Poèmes

A COUPS DE LANGUE

A coups de langues nous jouons
Et j'imagine que je lèche
Le clito de ton beau chaton
Ce qui fait bien bander ma flèche

Je te demande si tu veux
Mon bout du doigt dans ta culotte
Pour aller l'astiquer un peu
Faisant que ta gorge grelotte

Je te dis que je vais brouter
Ton abricot déliquescent
Bouffer ton cul pour l'amener
A s'enfiler mon doigt dedans

Alors tes tétons se raidissent
Sous mes propos dévergondés
Et ma main le long de tes cuisses
Rampe jusqu'au matou trempé

Je fais durer l'effleurement
Je veux que tu me dises "encore"
"Branle-moi plus fort maintenant"
Mon pétale est en train d'éclore

Je te dis que tu suces bien
Et tu te colles contre moi
Oh je sais que tu voudrais bien
Mais je veux te dicter ma loi

Tu me pomperas tout à l’heure
Et je te regarderai faire
Suivant ta jolie bouche en cœur
Dans ses va-et-vient incendiaires

Chérie tu me regarderas
Quand ma langue et mes doigts ensemble
Exploreront tous tes endroits
Jusqu’à ce que ton corps en tremble

Je dis que ta figue goûteuse
Fera un nid bien accueillant
Au bulbe de ma queue fouisseuse
Qui la ramonera longtemps

Je te dis que tu peux choisir
Où je prendrai ton pucelage
Dans le pré plein de tes soupirs
Ou face au miroir du lit-cage
Et même chérie si tu aimes
Ma bite le prendra partout
Et tu chanteras des poèmes
Petits cris qui me rendront fou

Pour ça je huilerai ma belle
Dans la raie de ton cul superbe
Et tout le long de ton tunnel
Attendant que mon foutre y gerbe

Oh mon amour que ta craquette
Soit inondée à ta lecture
Bientôt je lui ferai minette
Pour la fourrer de mon pieu dur



ASSIS SUR LE SOFA

Assis sur le sofa
Moi j’ai pris tes épaules
Toi tu ne vois que moi
Et mes mots doux te frôlent

Tu rougis tendrement
Aux instants que j’évoque
J’ancre tout doucement
L’émoi que je provoque

Mon doigt suit lentement
Le sillon de tes seins
J’aimerais tellement
Les prendre à pleines mains

Ma bouche est si gourmande
Qu’elle veut les bourgeons
Qui fièrement se tendent
Oh les jolis bonbons

Quand les bretelles glissent
Et tombent sur tes bras
J’en baise la peau lisse
Et je descends plus bas

Et le ventre gainé
D’une noire dentelle
J’y pose des baisers
Comme un vol d’hirondelles

J’ai faim de tes rondeurs
Ma bouche n’en peut plus
Je joue de mes ardeurs
Là où la peau est nue

Mes lèvres se promènent
Dans ton décolleté
Et puis plus rien ne freine
Cette langue effrontée

Qui s’insinue enfin
Sous le noir ajouré
Des bonnets de satin
Et se met à jouer

Avec les pointes brunes
Qui d’un coup se redressent
Sur les superbes dunes
Avides de caresses
Mes mains n’en peuvent plus
D’attendre le festin
Et ces fruits de chair nue
Je les libère enfin

Ils remplissent mes paumes
Qui n’osent pas encore
En extraire l’arôme
En les pressant plus fort

Mes lèvres les parcourent
Sur toute leur surface
J’en ai le souffle court
Et ma langue s’agace

Elle voudrait lécher
Les belles aréoles
Elle voudrait jouter
Avec les pointes folles

Elle fond sur ses proies
Et les butine enfin
Quand tu pèses des doigts
De mon cou vers tes seins

Je guette le désir
Dans le vert de tes yeux
Et puis je les aspire
Pour que tu geignes un peu

J’assouvis à genoux
D’abord sur tes chevilles
Mon appétit de loup
Pour tes langueurs de fille

Mes doigts frôlent en tous sens
Le voile noir des bas
Cherchent les confidences
Que leur font ces deux-là

Sur la peau toute lisse
Qui en jaillit plus haut
Et se fait la complice
De mes élans très chauds

Je remonte en douceur
La robe jusqu’aux hanches
Frôlant dans leur tiédeur
Deux bandes de chair blanche
Je t’allonge en travers
Et je reste interdit
Car la magie opère
Tant tu me fais envie

Quand ma bouche se pose
Aux endroits sans défense
Tu deviens toute chose
Je perçois tes essences

Je m’enivre en baisant
L’intérieur de tes cuisses
Ma langue serpentant
Tout près de ton calice

