L'Apprenti Candauliste - Saison 1 - L'Examen De Passage

Collé contre le dossier de la banquette, j'attends fébrilement dans le bar sombre l'issue d'une partie que je ne maîtrise plus. Mon collègue Patrick est parti retrouver sa femme m'abandonnant devant une pinte vide que je viens de renouveler pour la 3eme fois. J'aurais pourtant bien eu besoin d'un peu de compagnie pour affronter cette épreuve.
Rien ne va plus ! Je me fais l'effet du joueur après l'annonce du croupier alors que j'ai tout misé sur pair. Si la boule s'arrête sur un nombre impair, mon couple explosera. Et je sais que je n'aurai pas de nouvelle chance de le sauver.
À la table la plus proche du bar, trois jeunes femmes discutent et rient bruyamment. Deux brunes assises côte à côte - une petite à l'air espiègle et une grande charpentée à la longue chevelure - chahutent sur la banquette où je suis moi aussi installé. Face à elles une jolie blonde à la peau ferme et lisse et au visage angélique me renvoie vers mes espoirs déçus. Je la fixe l'oeil vide perdu dans mes pensées enviant son insolente jeunesse et sa touchante insouciance.
Stimulé par cette beauté inspirante, je m'interroge: pourquoi me suis je laissé entraîner dans ce délire ?
Le candaulisme ne serait il pas qu'une illusion opportuniste pour couples en bout de course, un moyen pathétique de sauver une relation vouée à l'explosion, un pis aller pour des êtres désabusés refusant la lente glissade vers un néant irrémédiable.
La brunette la plus proche s'inquiète de mon manège et m'apostrophe.
- Hé ! Pourquoi regardes tu ma copine comme ça ? Tu n'as donc pas de femme ?
Je sursaute et tourne la tête dans sa direction.
- bien sûr que j'ai une femme.
- et elle est où ta femme ?
- je ne sais pas... Chez un homme.
La fille me regarde ahurie. Sa voisine se tourne vers moi et éclate de rire.
- un homme ! Pour quoi faire ! s'exclame t-elle avant de passer son bras autour du cou de la brunette et de l'embrasser à pleine bouche.


La blonde me lance un regard amusé puis elles m'abandonnent toutes les trois à mes démons pour retourner à leur conversation.
Ma vessie est pleine. Je me lève avec le peu de dignité qui me reste à cette heure pour me diriger vers les toilettes. Je parviens malgré une démarche balbutiante à me poser devant une pissotière répugnante pour y déverser les litres de bière ingurgités.
De retour à ma table, j'avale une dernière gorgée avant de sortir quelques billets de ma poche. Puis je remets mon manteau et quitte le bar avant de me diriger d'un pas mal assuré vers la station de taxi toute proche.
Le chauffeur, noir comme une nuit sans Lune attend le chaland dans sa berline, faiblement éclairé par le halo brumeux d'un lampadaire.
J'ouvre une portière silencieusement, m' affale sur le siège et me concentre pour articuler l'adresse de mon domicile.
Les yeux tournés vers la fenêtre proche de moi, je me laisse envoûter tout au long du trajet par les lumières de la ville tel un rêveur empreint de mélancolie.
Une fois dans l'appartement désert j'envoie valdinguer manteau et chaussures. Enfin, je retire mon pantalon et m'écroule sur le lit.
"Cinq heures du mat', j'ai des frissons, je claque des dents et je monte le son; seul dans mon lit..." Ce refrain suranné résonne en boucle dans ma tête alors que j'émerge avec un mal de crâne carabiné...
À mon retour du bureau le soir après une journée de travail plutôt éprouvante, je retrouve Anne qui m'attend les jambes croisées confortablement assise dans le profond canapé du salon.
Je m'installe dans le fauteuil situé en face et j'entrevois un instant l'attache de son porte jarretelle fixée à son bas droit. Ma femme me regarde dans les yeux avec un sourire énigmatique. Puis elle rompt le silence
- Tu n'as rien à me dire ? lâche t-elle d'un ton détaché.
Je palis
- ce n'est pas plutôt à toi de me dire où tu étais passée cette nuit ?
- Vraiment ? Et j'étais où selon toi.

