Le Train De L'Inconnu

Ayant reçu des avis positifs après mon premier récit (cf « Première fois en club libertin »), je vais cette fois-ci vous raconter un autre souvenir. Encore une fois, par soucis de discrétion, tous les noms sont modifiés.


J’étais un peu tête brûlée à la fin de mon adolescence. Le genre de personne qui aime faire la fête et découvrir un maximum de choses sans vraiment réaliser que certaines sont risquées.
Le fait d’être grande, avec pas mal de formes féminines et de longs cheveux châtains clairs m’a toujours bien servi pour ce qui est de rencontrer de nouveaux partenaires. Mon côté souriante et extravertie a sans doute pas mal joué aussi.

A 20 ans, après un été passé sur la côte basque en famille, j’ai décidé de prendre le train de nuit pour rentrer dans ma grisaille parisienne.
Me voici donc, toute bronzée et vêtue d’une très jolie petite robe d’été rouge, en train de chercher mon compartiment en tirant tant bien que mal ma valise derrière moi.
Couchette trouvée, il s’agit d’une cabine de six dans laquelle dorment déjà 4 femmes montées avant moi dans le train.
Après avoir déposé ma valise, je décide de sortir dans le couloir pour lire sans réveiller mes voisines. Au bout d’une heure environ, je vois surgir de la porte séparant les wagons un jeune homme qu’on peut dire tout à fait charmant. Grand, d’une assez belle carrure, avec des cheveux courts oscillants entre le châtain et le blond et des yeux verts, difficile de ne pas le remarquer… D’autant plus difficile que ledit jeune homme sort de sa poche un genre de clé et l’utilise sur un verrou à côté de la porte de séparation !
Je regarde la scène d’un air dubitatif. Il s’en rend compte et se tourne alors vers moi, tout sourire, et me dit de ne pas m’inquiéter. Il m’explique qu’il travaille pour la compagnie de train même si ça ne se voit pas tout de suite vu qu’il ne porte pas son uniforme mais un jean et un tee-shirt blanc près du corps.


A ce stade de la conversation, deux contrôleurs (en uniformes eux) passent la porte et me saluent avant d’avancer dans le wagon. Après quelques mètres, l’un d’eux se retourne et dit au charmant jeune homme d’accélérer un peu et qu’il les rejoigne vite. J’apprends par la même qu’il se prénomme Max.
Ayant visiblement fini avec sa clé, il s’apprête à les suivre quand je l’arrête pour lui demander dans combien de temps le train s’arrête assez longtemps pour descendre fumer une cigarette. Il me répond qu’il n’y a pas d’arrêt de plus d’une minute avant deux bonnes heures mais que si je reste là, il viendra fumer avec moi après avoir fini son boulot, soit dans 20 minutes.
Assez étonnée de sa réponse, je le laisse partir et me replonge dans ma lecture.

Après peut-être un quart d’heure, Max revient et me tend une cigarette. Très étonnée pour le coup, je prends la cigarette et nous discutons quelques minutes de son métier et des vacances. Je le remercie d’être revenu pour me permettre de fumer malgré l’interdiction qu’on peut voir un peu partout dans le train et m’apprête à replonger dans mon livre quand il me demande pourquoi je reste dans ce coin bruyant et en plein passage pour lire. Je lui explique que mes voisines de couchette dorment et que je ne veux pas les réveiller. Il me propose alors de le suivre pour discuter. Mon livre ne faisant pas le poids face à une telle proposition, je lui souri et accepte.

Il m’entraîne derrière lui à travers les wagons jusqu’à arriver en première classe où il y a beaucoup de places libres. Il s’installe sur l’un des siège et me fait signe de m’assoir à côté. Nous reprenons notre conversation à voix basse mais cette fois, il est beaucoup moins question de travail. Max me demande s’il m’arrive souvent de suivre comme ça des inconnus dans les trains. Je ris un peu avant de lui expliquer qu’il ne m’arrive pas souvent de croiser des personnes aussi intéressantes qui me proposent de les suivre. Il se penche alors vers moi et me dit que ça ne lui arrive pas souvent non plus avant de m’embrasser.
Je réponds bien sur à son baiser et nos mains commencent à se chercher. Je sens ses mains remonter le long de mes bras et venir caresser mes épaules nues tandis que les miennes glissent le long de son tee-shirt. Il vient embrasser la base de mon cou et descend doucement vers mon décolleté. De mon côté, mes mains ont profité d’une ouverture et parcourent désormais son torse sous son vêtement. Le voici qui m’att par les hanches et me fait basculer pour venir m’assoir à califourchon sur lui. J’en profite pour regarder autour de nous mais les quelques voyageurs présents sont tous endormis et le wagon est heureusement plongé dans la pénombre.
Assise ainsi sur lui, je ne peux que caresser ses cheveux tandis qu’il plonge littéralement sa tête entre mes deux seins. Je sens mon excitation monter et la sienne aussi à travers son jean. Il glisse une main sous mes fesses quand je décide de me lever d’un coup et de m’éloigner rapidement à travers le wagon. Je me retourne vers lui tout en avançant et lui fait signe de me suivre.

