6 - L'Échangisme, La Meilleure Alternative Au Cocufiage

Plaisirs de l'interdit

A dire vrai, Maria avait changé : elle se montrait plus sensuelle, plus féminine, plus coquette dans ses manières et dans ses tenues vestimentaires. Elle osait des jupes ou des robes de plus en plus courtes qui la mettaient en valeur, s'était acheté des ensembles de sous-vêtements magnifiques et avait remplacé ses éternels collants par toute une collection de bas de divers coloris avec lesquels elle pouvait rendre fou de désir n'importe quel mâle rien qu'en relevant sa robe de quelques centimètres.
Elle s'était découvert des dons et un penchant pour l'exhibitionnisme et s'amusait à me provoquer dans divers endroits publics en croisant très haut ses cuisses ou en simulant de ramasser quelque chose pour dévoiler à tous les yeux bien placés une vue érotique de son entrecuisse. J'étais heureux de savoir que tous les hommes avaient envie de cette belle femelle, mais que c'était moi qui la baisais.
Un vendredi soir en rentrant, ma petite femme chérie m'attendait dans la chambre, langoureusement étendue sur le lit, très maquillée et avec pour tout vêtement un collier de perles et des bas noirs. Sans perte de temps, elle m'aida à me déshabiller et m'entraîna entre ses cuisses en s'allongeant sur le dos. Elle guida mon sexe dans sa fente et demanda à être possédée sur-le-champ. A peine quelques minutes après, elle se tordit dans un orgasme violent qui précipita le mien en provoquant une éjaculation irrémédiable.
Je m'étonnai :
- Qu'est-ce qu'il t'arrive ce soir ? Tu as rêvé de sexe ou quoi ?
- J'ai eu envie toute l'après-midi. Je me suis même masturbée deux fois avant que tu arrives.
- Eh bien! Heureusement pour moi que le facteur n'a pas sonné.
- Le facteur, je ne le connais pas, je ne sais pas s’il me plait, par contre le voisin, je le trouve bien mignon.
- Tu l'as revu celui-là ?
- Oui, cet après-midi. On s'est croisé sur notre palier et je lui ai dis que j'avais des choses à lui expliquer.

J'ai proposé de prendre un café au salon et c'est là que je lui ai raconté mon histoire : il ne devait pas se fier aux apparences, je n'étais pas une dépravée. Ce n'était pas parce que l'homme avec lequel il m'avait vue m'avait traitée comme une putain que j'en étais une. Il devait savoir que j'avais couché avec ce type uniquement parce que mon mari m'avait trompée et que maintenant nous étions quittes.
- Il t’a crue ?
- Eric m'a dit qu'il ne me considérait pas comme une putain seulement parce que j’avais trompé mon mari, ça arrive à tout le monde, mais qu’après m’avoir vue nue, après avoir posé la main sur moi, il me trouvait très désirable et qu'il avait envie de moi à en devenir obsédé. Je lui ai répondu qu'il me plaisait beaucoup aussi mais que j'aimais mon mari et que je n'avais plus de raison de le tromper. En moi-même, je m'efforçais d'être convaincante même si je commençais à ressentir des petits picotements entre les cuisses.
- Comment ça, des petits picotements ?
- De l'excitation, quoi ! La même sensation que quand il a porté les yeux sur ma motte la première fois.
- A ce point ?
- J'essayais de ne rien laisser paraître mais je crois que je me sentais rougir. En tous cas, je n'osais pas le regarder dans les yeux. Il a dit qu’il y avait un moyen de ne pas tromper mon mari et de faire l’amour avec lui et m'a demandé si nous avions déjà pratiqué l'échangisme. Il m'a expliqué que si j'étais d'accord pour faire l'amour avec lui devant sa femme, celle-ci se précipiterait au lit avec toi. Je lui ai dit qu'il devait vraiment avoir envie de moi pour donner sa femme à un autre homme et il m'a avoué qu’il me voulait depuis le premier jour, il était obsédé par le désir de me posséder depuis qu'il m'avait vue toute nue et qu'il avait posé sa main sur mon minou. En parlant, il s'est rapproché de moi et m'a supplié de lui dire oui. Alors, je lui ai dit qu'après tout on était tous des adultes responsables et qu'il n'avait qu'à venir prendre le café dimanche après-midi avec sa femme.
Qu'on verrait bien ce qui se passerait.
- Facile !
