Chantal Et Les Éboueurs

Lundi
Léane, ma chérie
Figure-toi que ce matin, il y a quelques minutes, j'ai montré ma chatte à des .... éboueurs.
Je les ai entendus arriver alors que j'avais oublié hier soir de sortir la poubelle.
J'ai couru à la cave, ouvert le garage et attrapé notre grosse poubelle. J'ai couru jusqu'au portail qui est automatique et je suis arrivée en même temps qu'eux. J'ai réalisé alors que j'étais pieds nus et en pyjama marron en coton très léger et transparent (un peu c'est vrai). Mais j'ai vu que les deux noirs préposés à vider les poubelles mataient entre mes cuisses et mes seins. Je me suis sentie soudain nue et très excitée. Tu sais mon goût à l'exhibition.
Je les connais car ce sont toujours les même qui passent. Ils m'ont gentiment chahutée et le chauffeur a ouvert la vitre du camion pour mater. Je leur ai souris et le chauffeur m'a dit que j'étais une bien jolie dame et qu'il devinait que j'avais de beaux seins. Gonflé je me suis dit. Un autre a ajouté qu'ils aimeraient bien les voir en éclatant de rire.
Alors ni une ni deux, j'ai soulevé le haut du pyjama et je leur ai montré mes seins. Je suis folle non !!!
Ils ont bien sûr demandé à voir mes fesses. Je me suis retournée et j'ai baissé ma culotte de pyjama et offert mon cul à leur regard. La chatte, c'est en me tournant vers eux qu'ils l'ont vue. J'ai dû vite rentrer car ils ne voulaient plus partir.
Je viens de me faire jouir en repensant à ce que je venais de faire devant chez moi !!!
Jeudi
Léane, mon cœur
Ce matin je me réveille encore en retard, je bondis du lit et alors qu’à moitié endormie, j’allais me diriger vers la salle de bain, j’entends la voiture des éboueurs qui s’approche de la maison. J’avais encore publié la poubelle ! Je ne pense pas une minute à lundi ! Je me précipite et je descends au garage pour prendre ma grosse poubelle, je traverse le jardin, j’ouvre le portail automatique (comme l’autre jour), et là, à ma grande surprise, trois personnes me regardent ! Je me rends compte que je suis en fine nuisette de soie rose très transparente qui descend juste sous les fesses, et bien sûr nue dessous.


Il y a le même chauffeur noir dans sa cabine en hauteur et, derrière le camion, un des noirs de lundi que je reconnais et une jeune femme, pour ramasser les poubelles et les mettre dans la benne. Ils me regardent d'un air narquois et très intéressés par ma tenue :
- « Alors jolie madame, on se réveille encore tard ce matin ? ». C’est le chauffeur qui parle.
- « Euh oui, excusez ma tenue, mais… »
- « Oh, elle très bien votre tenue, ne changez rien, on va pouvoir juger par nous même ce qu’elle ne cache pas ! »
Il range la benne, passent tous dans le jardin, mon portail reste ouvert. On peut nous voir, j’ai peur et en même temps je sens que déjà je mouille. Ils s'approchent, et le chauffeur prend ma tête et la renversant enfonce sa langue dans ma bouche, tout en me maintenant fermement par la taille. Carrément ! Sa main descend sur mes fesses et les caresse doucement, puis remonte la nuisette sur mes hanches, ma croupe est à la vue de ses deux collègues femme et homme !
- « Ah, j'ai oublié de vous présenter une stagiaire. Nous lui avons parlé de vous et elle a voulu vous connaître, elle est jolie hein ? Dit-il laissant ma bouche.
- « Oui, oui, je réponds », en reprenant mon souffle.
- « Bonjour mademoiselle » Elle me réponds :
- « Bonjour Madame », et à son tour elle me prend dans ses bras et me roule une pelle avec sa langue. Je lui réponds immédiatement en passant ma main derrière sa tête en lui maintenant fermement ! Elle embrasse divinement bien et je sens que je vais perdre la tête ! On se roule nos langues, elle me saisit les seins. Je suis follement excitée. Elle est jeune et très belle. Je sens son ventre qui se frotte au mien.
Pendant ce temps, le chauffeur est passé derrière moi, et se frotte à mon cul, son membre, qu'il a sorti est impressionnant. Il soulève ma cuisse gauche et doucement, il l'enfile dans ma chatte pleine de mouille ! Je suis coincée entre ces deux corps, prisonnière et violée.