- chez un homme ?
- Ah bon ? et je faisais quoi chez cet homme à ton avis ?
- tu te faisais sauter.
Elle me défie.
- tu vois que je n'ai rien à te dire puisque tu sais tout. En effet, il m'a baisée comme une chienne et j'ai adoré ça... c'est bien ce que tu souhaitais non ? Que ta femme chérie s'envoie en l'air avec un mâle endurant doté d'une bite énorme.
Mon coeur s'accélère. Anne continue:
- et bien je te confirme que ça s'est bien produit. Que Karim l'homme qui m'a baisée est monté comme un poney. Qu'il m'a prise toute la nuit par tous les orifices et que c'était fabuleux.
J'encaisse en silence.
- tu veux tout savoir? Et bien allons-y:
J'ai adoré sucer son gland énorme jusqu'à ce qu'il jute au fond de ma gorge. J'ai aussi apprécié qu'il branle son manche épais comme mon poignet entre mes gros nichons qui te plaisent tant et qu'il ne s'est pas privé d'arroser de son foutre.
J'ai pleuré de plaisir lorsqu'il m'a pénétrée et qu'il m'a rempli la chatte et le cul de sa semence épaisse et abondante.
Mon épouse fait une pause avant de reprendre sa litanie. Je bande comme un cerf.
- Je ne compte plus les orgasmes extraordinaires qu'il m'a procuré. Et puis j'ai entrevu le plaisir que tu as pu ressentir en offrant ta femelle en chaleur à un étalon inépuisable.
Anne ouvre alors les pans de sa robe dévoilant son absence de culotte et sa vulve rougie par les multiples étreintes de la nuit
- comme tu le vois, Karim n'a pas voulu me rendre mon slip. Il va l'ajouter à ses nombreux trophées glanés au gré de ses conquêtes. Le chauffeur du taxi qui m'a ramenée tout à l'heure s'est bien rincé l'oeil. Après tout il avait bien droit lui aussi à un petit plaisir après tout celui que j'ai éprouvé cette nuit... grâce à toi.
Anne écarte alors largement les cuisses - C'est ton tour maintenant mon chéri. Viens me lécher la chatte. Je ne me suis pas lavée depuis mon retour pensant que ça te plairait sûrement de laper le jus de ta femme mélangé à la semence de son amant.

Je me lève. Anne sourit d'aise en découvrant la bosse qui déforme mon pantalon.
- viens vite mon amour insiste t elle. Je ne suis pas rassasiée. J'ai encore faim de plaisir. Fais moi jouir avec ta langue agile.
Je m'agenouille entre les cuisses accueillantes que j'agrippe solidement avant de plonger mes narines dans la vulve odorante. Anne gémit doucement puis son souffle s'accélère lorsque ma langue se fait plus invasive et elle crie sa jouissance alors que mon sexe se met à tressauter avant de libérer un flot de sperme qui se perd dans l'étoffe de mon caleçon.
****""
Nous sommes allongés Anne et moi nus dans notre grand lit. Je la serre dans mes bras en déposant de petits baisers sur son front.
- As tu l'intention de revoir Karim mon amour ?
Ma chérie se blottit un peu plus dans mes bras.
- Peut-être... une fois.
- Ah bon? Tu n'as pas envie de revivre des nuits de sexe débridé
- Si bien sûr. Mais je ne vais pas me contenter d'un seul amant. Je préfère enchaîner les aventures,me faire courtiser, connaître l'émoi de la découverte, multiplier les expériences avec des mâles différents d'origines diverses. J'ai envie de m'offrir à un colosse black doté d'une queue monstrueuse, un amant infatigable qui m'epuisera de plaisir.
Cette dernière phrase déclenche mon érection. Anne s'en rend compte et att ma queue.
- j'ai l'impression que tu serais toi aussi ravi que ta femme chérie se fasse démonter par un étalon à la peau couleur d'ébène.
Je ne dis rien mais approche mes lèvres de sa bouche. Nous échangeons un baiser brûlant.
- viens! me dit Anne. Baise moi mon amour. Je t'aime.

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