- Je crois qu’on a eu l’impression tous les deux d’avoir accompli une formalité qui nous permettait de coucher ensemble, une sorte de dispense. Moi en tout cas, je l’ai pensé comme ça et ça m’a soulagé la conscience. Alors quand il s’est approché pour m’embrasser sur les lèvres, je lui ai rendu son baiser. A ce moment j'ai vraiment senti que mon minou devenait tout chose. Il a commencé à me caresser partout et au lieu de baisser ma culotte, il la tirait vers le haut. Résultat, j'avais mon slip enfoncé dans la raie de mes fesses et surtout dans la fente de mon sexe. En même temps, il m'écartait les lèvres de la vulve et frottait mon clitoris avec le tissu comme s'il le branlait. Je ne peux pas te dire exactement l'effet que cela me faisait : j'étais à la fois énervée et extrêmement excitée. En fait à ce moment précis, je n'avais une seule envie, qu'il m'enlève ma culotte et qu’il me saute une bonne fois pour toutes.
- C'est ce qu'il voulait, non ?
- Je ne sais pas, moi je n'attendais que cela mais il ne me l'a pas demandé. Alors moi aussi je l'ai caressé et j'ai vu qu'il n'en pouvait plus. J'ai défait sa braguette pour sortir sa queue raide comme un ressort et j'ai commencé à le branler doucement ; puis je me suis agenouillée, j'ai continué le travail avec la bouche et je lui ai fait une pipe. Il a joui dans ma bouche, s'est rhabillé, m'a donné rendez-vous pour dimanche et est parti. Voilà pourquoi j'étais si excitée.
- Pour une surprise, c'est une sacrée surprise ! Une mauvaise surprise. Tu crois que le meilleur moyen de lui prouver que tu n'es pas une pute est de le sucer ? Et tu veux vraiment baiser avec lui dimanche ?
- Eric me plaît et j'ai très envie de coucher avec lui. Et toi, tu n'as pas envie d'Edith ?
- Elle est très bien cette femme, la question n'est pas là. Je n'en reviens pas, c'est tout. Tu m'annonces que nous allons partouser avec nos voisins comme si nous faisions ça tous les jours.
Et en plus, tu lui as déjà fait une pipe aujourd'hui, comme un petit acompte en somme.
- Comme tu m’avais dit que tu fantasmais sur l’échangisme, je pensais que ça te ferait plaisir et envie de faire l'amour avec un autre couple, excuse-moi.
- Ne t'excuse pas, tu n'es pas sincère. En tout cas, en ce qui te concerne, ton envie de te faire foutre fait plaisir à voir. C'est en pensant à sa queue que tu t'es branlée cette après-midi ?
- Franchement depuis qu'il m'a vu et touché le sexe dans l'escalier, je savais au fond de moi que quelque chose devait arriver. Je me suis masturbée en pensant à sa queue, à ce qu'il m'a fait et surtout à ce qu'il va me faire. C'est vrai, j'ai très envie qu'Eric me baise devant toi. La pensée que tu vas me regarder faire l'amour avec lui me rend folle.
- Tu commences à devenir exhibitionniste et nymphomane.
- Avant, je ne me rendais pas compte du pouvoir d'une femme sur les hommes. J'aime voir qu'aucun ne peut s'empêcher de lorgner sur mes cuisses. J'adore penser que mon minou les rend dingues et qu'ils sont prêts à toutes les folies pour l'avoir.
- Je les comprends.
- Et après quand par exemple j'ai fait comprendre à Philippe ou à Eric qu'ils pourraient arriver à leurs fins, ils me mangeaient dans la main. J'adore leur expression quand ils découvrent mes petits trésors, au début ils osent à peine y toucher, c'est presque de l'adoration. Et je ne te raconte pas ce que j'ai ressenti en plongeant la main dans leur braguette pour m'occuper de leur queue, ils n'osent même plus bouger pour me laisser faire. J'adore caresser puis sortir une belle bite raide comme un ressort, je m'amuse avec, je la branle ou je la suce et par-dessus tout j'aime caresser et tenir les couilles. C'est moi qui contrôle leur plaisir.
- Tu changes d’un coup.
- Ce qui est dommage, c'est que les mâles reprennent le dessus dès qu'ils ont ce qu'ils veulent. Tu sais, ce que j'ai fait à Eric tout à l'heure m'a rendue folle.
Lui s'est soulagé dans ma bouche mais moi, j'ai du me masturber plusieurs fois immédiatement après son départ.
- Alors, pourquoi ne lui as-tu pas demandé de te sauter ?
- J'ai bien failli le pousser dans la chambre plusieurs fois, mais je préfère qu'il revienne dimanche. Il va revenir encore plus excité et moi aussi j'aurai plus envie de lui. Et en plus, tu profiteras du spectacle et tu pourras te taper sa femme.