Une fois sortis du wagon, je me colle à lui, debout contre une cloison, et l’embrasse avec passion. Je sens ses mains palper mes fesses sous ma robe tandis qu’il me mord la lèvre. Je m’écarte un peu et lui saisi la ceinture que je dégrafe sans peine en le regardant dans les yeux.
Il fait un ou deux pas en arrière, ouvre une porte sur le côté et me tire d’un coup vers lui. Déstabilisée, je suis projetée à travers la porte. Il s’empresse de me suivre et ferme la porte.
Nous sommes maintenant dans les toilettes du wagon de première classe. Il me demande d’une voix rauque où on en était quand je défais le premier bouton de son jean. Je sens la main de Max remonter le long de ma cuisse et venir se glisser sous ma culotte au niveau de l’aine. Je continue à défaire son jean en sentant ses doigts caresser mon sexe déjà trempé. Il sourit audacieusement quand je fais enfin tomber son jean et son boxer. Je découvre alors un magnifique pénis, bien dressé et de belles proportions.

Les doigts de Max entrent en moi violemment alors que je cherche un préservatif dans mon sac à main. Préservatif trouvé, je le lui tends et il l’enfile tandis que je retire ma culotte et la range dans mon sac. Il m’att alors la taille et me fait tourner. Je m’appuie des deux mains au dessus de la chasse d’eau et place un pied sur la cuvette pour être stable quand il soulève un peu ma robe et vient placer son sexe à l’entrée du mien. Il m’att les seins à pleines mains à travers ma robe et vient me mordre le cou au moment où je sens son pénis me pénétrer d’un coup. Max s’enfonce en moi et me remplie vite tout à fait.
Il commence alors à me mettre de grands coups de butoirs tout en m’agrippant tantôt les hanches, tantôt les seins. A l’occasion, lorsque sa main passe à portée de ma bouche, je le mords violemment. Il me murmure à l’oreille que je suis une sacrée salope et qu’il rêvait de ça depuis qu’il m’a vu. Son rythme est effréné et il ne cherche pas du tout à se contrôler. Moi non plus je ne cherche pas à me contrôler et nous nous mordons l’un l’autre fréquemment. J’enfonce mes ongles dans ses bras et lui me donne par moment de grandes claques sur les fesses. Nous faisons un boucan de tous les diables tandis que je sens mon plaisir monter. Peut-être est-ce le fait de savoir que les voyageurs pourraient nous entendre, ou alors le côté bestial qui se dégage de notre partie de jambes en l’air, mais en tout cas ça me fait énormément d’effet et je ne tarde pas à jouir assez fort pour ameuter tout le train. Max de son côté continue de me limer consciencieusement pendant encore quelques minutes avant de pousser un râle et de venir à son tour. Il se retire assez rapidement et me caresse la tête d’une main tandis qu’il ôte le préservatif et tente de se rhabiller de l’autre. Reprenant enfin mes esprits, je prends ma culotte dans mon sac quand il me saisit la main et me prends ce petit bout de tissu. Il me regarde une instant avant de la glisser dans sa poche et de me dire que pour revoir l’otage il faudra que je le contacte.
Je ris et récupère son numéro de téléphone puis nous sortons de là et changeons de compartiment pour aller nous assoir à nouveau. Nous discutons un moment et, Paris approchant, je l’embrasse une dernière fois avant de retourner à ma couchette récupérer ma valise.
Je descends du train et prends un taxi pour rentrer chez moi.
La caresse de l’air sous ma robe me rappelle à chaque instant que je n’ai pas rêvé et je me dis que j’ai hâte de revoir l’otage même si un examen attentif le soir même me fait réaliser qu’il va bien falloir une semaine avant que toutes les marques sur mon corps disparaissent enfin…


Voilà, c’est tout pour l’instant. Merci de me dire ce que vous en pensez et si je dois partager encore plus de souvenirs avec vous !

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