- « OH ! Qu'elle est bonne la belle dame, Pédro, tu viens voir ?
- « Je vous en prie parlez moins fort, mon mari dort encore et puis fermez le portail on pourrait nous voir ! »
- « C'est ça, ma belle Dame vous avez raison, on sera entre nous. »
- « Fais moi voir ce beau cul Ahmed. Ah Oui c'est un beau cul. Allonge là sur la table de jardin on va lui en mettre une bonne dose ! Elle va prendre… Ils m’allongent sur la table.
La jeune employée dit alors:
- « Mais avant je voudrais lui lécher la chatte à cette bourgeoise. »
- « Mais oui, viens me lécher, j'adore ça, et mon clito aussi. »
La jeune femme s'accroupit après avoir enlevé sa tenue. Elle est en petite culotte et sans soutien gorge (elle a des seins superbes), elle écarte mes cuisses, et enfonce sa langue dans ma chatte déjà ruisselante de mouille. Elle me boit littéralement en introduisant en même temps un doigt dans mon petit trou du cul, je gémis en ondulant ma croupe. Je lui maintiens fermement la tête contre ma vulve brûlante.
Pendant ce temps, le Pédro vient devant sur le côté et me propose sa queue bien bandée devant la bouche. Je vois ses grosses couilles bien remplies au dessus de moi. Je prends son membre d'une main et de l'autre je lui caresse ses couilles. Puis il introduit sa queue dans ma bouche largement ouverte et un va et viens commence. Je le pompe de plus en plus fort et bientôt il jouit au fond de ta gorge dans râle retenu mais sonore quand même ! Il me colle la tête contre son ventre et je n’ai d’autre solution que d’avaler son sperme.
Pendant ce temps Ahmed a écarté la jeune femme et entreprends de s'occuper de mon cul distendu par les doigts et la langue gourmande de sa collègue. Il me prends les chevilles, soulève mes jambes et le bassin. La jeune fille écarte mes rondeurs pour bien mettre à nu mon petit trou. Il approche son membre et d'un coup souple il s'enfonce dans mon cul !
Je pousse un cri mais le plaisir est intense et je m’entends lui dire :
- « Oui vas y, met-la moi bien profonde ta grosse queue que je la sente, fais moi jouir avec mon cul de salope, vas y défonce moi ! ».

Mon dieu je ne me reconnais plus encore une fois. Il s’enfonce profondément, lime mon cul et il est tellement excité qu’il décharge aussi vite dans mon ventre. Repus, il se retire.
Pendant ce temps Pédro, qui s’est vidé une première fois dans ma bouche, a récupéré, et sa bite est déjà bien bandée. Il prend la place laissée libre entre mes cuisses et m'enfile la chatte dégoulinante de mouille ! La fille me doigte le cul en même temps et me tripote les seins.
-« Ah qu'elle est bonne cette bourgeoise ! » dit-il entre deux coups de bite.
La jeune femme, un doigt dans mon cul et son autre main sur les seins, s’est emparée de ma bouche et me roule une pelle pendant qu'elle titille ton clito passant du cul à la chatte. C’est à ce moment là que je jouis dans un grand cri, jouissance venue du cul de la chatte et de mon clito ... et Pedro se vide une seconde fois les couilles mais dans mon intimité cette fois. Quelle santé !
Je m’écroule sur la table, dégoulinante de foutre entre les fesses et les cuisses. La jeune fille se glisse entre mes jambes et lèche mes trous récoltant la liqueur mâle et ma mouille pour la boire, pendant que les éboueurs se rhabillent. Ils sortent, hilares en me disant :
- « Alors, à la prochaine Madame, ce fût un plaisir ! Bonjour, à votre jardinier. »
– « Oui, oui, à bientôt », je réponds... jardinier ? Encore Joachim !
Je rentre en courant malgré mes jambes de coton. Il faut que j’aie une discussion avec Joachim. Cela devient urgent.
Léane ma chérie, tu ne peux pas savoir combien j’ai joui. Je t’envoie des photos de moi nue et envoie m’en toi aussi. Tu es si belle ma petite salope.
si vous voulez des photos...demandez
Effrontée

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