- Bon alors il faut que je prépare du champagne avec des petits gâteaux pour dimanche.
- Alors, tu es d'accord ?
- C'est d'accord. De toute manière, après la pipe que tu lui as faite, je n'ai pas d'autre choix. Et comme tu dis, j'aurais droit à la chatte de sa femme en échange de la tienne.















Découverte de l'échangisme

Maria passa tout son samedi à chercher la tenue la plus adéquate pour sa partie de jambes en l'air. Finalement, elle décida de remettre exactement la même chose que le fameux jour où nous avons reçu Philippe, non sans une petite séance de couture pour retoucher la jupe et la raccourcir de quelques centimètres, juste à la limite de la décence. Pour tout dire, ma petite femme me faisait l'effet d'une bombe ainsi habillée : elle était sublimement sensuelle et féminine, et infiniment désirable. Eric avait bien de la chance de lui plaire à ce point ; il allait se régaler, le cochon.
La sonnette retentit vers quinze heures. En entrant, Eric me serra la main et fit la bise à Maria, tandis que je faisais de même avec Edith. Celle-ci s'était mise sur son trente et un pour venir nous voir : elle portait une robe noire, moulant son corps comme une seconde peau et très courte avec un généreux décolleté. En la suivant tandis qu'elle s'avançait vers le salon, je pus constater que la robe était bien remplie au verso également ; notre voisine avait une croupe particulièrement rebondie. Le tissu extensible de la robe était tendu sur les grosses fesses et laissait voir le haut des cuisses un peu fortes.
Les femmes s'assirent sur le canapé, en face des hommes. Je sortis les petits gâteaux et débouchai la bouteille de champagne. Edith était aux anges : elle nous avoua que le champagne était sa boisson préférée et que les pâtisseries étaient son péché mignon. Je servis le champagne et chacun se servit de gâteaux. A la vérité, heureusement que j'avais prévu très large. Eric se contenait de réprouver ouvertement la gloutonnerie de sa femme, sans doute à cause de ses plans avec nos femmes. Au contraire, il l'encourageait à boire, pour faire passer les sucreries. Elle vidait coupe sur coupe et je dus bientôt déboucher une deuxième bouteille.
L'ambiance se réchauffa très vite, et nous riions aux éclats avec des histoires drôles. Nos femmes s'étaient grisées et se laissaient aller à des poses totalement décontractées qui dévoilaient généreusement leur entrejambe. Elles avaient toutes les deux une petite culotte blanche qui attiraient irrésistiblement nos regards. A un moment, elles durent se rendre compte de ce que nous reluquions car elles se mirent à se chuchoter quelque chose à l'oreille en pouffant. Finalement, Maria demanda à brûle-pourpoint à Eric de quelle couleur était sa petite culotte ; le pauvre se mit à rougir et avoua qu'il avait vu la petite culotte blanche. Puis Edith me demanda la même chose et obtint la même réponse. Elles se regardèrent sérieusement un instant et partirent pour un long fou rire en nous traitant de cochons. Je nous défendis en disant qu'on ne voyait que ce qu'on nous montrait avant de succomber au fou rire général.
Après un petit moment, Maria se leva pour mettre de la musique et demanda à Eric de la faire danser sur ces slows. A mon tour, j'invitai Edith qui ne tarda pas à se coller tout contre moi, écrasant ses seins opulents, ce qui finit par provoquer une érection contre son ventre.
Elle ne pouvait ignorer mon état, vu qu'elle restait collée contre moi. Puis à un moment, elle me dit que j'avais encore de la crème sur les lèvres et que c'était dommage de la laisser perdre. Alors, par jeu, elle passa sa langue plusieurs fois sur mes lèvres.
Maria qui vit la scène s'esclaffa :
- Dites tous les deux, si vous voulez vous embrasser, il faut mettre la langue dans la bouche, pas dehors, regardez, je vais vous montrer.
Elle colla alors sa bouche sur celle de son cavalier, et l'embrassa. Edith et moi regardions leurs bouches et leurs langues se mêler avec fougue. Le baiser dura un bon moment, et finalement leurs lèvres se séparèrent et les deux danseurs reprirent leur souffle. Puis Eric se décida à pousser les choses plus avant ; ses lèvres et sa langue reprirent possession de la bouche de Maria tandis que ses mains se promenaient sur tout son corps, pour la peloter en s'attardant plus particulièrement sur la croupe et sur les seins. Ma petite femme chérie l'encourageait en frottant langoureusement son pubis contre lui et en lui rendant ses baisers avec fougue tout en lui caressant la nuque.
