Gaby, Henti Et Moi

Je me balade dans la ville sans trop faire attention à ce qui se passe, lorsque je vois ma copine
avec un homme grand, sexy et mignon. Comment ose-t-elle se balader avec ce type au vu est su de
tout le monde. Elle sait pourtant que je suis jalouse, que je ne vis que pour les caresses que nous
échangeons. Quand elle me voit elle me fait signe de venir. Et en plus elle a le culot de m’inviter
à voir de près celui qui couche avec elle.
Je m’approche dans l’intention de lui flanquer une belle gifle sur la figure pour lui apprendre la
politesse.
Elle est très belle et sexy Gaby. En un éclair passe dans ma tête son physique avec sa poitrine qui
malgré sa taille ne tombe pas, ses fesses où j’aime bien égarer mes lèvres, sa toison bien taillée
et son sexe où que j’aime mélanger avec le mien.
- Enfin je te vois, me dit Gaby. Je te présente mon cousin, Henri. Il était curieux de te voir.
Ouf, ce n’est que son cousin. Je me faisais un cinéma pas possible.
Elle ajoute:
- Tu sais, il est courant pour nous deux.
- Tu me rassure
Il me regarde ne souriant:
- Vous pensiez que j’étais son amoureux ? C’est vrai j’ai envie d’elle. Mais voilà, elle me refuse
pour ne pas vous déplaire. Vous êtes aussi sexy que Gaby, si j’osais je dirais que j’ai aussi envie
de vous.
Drôle de type que cet Henri. Il n’a pas froid aux yeux, il ne me déplais pas du coup.
Gaby l’écoute avec un air intéressé. Je sais qu’elle a envie de baiser avec un homme pour avoir une
bite en elle. Je m’interroge pour savoir si moi aussi je n’aurais pas une envie quelque part.
Pourtant nous nous faisons l’amour souvent, nous avons même acheté des godes pour mieux nous
prendre. C’est bon de se faire mettre par sa copine quand on en a envie, en ayant le choix de
l’endroit, devant ou derrière. J’aime quand elle me sodomise. Je me vois en un éclair en levrette
avec la bite d’Henri dans mes fesses.

Je commence à mouiller
- Elle a tord de se refuser, en tout cas moi, je me donne à condition que………………..
Gênée je me tais. J’en ai trop dit où pas assez.
Gaby me réveille:
- Tu as envie de lui ? Et moi dans tout ça.
- Toi ? Tu est avec nous non.
- Tant mieux parce que je crois que moi aussi j’ai envie de coucher avec lui.
Henri réagit:
- J’ai droit à la parole ? J’ai envie de vous deux. Où allons nous baiser ?
Finalement la meilleure décision vient de ce cousin.
Quand nous sommes chez Gaby, l’endroit où nous nous aimons souvent, Henri nous prend par la taille,
nous embrasse rapidement sur la bouche. Gaby nous entraine dans sa chambre. Je connais assez les
lieux pour m’assoir sur le bord du lit. Henri vient près de moi, commence à m’embrasser sérieusement
sur la bouche. Sa langue est agréable sur la mienne.
Gaby entame les choses sérieuse en commençant à déshabiller Henri. Elle fait tomber le chemise,
caresse un peu le torse et s’attaque ensuite au pantalon pour ouvrir la braguette. Elle force
beaucoup pour arriver à sortir une grosse bite bien dure.
Il y a longtemps que nous n’en avions pas vue, surtout dans cet état. Henri semble me préférer pour
l’instant. Il me caresse la poitrine à travers les vêtements. Je préfère enlever le polo que je
porte pour qu’il vienne me défaire le soutif. Je suis plus libre de pour bouger, ses mains en
profitent aussi. Il m’excite beaucoup plus que je ne pensais. Je me laisse faire sans réagir alors
que Gaby ne se démonte pas, elle a une queue à sa disposition: elle en profite un peu: elle
l’embrasse sur le bout, sort sa langue pour aller lécher ce bout et le gland qu’elle fait bien
ressortir à la main.
Je suis étonnée quand je la vois mettre le sexe dans sa bouche. Elle fait aller et venir sa tête,
englouti la majorité de la bite avant qu’il éclate en longs jets de sperme qu’elle laisse partir sur
lui.

