Un Si Bel Été Et Ses Suites - 4


A peine avais-je quitté Cécile que j’avais déjà envie de me retrouver près d’elle. Je maitrisais toutefois mon impatience jusqu’au mardi matin. J’appelai Cécile : « Est-ce que je pourrais passer chez toi après mes cours ?
-Désolée, mais c’est impossible, j’ai une réunion au journal cet après-midi. » Cécile est chroniqueuse dans un hebdomadaire féminin.
Elle se ravise : « A moins que tu passes vers 13 heures, 13 heures 30. Ça te va ? »
Je vais devoir sécher un cours, mais tant pis. Ça me convient.

Comme la première fois, quand j’arrive sur le palier, la porte est entrouverte. Cécile m’accueille dans lz même appareil, nue et bas, si ce n’est que ceux-ci sont tenus par un porte-jarretelles rouge bordeaux qui la rend plus érotique encore. Veut-elle m’éduquer aux charmes de la lingerie ?
Nous gagnons sans tarder sa chambre où elle s’assoit sur le lit tandis que je me libère en toute hâte de mes vêtements. Quand je m’approche d’elle, elle me saisit la bite et la place entre ses seins qu’elle presse l’un contre l’autre pour l’emprisonner.
« La branlette espagnole, tu connais ? Tu vas aimer, tu vas voir. »
Je vois mon gland apparaître et disparaitre entre ses seins au gré des mouvements qu’elle leur imprime, tandis qu’elle me regarde droit dans les yeux. Je suis trop excité pour faire durer mon plaisir, j’éjacule et vois mon sperme s’écouler sur ses mamelons.
« Tu vois que c’est agréable, mon petit cochon », dit-elle en m’écartant.
Elle revient avec deux verres, je comprends que ce sera un rituel. Elle s’est essuyé la poitrine. Elle s’allonge, me prend contre elle et m’embrasse. Tandis que nos langues se mêlent, je me lance : Je caresse un sein, titille un téton qui durcit aussitôt. Encouragé par cette réaction, ma main descend sur son ventre, son pubis. Elle écarte les cuisses et j’introduis un, deux puis trois doigts que j’agite dans sa vulve humide. Elle commence à frémir, me mordille les lèvres.

Je me rappelle ce que j’ai vu quand elle se masturbais, sa main presqu’entièrement dans la chatte. Je poursuis la progression, ma main pénètre profondément et Cécile est agitée de soubresauts.
Brusquement elle me repousse, se met à quatre pattes sur le li, appuyée sur ses avant-bras.
« Viens vite me prendre en levrette, petit salaud. Allez, vas-y, mets-la-moi. »
Je passe derrière elle. A peine mon gland effleure-t-il ses lèvres qu’elle donne un coup de rein et je vois ma queux disparaitre dans sa chatte dont les muscles se contractent et me retiennent en elle. Excité comme jamais, je vais et viens frénétiquement. Je sors ma bite pour voir sa chatte béante et trempée, je la reprends frénétiquement. Je profite du spectacle de son anus qui palpite entre ses superbes fesses… et je jouis. Cécile a enfoui son visage dans l’oreiller qui étouffe ses cris.
Enfin calmés, nous nous embrassons.
« J’aime cette position, me dit-elle. On sent bien la bite au fond du vagin.
Et on peut passer rapidement d’un orifice à l’autre ! »
Et puis sans transition, elle saute hors du lit :
« Bon, mais il faut que je me prépare. Je vais finir par être enretard à cause de toi, mon salaud chéri. »

En rentrant chez moi, je réfléchis à ce que promet ce : on peut passer rapidement d’un orifice à l’autre… Je crois que Cécile a encore beaucoup à m’apprendre.

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