Quand la musique s'arrêta, nous allâmes tous les quatre nous asseoir, Edith et moi sur un canapé, Maria et Eric sur l'autre. Cette dernière lança sur le ton de la plaisanterie :
- Cela me rappelle ma jeunesse, quand on sortait en boîte pour draguer et flirter.
Eric lui rétorqua :
- A cette époque là, on était plus romantique, on se contentait de se rouler des pelles.
- Les garçons nous pelotaient tant qu'ils pouvaient aussi.
- Maintenant, je ne peux plus me contenter de peloter une fille, il me faut tout.
- C'est à dire ?
- Lui faire l'amour, c'est simple.
- Tu es sérieux ?
- Bien sûr. Et toi aussi tu veux faire l'amour. Avoue que tu en crèves d'envie.
Maria ne répondit rien. Elle lui rendit ses baisers quand il recommença à l'embrasser et se laissa doucement glisser en arrière quand il la fit basculer sur le dos pour l'allonger sur le canapé. Maintenant, ma petite femme était à la merci de son cavalier, et ce dernier ne se privait pas pour profiter de son avantage. Sans cesser de l'embrasser, il défit quelques boutons du léger chemisier et dénuda les deux seins dont les mamelons pointaient avec arrogance et avec lesquels il joua un bon moment. Puis sa main descendit sur les cuisses et remonta sous la jupe.
Edith et moi suivions des yeux la progression de la main de l'explorateur, et nous vécûmes ensemble le moment où elle s'insinua dans la petite culotte pour fouiller les parties les plus intimes de mon épouse. Edith suffoquait de colère et s’adressa sourdement à son mari :
- Tu as vraiment l'intention d'aller plus loin ?
- Cette petite chatte est trempée, elle a très envie de se faire fourrer, et moi je ne vais pas m'en priver.
- As-tu pensé que moi aussi j'avais une autre queue sous la main ?
- Tu n'as qu'à te l'enfiler, ça m'est égal.
- Si c'est comme ça, je ne vais pas me gêner non plus. Je vais m'envoyer en l'air avec Bernard.
Eric et Edith se mesurèrent du regard un moment. Pendant ce temps, Maria me regardait elle aussi. Je connaissais bien l'expression qu'elle avait en ce moment : je pouvais y lire son excitation extrême, le défi de bafouer une nouvelle fois toutes les conventions en permettant à un autre homme de la déshabiller et de fouiller son con devant son propre mari, et plus que tout, son irrésistible désir sexuel qui la pousserait à se donner à cet homme quoiqu'il arrive, en m'offrant en plus le spectacle de sa débauche. Le regard de Maria se porta sur mon entrecuisse, et ce fut à ce moment que je me rendis compte qu'Edith avait empoigné mon propre sexe qu'elle serrait par-dessus mes vêtements.
Ma petite femme quant à elle n'était pas en reste ; elle aussi s'occupait de son partenaire ; en fait, elle avait défait tous les boutons de la braguette, et sa main s'était glissée dans le pantalon pour caresser Eric. Celui-ci fit descendre la petite culotte blanche qui nous avait tant amusé tout à l'heure tandis que Maria l'aidait en se cabrant pour qu'il la déculotte plus facilement. Puis Eric releva doucement la courte jupe pour découvrir le ventre nu jusqu'au nombril. Maria était plus nue que nue, les seins exposés hors du chemisier, les cuisses ouvertes sur son sexe luisant de désir. Eric se leva, défit les derniers boutons de son jean et son sexe sorti, s'installa entre les cuisses de ma femme. Celle-ci s'ouvrit d'avantage en relevant ses cuisses pour mieux se donner, et Eric, sans plus de préliminaire, la pénétra. Cela se passa tellement vite que je n’eus même pas le temps de voir le membre du voisin, mais il devait être du goût de sa partenaire. Il s'enfonça dans son con presque d'un coup tant elle devait être trempée, puis resta sans faire un mouvement un long moment entièrement en elle comme pour savourer la possession de cette magnifique femelle qu'il avait tant convoitée.
Maria, conquise et comblée, me regarda une nouvelle fois dans les yeux, comme pour me prouver encore qu'elle était une vraie cochonne capable de se donner à d'autres hommes. Mais je voyais bien qu'elle avait vraiment envie de celui qui la prenait en ce moment. Puis son désir reprit le dessus, plus fort que tout, tandis que son amant commença à aller et venir entre ses cuisses, et la belle chercha la bouche de son bourreau tandis qu'elle avait fait glisser le jean pour caresser les fesses de ce jeune étalon.