Il est plus calme d’un coup. Je vois sa bite débander: c’est dommage, j’en aurai voulu ma part dans
mon ventre.
Henri se lève, nous fait face et sans complexe commence à se caresser la pine. Il arrive à bander
très vite. Cette fois nous nous déshabillons entre fille comme toujours. Nous ne mégotons pas sur
les baisers et les caresses entre nos cuisses. Je branle Gaby devant les yeux d’Henri qui passe une
main par derrière pour aller caresser l’entrée du cul de sa cousine. Prise ainsi Gaby prend un pied
pas possible, elle cri au moment de son orgasme: c’est la première fois qu’elle réagit ainsi.
Maintenant Henri vient à nouveau sur moi, il oublie mes seins pour caresser mon sexe. Je ne pensais
pas qu’il sache branler une fille aussi bien. S’il caresse un peu le clitoris, il entre d’abord un
doigt dans ma chatte puis un autre sur l’anus pour le mettre aussi dans le cul. Il fait coulisser
sa main. Je serre les fesses pour mieux le sentir. Je fais bien: je jouis comme une folle.
Maintenant au tour de Gaby: il la couche sur le lit. Il va la baiser, c’est sur. Tellement sur qu’il
la lui met rapidement, trop vite à son gré. Pourtant c’est un baiseur exceptionnel: il la fais jouir
très vite: la grosseur de sa queue doit y être pour beaucoup, en plus il sait comment régler sa
vitesse en fonctions des réactions de Gaby.
J’assiste à cet accouplement en étant assise près d’eux, les ja mbes ouvertes, ma main sur la
chatte.
Il me tarde qu’ils finissent. Enfin Gaby a son compte d’orgasme pour le moment. Henri me désigne
comme la suivante. Il ne me demande même pas ce que j’apprécie. Il me met sur le ventre. Ma poitrine
est écrasée par mon poids. Il vient sur moi, mouille mon anus avec sa salive et met sa queue sur
mon anus. Je ne me suis pas faite enculée réellement depuis je ne sais combien de temps, surtout
avec une telle bite.
Je me force à être détendue, j’y arrive fort bien. Il relève un peu mes reins,
passe un doigt dans le cul pour le remplacer par sa bite. Je sens mes tissus s’écarter devant le
pression. La douleur et le plaisir se confondent quand j’explose. Je jouis encore une fois.
Il me retourne, sa bite toujours plantée dans le ventre. Gaby vient me donner son clitoris. Je la
suce avec plaisir, son gout mélanger à cette bite me donne encore du plaisir. Je la lèche longuement
pour lui donner le maximum d’orgasmes.
Elle sort les deux godes. Je me tourne pour être sous Henri. Elle comprend le message. Pendant qu’il
m’encule elle se propose de lui en faire autant. Elle agit avec douceur puisqu’il ne réagit que très
tard: elle la lui a mise à fond. Tellement qu’il me semble l’avoir également en moi. De lui-même il
se met en levrette. Gaby est libre de lui faire ce qu’elle veut ou ce que nous voulons. Il se laisse
sodomiser avec plaisir puisqu’il éjacule sur moi. Gaby ne sort pas le gode il le garde un bon
moment; je peux moi aussi l’enculer. Il aime bien cette façon de baise, puisqu’il jouit encore.
Il est sur le dos, le gode dans le cul, sa main autour de sa bite. Il se branle toujours: il nous
excite tant que nous ne pouvons nous retenir: nous sommes vite en 69. Bien sur nous léchons nos
sexe: nous nous passons aussi des doigts dans le cul de l’autre. Nous devenons des filles
dévergondées comme il y en a peu en ville.

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