départ : il est parti avec son amie. (ils se sont mariés sur place dès le divorce prononcé à ses tords)
Avec ma femme nous l’apprenons rapidement. Huguette, ma femme console comme elle peut Annette. Elle vient chez nous pour se remettre du choc. En quelques jours elle trouve un travail de vendeuse dans un commerce de fruit et légume. Plus tard elle trouve un petit logement, heureusement pour mon couple, la présence d’Annette nous gênaient pour vivre notre vie sexuelle pleinement, même si Huguette me faisait part d’un de ses fantasme : me voir baiser avec notre amie.
Huguette voit Annette assez souvent, elle vient passer les dimanches chez nous. Notre amitié nous permet de parler de tout.
Pendant le repas Huguette pose tout haut la question que nous nous posons : comment fait-elle pour se passer de bite.
Annette rougit, finit par dire :
- En ce moment je n’en cherche pas, ce n’est pas l’envie qui me manque, c’est le courage de me lancer dans une nouvelle aventure avec un type.
- Tu te fais jouir quand même ? Demande ma femme.


- Rarement, je me touche que quand je crève d’envie de jouir.
- Sinon je te prête Yves (c’est moi).
Je sursaute, ma femme me prêter, je rêve, ce n’est pas qu’Annette ne sois pas à mon gout, je pense souvent à elle quand je me branle.
- C’est vrai tu me prêterais ton mari pour me baiser ?
- Oui, à une seule condition : que je le vois quand il te la met.
- Et toi ?
- Je regarderai en me branlant. J’en profiterai bien avec toi aussi !Je devient l’objet sexuel de ses dames...
Annette me regarde d’un autre œil. On dirait qu’elle me découvre !
Huguette fait l’article : il a une belle queue, baise bien, encule aussi bien si tu veux et suce comme un chef ! Si tu aimes les bites pas très longues mais grosses, tu seras servie. Il aime être sucé, léché et autres choses que tu découvriras au fur et à mesure de vos baises.
Huguette me fait bander en vantant mes mérites.
Enfin Annette a une parole sensée :
- Tu me le prêtes, c’est gentil. Je m’en servirai tout à l’heure. Mais toi, tu seras jalouse, non ?
- Non, puisque c’est pour te donner du plaisir, une fois par semaine ce n’est pas terrible, en plus tu me feras jouir.
- Alors je suis d’accord.
Annette me demande de venir vers elle. Je l’embrasse sans scrupule, elle rend le baiser avec fougue, depuis le temps qu’elle n’a pas eu de langue dans sa bouche, elle en profite. Je la caresse légèrement sur les seins, ensuite je descends directement sur un genou. Je monte lentement entre ses jambes qu’elle écarte sans problème.
Je regarde ma femme qui ne fait pas dans le détail, elle se déshabille déjà.
Je suis à la lisière de la culotte d’Annette. Je passe deux doigts sous le slip, je trouve une chatte bien humide.
- Vite, branle moi, j’en meurt d’envie.
- Sors moi la queue.
Je commence à la caresser pendant qu’elle fouille dans mon pantalon. Elle arrive à sortir ma bite bandée. Si je la branle, elle n’attend pas que je le lui demande, elle prend ma queue dans sa main, la fait aller et venir.
Je la laisse faire pendant que ma femme se branle aussi.
Je m’attache à mettre toute nue Annette : ses seins sont remarquables, ses fesses que je connais pour l’avoir surprise un jour sont agréables à caresser. Je sens que ma pine va se régaler en l’enculant.
Elles se mettent à deux pour me déshabiller, comme si je ne pouvais pas le faire.
Je reste comme un béta, debout la pine bien droite et dure, entre deux femmes. Je pensais baiser Annette devant ma femme. Je sens que le vais baiser les deux.
Pourtant c’est Annette qui me prend dans ses bras : nous nous embrassons encore, elle se couche sur le divan, écarte les jambes :
- Viens mets moi là.
- Où ?
- Où tu veux.
C’est ma femme qui me dit de la baiser.
C’est simple, j’ai de la place entre ses jambes. Je m’y couche pour approcher ma queue de sa cage. Elle ne fait rien pour m’aider, tant pis, je me débrouille pour arriver à entrer seul. J’entre dans un con mouillé, c’est normal, j’entre aussi dans une femme à jeun de bite. Elle en profite pas mal en jouissant plusieurs fois en rafale.
Huguette voyant cela en veut sa part, elle est contre nous.
- Branle moi, Annette.
- Maintenant ?
- Oui, tu te fais mettre par mon mari que je t’ai prêté, alors branle moi.
Sans se faire d’avantage prier, voilà Annette qui profite de ma bite, contente ma femme en la masturbant.
C’est excitant pour nous trois. J’allais jouir quand Annette me demande de la lui mettre dans l’anus.
D’elle-même elle se met en levrette, se mouille bien l’anus, aidée par Huguette qui va s’installer en 69 sous Annette. Je vais pour sodomiser notre amie : c’est ma femme qui dirige mon pieux vers le cul. J’y vais doucement, j’ai peur de lui faire mal.
Une crainte mal fondée, elle se faisait sodomiser à chaque baise. Je peux entrer facilement, même si l’orifice est un peu étroit. Je suis au fond de son ventre, je sens que mes couilles caressent le front de ma femme.
Je sens surtout les orgasmes d’Annette.
Je vide mes couilles totalement, il n’en reste plus pour ma femme. Elle attendra ce soir.
Avant son départ Annette nous embrasse tous les deux sur la bouche :
- A dimanche prochain.

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