Je me tournai alors vers ma cavalière qui n'attendait que ce moment et dont la prise ne s'était pas relâchée. Je me penchai sur elle et posai mes lèvres sur sa bouche. Elle me rendit de suite mon baiser en enroulant sa langue autour de la mienne et je me mis à la caresser. Je palpais ainsi les gros seins à travers le tissu de la robe, puis descendis la main entre ses cuisses ouvertes pour caresser sa motte moite sans franchir la petite culotte. J'entrepris de remonter sa robe et la lui enlevai par le haut après qu'elle m'eut aidé en décollant un peu ses fesses. Je l'embrassai à nouveau, en caressant sa peau nue et satinée et elle me chuchota :
- Tu ne crois pas qu'on serait mieux sur un lit ?
- Si, tu as raison. Viens !
Et je l'entraînai vers la chambre tandis qu'Eric faisait jouir ma femme qui exprimait très fort son plaisir. Elle avait cessé de crier tandis que nous nous allongions sur le lit. Tout en me rendant mes baisers, Edith dégrafa son soutien-gorge que je m'empressai de lui enlever, ainsi que sa culotte. Je me mis à genoux sur le lit pour la contempler : elle était magnifique, malgré quelques excès de rondeurs et dégageait une très forte sensualité. Les fortes cuisses, un peu blanches, encadraient une toison de brune très fournie qui cachait mal son sexe entrouvert et luisant, le ventre bien rond ne manquait cependant pas de charme, mais c'était surtout sa poitrine qui était extraordinaire. Les seins étaient très gros, très fermes et avaient des mamelons très longs. Je m'empressai de me déshabiller le plus rapidement possible et commençai à couvrir sa peau de baisers. J'embrassai sa bouche, son visage, son cou, les épaules pour arriver sur l'opulente poitrine. Je ne pouvais me lasser de ses seins, je les caressai, les embrassai, les suçai, agaçai les mamelons sensibles en arrachant des soupirs de plaisir à ma partenaire qui caressait mon visage et mes cheveux.
Puis je me résolus enfin à poursuivre mon voyage sur ce corps offert, embrassai le ventre chaud et doux, puis arrivai enfin entre ses jambes. Je commençai par couvrir de petits baisers l'intérieur des cuisses qu'Edith écarta progressivement, jusqu'à ce que ses lèvres intimes s'entrouvrent sur de voluptueuses profondeurs. J'avais très envie de goûter à ce beau fruit à l'odeur musquée, de manger cette belle chatte comme disait Maria. Je commençai par y poser des baisers très légers comme pour faire connaissance, puis avec ma langue, j'écartai les grandes lèvres pour dégager un petit bouton coquin qui quémandait les caresses. Je l'embrassai, le léchai, jouai avec lui dans ma bouche, puis le léchai tout en introduisant un doigt, puis deux, puis enfin trois dans son con trempé que je me mis à branler vivement sans cesser de lécher le clitoris. Je m'introduisis au passage plusieurs fois dans son autre petit trou sans provoquer la moindre protestation, ce qui était de bonne augure.
La mignonne appréciait mes attentions et me caressait le visage et les cheveux en gémissant. Soudain, elle se tordit en haletant très fort, ses mains plaquèrent ma bouche fortement sur son sexe qui s'inonda de jouissance. Lentement, Edith reprit ses esprits et desserra son étreinte et je pus m'allonger contre elle, pour embrasser tendrement sa bouche.
Elle caressa doucement mon visage et je lui chuchotai :
- Tu aimes vraiment ça, on dirait !
- C'est vrai ; je n'aurais jamais pensé que je pouvais jouir de cette façon.
- Et ça te fait toujours le même effet ?
- Je ne sais pas, à vrai dire, c'est la première fois qu'un homme me fait ce que tu viens de me faire.
- Ton mari n'aime pas manger ta belle chatte ?
- Non, je t'assure, personne ne me l'avait mangée avant aujourd'hui et ma chatte n'est plus si jeune, elle a déjà vingt-neuf ans. En général, les hommes ont toujours préféré s'occuper de mes tétons avant de me baiser.
- Une chose n'empêche pas l'autre.
- Maintenant, c'est à moi de te donner du plaisir. Cela te gêne si je me mets sur toi pour te faire l'amour ?
- Bien au contraire ! En plus, tu vois bien que je n'en peux plus tellement tu m'excites.
- Tu ne vas pas regretter de bander si fort, tu vas voir. Je vais te baiser tout de suite.