Sous le voile indiscret
Je devine la faille
Le sanctuaire aux secrets
Recelant le corail

Le désir qui me cingle
Me donne l’illusion
D’un joyau dans sa jungle
Taillé comme un gazon

Je n’en peux plus d’attendre
Je voudrais m’engloutir
Et toi tu veux te rendre
Au feu de mon désir

Mais l’attente est trop belle
Et ma bouche s’abat
En pleine citadelle
Mouillée de tes émois

Je lèche le tissu
Imprégné de rosée
J’ai soif de la peau nue
Qui s’y trouve cachée

Je mordille les lèvres
Dans leur nid de satin
De ma langue d’orfèvre
J’en parcours le dessin

Mais il me tarde alors
De goûter ton nectar
Et pour mouiller au port
Je dénoue le rempart

Un sanglot de bonheur
Fait résonner ta gorge
Quand coule la liqueur
De ton beau sucre d’orge

Dans ces yeux suppliants
Je te découvre offerte
Tu me veux ardemment
Dans tes cuisses ouvertes

Tu tends tes mains vers moi
Pour me déshabiller
J’aime que ce soit toi
Je suis trop énervé

Tu saisis mon épée
Pour la mettre au fourreau
Tu la gaines en entier
En m’embrasant le dos

Quand mon lent va-et-vient
Commence sa conquête
Le désir qui me tient
Se transforme en tempête

Et quand le tourbillon
Fait s’épancher mon glaive
Tu jouis à l’unisson
Et nos plaintes s’élèvent

Là tu me gardes en toi
Et j’aime tes caresses
Et la petite voix
Pleine de ta tendresse



ODILE A LA GYM

Odile s’était attardée
Sur le tapis de gymnastique
Et vit deux blacks intéressés
Par sa prestation dynamique

« Position du chat qui s’étire »
Scandèrent les deux baraqués
Et ils se mirent à sourire
Comme deux fauves carnassiers

Ils s’approchèrent sans façons
En usant de conseils concrets
Pour peaufiner sa reptation
Et en optimiser l’effet

Dans un souci de perfection
Elle se laissa modeler
Par leurs quatre mains en action
Sur les endroits sollicités

L’un s’agenouilla devant elle
Lui maintenant les bras tendus
Quand l’autre avec beaucoup de zèle
Dirigeait d’un ton convaincu

« Faites bien descendre la taille »
Et entre tea-shirt et shorty
Ses mains la prirent en tenaille
Appuyant petit à petit

Ca lui fit chaud sur sa peau nue
Bien plus qu’il n’était raisonnable
Le shorty lui moulant le cul
Elle était plus que désirable

Ne se gênant plus pour frôler
En prétextant placer ses cuisses
Ils cernaient le tissu trempé
Portant la trace accusatrice

Ils ne purent qu’être excités
A détecter la bonne mouille
Qu’ils mouraient d’envie de goûter
Avant que leurs manches la fouillent

Les tétins d’Odile gonflaient
Dardant leurs petits appendices
Et les doigts pressants tripotaient
Les formes livrées à leur vice

Des hanches aux mollets galbés
Du cou à la nuque flexible
Jusqu’à ce qu’enfin dévoyée
Il n’y eut plus lutte possible

Alors entre fuites d’anguille
Et rattrapages peloteurs
Odile eut bientôt aux chevilles
Son string maculé de moiteur

Dans la raie entre ses rondeurs
Un gland se glissait sans ambages
Quand deux mains pleines de douceur
Vinrent empaumer son visage

Menaçant ses lèvres pudiques
Une grosse bite aux abois
Quêtait la plume fatidique
Et Odile n’eut pas le choix

Elle happa l’énorme prune
En se disant que si derrière
Celle qui convoitait sa lune
Etait de taille similaire

Elle allait se faire tringler
Par de mahousses périscopes
Qui la feraient redemander
Comme une délurée salope

Dans son dos le bel instrument
Faisait la cour à sa pastille
Alors que suçant bruyamment
Elle ravissait ses papilles

Puis le large engin fureteur
Choisit le chemin de son con
Et de son bulbe inquisiteur
S’enfouit dans le plaisant chaton

En sentant que le salopard
Etait le jumeau du premier
Odile pompa sur le dard
S’accrochant aux lombes musclés

Sa moule était si bien remplie
Qu’à bouche close elle ahanait
Alors les larrons ont compris
Quelle jouisseuse ils s’envoyaient

Chacun à leur tour haranguant
La ribaude qui gémissait
Ils entretetinrent son penchant
Pour la baise qui commençait

« Tète-moi ce beau biberon
Oh tu aimes ça ma cochonne »
« On va te démonter l’oignon
Oh putain qu’est-ce que tu es bonne »