Elle se mit à califourchon sur moi, saisit ma queue raide et la fit pénétrer dans son sexe. Son con, moins serré que celui de Maria, était brûlant et lubrifié à souhait, et je savourai maintenant la possession de cette belle femelle qui s'agitait sur ma queue. Mais ce qui me rendait encore plus fou était encore une fois la poitrine phénoménale qui s'agitait sur moi. Les gros seins étaient tendus vers moi et bougeaient en fonction des mouvements de mon amazone et surtout en fonction de leur propre gravité. Les mamelons excités sortaient gros comme mes pouces et s'avéraient surtout d'une sensibilité extrême. A peine les touché-je qu'Edith soupirait et accélérait sa cadence sur ma queue. Et je me pouvais me lasser de les caresser, de les exciter encore plus en les pinçant, de les sucer et même de les mordre.
Ma cavalière gémissait de plus en plus fort et je sentis cette fois venir son plaisir ; elle ne résista pas longtemps et se tordit bientôt, ma queue raide complètement fichée en elle dans de petits cris d'orgasme. Elle s'effondra sur moi et je la laissai récupérer un moment dans cette position. Puis je la fis retourner sur le dos, m'allongeai sur elle, entre ses cuisses, et lui enfonçai à nouveau mon membre dans le sexe. Son con était comme une fontaine, et aucun obstacle ne freinait mes assauts. J'entrais et ressortais complètement mon membre et je me surpris bientôt à accélérer la cadence.
La belle aimait mes allées et venues entre ses cuisses, et recommença à gémir. Puis elle s'agita sous moi pour un nouvel orgasme qui déchaîna le mien et me fit décharger violemment au fond de son con. Je me rendis enfin, vaincu par cette femelle si chaude et je dus rester un bon moment entre ses cuisses pour me remettre de cette chevauchée fantastique. Je me relevai enfin, et nous essuyâmes les traces de notre plaisir. Puis je m'allongeai à son coté et la caressai doucement en l'embrassant.
Je lui déclarai :
- Tu es une véritable bombe au lit.
- C'est que tu m'as bien baisée.
- Tu es magnifique.
- Ta femme aussi doit être une sacrée affaire au lit.
- Pourquoi dis-tu cela ?
- Elle ne s'effarouche facilement avec les hommes. Et mon mari a vite compris qu'elle était plutôt hospitalière de la cuisse. En fait je n’en reviens toujours pas.
- De quoi ?
- La facilité avec laquelle Eric a pu se la faire. De lui, ça ne m'étonne pas, il est prêt à sauter sur tout ce qui porte un jupon, alors avec un joli petit lot comme ta femme qui ne demande que ça, il ne va pas se faire prier. Mais j'avais une autre opinion d'elle.
- Elle n'est pas comme cela d'habitude. En fait, c'est de ma faute.
- Tiens donc, et pourquoi ?
- La vérité, c'est que je l'ai trompée. Quand je lui ai avoué, elle m'a juste dit qu'elle ferait la même chose et qu'elle se ferait baiser par le premier type qui en aurait envie. J'étais averti, mais je ne l'ai pas crue sur le moment. Et aujourd'hui, Eric était là, et c'est arrivé.
- Maintenant je comprends mieux. En fait, j'ai réagi exactement comme elle. Eric par contre savait que je le ferais.
- Tu parles comme si vous aviez l'habitude de changer de partenaires au lit.
- Pas vraiment l'habitude, mais au début de notre mariage, on se voulait un couple libéré, on l'a fait plusieurs fois.
- C'est vrai ?
- J'avais dix-huit ans et Eric vingt-deux. Il disait que c'était bon pour nous deux de se faire des personnes plus mûres et moi je savais que ça lui plaisait, je voulais qu'il se sente heureux. Alors, il nous mettait en contact avec des couples de la cinquantaine qui pratiquaient l'échangisme et qui étaient ravis de consommer de la chair fraîche. Généralement, on choisissait des couples de bourgeois qui avaient les moyens de nous emmener dans les meilleurs restaurants et les meilleurs hôtels. Les types qui me sautaient avaient le plus souvent largement l'âge de mon père, quelques fois de mon grand-père, et se régalaient avec la gamine que j'étais alors. Une jeune mariée à peine dépucelée, toute fraîche, toute rose, bien soumise, sans expérience mais pleine de bonne volonté, j’avais de quoi leur plaire. De son coté, Eric adorait se taper des femmes de notables qui avaient le double de son âge, il disait qu'elles étaient dix fois plus expérimentées, mais mille fois plus vicieuses et perverses que moi. On m’a fait les trucs les plus cochons, j’ai découvert la fellation qui ne me plaisait pas beaucoup, la sodomie que je pratique depuis, le triolisme, j’ai eu des rapports avec des hommes et des femmes, enfin, ça m’a dessalée, éduquée comme dit mon mari. Et puis un jour, il a fait venir un vieux d'au moins soixante ans avec une femme très vulgaire. Il m'a vite mise à poil et pendant qu'il me tripotait, j'ai du branler ce bonhomme en regardant Eric baiser sa pouffiasse devant nous. Après, il m'a sautée et a réussi à me faire jouir. Il était très content de lui et a dit à mon mari que je valais largement les cinq cents francs qu'il avait donnés à la pute qui était avec lui mais qu'il me les donnerait pour me sauter la prochaine fois. J'ai été si vexée que je n'ai plus jamais voulu recommencer jusqu'à aujourd'hui.
- Et tu le regrettes ?
- Pas du tout et toi ?
- Encore moins que toi. J'ai encore envie de toi.
- Tu dis que je suis chaude, mais c'est toi qui n'arrêtes pas de bander.
- Tu me rends fou, tu as des nichons sublimes, une chatte plus que bonne, et un amour de cul.
- J'ai bien remarqué qu'il te fait envie mon gros cul, tu n'as pas arrêté d'y enfiler les doigts.
- Tu es fâchée pour cela ?
- Mais non, j'ai l'habitude. Si tu en as envie, tu peux aussi y fourrer ta bite.
- C'est vrai ? Tu pratiques vraiment la sodomie ?
- Tu as l'air surpris ! Tu n'encules pas ta femme ?
- Non, elle ne me donne pas ce trou là.
- Moi, si. Je le fais volontiers, je suis très large de ce coté, je n'ai jamais eu mal même la première fois ; en fait, ça me plaît bien. Par contre, je n'aime pas du tout sucer.
- Maria par contre est très douée pour les sucettes.
- Alors Eric va se régaler, lui qui adore les femelles goulues comme il dit. Toi tu devras te contenter de niquer mon cul.
- Cela fait mon bonheur, ne t'inquiète pas. Retourne-toi, je vais le faire tout de suite.
- Mets un peu de salive sur le gland pour qu'il rentre mieux. Après, tu m'enfileras le reste de la bite facilement, tu verras.
Sur ce, elle se tourna et se mit en levrette, la croupe saillante, les genoux très écartés. Ses deux orifices étaient grand ouverts, et appelaient le sexe. Son anus m'attirait irrésistiblement et me faisait bander comme un cerf en rut. Sur les conseils de ma partenaire, je crachais dans ma main et m'enduisit la pointe du sexe de salive avant de le présenter à l'entrée de ce petit trou. Je dus d'abord forcer un peu le passage, puis je m'enfonçai tout entier en elle avec une facilité déconcertante.
Je restai un moment immobile, avant de commencer à bouger tout doucement. Je m'enhardis peu à peu, et je finis par aller et venir de plus en plus loin et de plus en plus fort. Que c'était bon ! Elle était large, la bougresse, les autres queues qui avaient emprunté cette voie l'avait bien rodée. Je me mis à caresser les grosses fesses rebondies et tendues, son sexe béant, ses nichons qui s'agitaient en mesure, puis je découvris qu'elle aimait se faire branler le clitoris. Elle eut son petit orgasme, et je me mis à la sodomiser de plus en plus fort, pour finalement jouir dans ses reins. C'était la première fois que je prenais tant de plaisir en faisant l'amour de cette façon et j'en remerciai Edith :
- C'était le grand pied.
- Tu as aimé alors ?
- Presque trop. Tu es une fille formidable.
- Je te remercie, c'est gentil, mais toi aussi tu m'as donné du plaisir.
- Tant mieux, tu le mérites bien, crois-moi. Et maintenant, comment fait-on ?
- Il n'y a pas cinquante solutions quand on pratique la sodomie, et en plus sans capote, il faut aller se laver après.
- Bon, direction la salle de bains alors !
Je me levai à regret et nous allâmes nous laver ensemble. Tandis qu'elle alla s'asseoir un moment sur la cuvette des toilettes, j'eus tôt fait de laver et de sécher mes petites affaires. Aussi quand elle revint, eus-je tout de loisir de profiter du spectacle d'une belle fille accroupie dans la baignoire et qui lavait son cul. Je ne pus résister longtemps à ses poses et ses mouvements dans cette toilette intime et je commençai à l'embrasser et à la peloter partout où je pouvais. Devant mon empressement, elle fit semblant de me gronder :
- Tu n'as pas eu assez ? Ne me dis pas que tu as encore envie !
- Bien sûr que j'ai encore envie de toi, dépêche-toi, j'ai hâte de retourner au lit.
- Laisse-moi finir, je t'en prie. Tu es un insatiable cochon.
Elle était quand même ravie de susciter un tel enthousiasme, et semblait avoir un penchant pour les cochons comme moi. Nous retournâmes au lit, nus, bras dessus dessous. Au passage, je pus remarquer que le salon était vide : Maria aimait la queue, mais aussi le confort, et elle avait du emmener Eric dans l'autre chambre pour baiser sur un lit.
A peine arrivé, j'entrepris de couvrir tout le corps d'Edith avec ma bouche mais je dois reconnaître que certaines zones gardaient ma préférence. Après l'inévitable séance des tétons, je finissais toujours par arriver au carrefour de ses jambes, au bas de son ventre. Tourné tête-bêche par rapport à ma maîtresse du jour, je me mis une nouvelle fois à minauder son joli minou qui adorait qu'on s'occupe de lui de cette façon, et qui comblait sa propriétaire d'une joie qu'elle exprimait à petits râles.
La belle ne resta pas inactive et se saisit de mes bijoux de famille. Après ce qu'elle m'avait dit quelques instants auparavant, je fus très surpris quand elle s'empara de mon membre et qu'elle se mit à le pomper. Elle n'avait pas la même pratique que Maria, mais était pleine de bonne volonté et nous attaquâmes un très sympathique tête-à-queue aussi désigné par le chiffre soixante-neuf. Elle m'échauffa les sangs plus que je n'aurais voulu et je dus esquiver sa bouche sous peine d'éjaculation trop précoce à mon goût. J'avais envie de lui faire l'amour par une voie des plus classiques et elle me laissa volontiers m'installer entre ses cuisses. Je lui fourrai ma queue dans le con et décidai de prolonger le plaisir le plus possible. Edith me parlait, sur le ton de la confidence :
- Tu sais, tout à l'heure c'était mon premier soixante-neuf.
- Et tu as aimé ?
- C'est excitant à faire, c'est vrai.
- Je suis content que ce soit avec moi.
- Moi aussi je suis contente de t'avoir sucé. Quand mon mari saura cela !
- Tu en seras quitte pour refaire la même chose avec lui. Au moins, il connaîtra aussi le goût de ta belle chatte.
En parlant à mi-voix, je bougeai en elle à petits coups, tout en douceur, je commençai à peine à amplifier mes mouvements quand la voix de Maria retentit :
- Mais c'est qu'on ne s'ennuie pas non plus dans cette chambre. Regarde-les, Eric, comme ils sont mignons !
Ce dernier, sans un mot, observait la bête à deux dos que nous formions, toujours imbriqués l'un dans l'autre. Eric, appuyé contre l'encadrement de la porte, tenait Maria par la taille. Ils étaient toujours nus et avaient du faire l'amour comme des bêtes, car le sexe mâle était au repos complet. Ma petite femme jouait avec le membre de son amant, le caressa et finit par lui donner un semblant de consistance tout en lui chuchotant à l'oreille, des commentaires sur le spectacle, supposé-je. Puis elle s'agenouilla à ses pieds et commença une savante fellation qui finit par avoir l'effet recherché. Quand elle fut enfin satisfaite du résultat, elle entraîna Eric sur le coin du lit pour récolter les fruits de ses efforts. Ce dernier, bandant comme un bouc, ne se fit pas prier pour lui donner sa récompense. Il s'installa sur elle et la prit sur-le-champ.
Eric et moi, côte à côte et sur le même lit, baisions chacun la femme de l'autre. Quelle chevauchée ! Je ne pouvais m'empêcher de mâter le spectacle produit par ce deuxième couple qui forniquait à nos cotés. En croisant le regard de chacun, je compris que nous étions tous les quatre à la fois acteurs et voyeurs. Quand je fermais les yeux, j’avais l’impression que c’était Maria qui était sous moi tant elle était près et que je sentais son souffle. Je la connaissais assez pour deviner son état d’excitation au rythme de sa respiration. Ce fut Edith qui gagna cette course à l'orgasme, suivie de très près des trois autres participants. Nous restâmes un bon moment allongés tous les quatre, puis nous nous levâmes.
Les deux femmes partirent ensemble vers la salle de bains d'où vinrent bientôt des éclats de rire. Eric et moi nous rendîmes au salon pour attendre la fin de leurs joyeuses ablutions en parlant de tout et de rien, somme toute de banalités après ce que nous venions de faire. Les deux filles nous rejoignirent, et nos invités prirent aussitôt congé pour récupérer leur petite fille confiée à la garde de leur grand-père qui devait s'inquiéter de leur absence prolongée. Il devait être à mille lieux de se douter que sa petite Edith, mère de famille exemplaire, rentrait à la maison pleine de foutre jusqu'aux yeux et que ce n'était pas celui de son mari.

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