« Tu veux encore de la queue
Bien plantée au fond de ta motte »
« Vas-y suce-moi bien le noeud
Avale ma grosse carotte »

Odile accusait les impacts
Par des plaintes révélatrices
Le niqueur restait au contact
En pilonnant dans ses abysses

L’autre traquait ses grands yeux verts
Semant une tourmente exquise
Et à ce petit jeu pervers
Il y vit de la gourmandise

Quand vint son premier cri d’extase
La bouche libre de la trique
Ils avaient bien sapé les bases
D’une révolte anorexique

Ils l’amenèrent sur un banc
En la couvant de regards lourds
Où ils comptaient les mécréants
Entreprendre d’autres labours

Odile comme un automate
Suivait le duo de salauds
Elle avait le feu à la chatte
Et reluquait les gros morceaux

Eux n’étaient pas si innocents
Et avaient bien vu ses tétons
Quand leurs mots s’étaient faits mordants
Se tendre tels des aiguillons

D’abord l’étendant sur le dos
A tour de rôle ils lui lapèrent
La perle ou le jus d’abricot
Et les pointes de ses seins clairs

Odile geignait sans compter
Eux plantaient d’autres baïonnettes
« C’est bon de se faire brouter
Tu en veux d’autres des sucettes »

« Ouiiiii » jouissait la bonne baiseuse
Sous les sévices conjugués
Des attaques de leurs muqueuses
Et des propos acidulés

Voyant qu’elle en voulait encore
Après un autre pied grandiose
C’est la basculant sans effort
Que vinrent les feuilles de rose

En triturant ses formes rondes
Leurs langues servant d’éperons
Ils la grisaient de leur faconde
En lui fourrant le trou mignon

« On te le bouffe bien ton cul
On va t’assouplir la cocarde
Et tu nous monteras dessus
Petite chienne vicelarde »

« Ooohh » ronronna-t-elle en sentant
Une phalange dans l’anneau
Et ivre de ces mots brûlants
Elle l’engloutit aussitôt

Les deux sagouins comprirent vite
Que la garce était sous leur coupe
« Petite poupée sodomite
On va te fourrager la croupe »

« Mais pour le moment ma salope
Tu vas t’en prendre plein la figue
Par nos gros gourdins nyctalopes
A te faire danser la gigue »

Un resta debout à côté
Prêt à faire bouffer sa pine
Quand l’autre se fut allongé
En se redressant la badine

Et lui qu’elle avait bien pipé
Lui dit « viens que je te dérouille »
Lui signifiant de l’enjamber
Pour se l’emmancher jusqu’aux couilles

Sa foufoune était ruisselante
Sous le vocable scandaleux
Et elle muta en bacchante
Au déferlement graveleux

« Allez viens là que je t’embroche
Que mon beau mandrin te trombine
Et gobe les grosses balloches
Avec ta bouche de chaudine »

Elle s’enfourna un hussard
Avec des yeux provocateurs
Et se prit l’autre braquemart
Au plus profond de ses langueurs

Elle avait du mal à lécher
Tant l’ogive à tête chercheuse
Etait en train de dévaster
Sa craquette si liquoreuse

« C’est ça gueule petite pute »
La sonna l’assidu tringleur
Elle avait cessé sa turlutte
Pour entonner une clameur

Car pour en épicer la monte
En plus d’un frottis plein d’ardeur
Odile avait eu pour le compte
Un doigt épais dans le baigneur

Mais maintenant les forcenés
Voulaient s’envoyer l’oeilleton
Au centre de la voie serrée
Pour y déverser leur bouillon

Et c’est sur un tapis de sol
Que manipulant leur victime
Multipliant les courses folles
Ils jouèrent leurs pantomimes

D’abord à salive abondante
Ils dilatèrent l’écusson
Logeant trois doigts en poussée lente
A leur gabarit d’étalons

Pendant qu’un bourrait sa minette
Sans doute pour la préparer
A l’inéluctable doublette
Qu’ils allaient lui administrer

Alors revint la partie fine
Où Odile était à genoux
Jambes écartées et féline
Au-dessus d’un premier voyou

Qui se l’empala en grondant
« Tiens prends ça dans le berlingot »
Pendant que lui prenant les flancs
L’autre pointait son bigarreau

Et lui promettait sans mentir
« Tu vas voir ça va être bon
Nos bananes vont te remplir
Fourrer ton cul et ton bonbon »

« Tu vas en avoir de la crème
Tu vas te gaver ma cochonne
Oh oui on sait bien que tu aimes »
Et il perfora la mignonne

Un « ooohhh » feulé à pleine gorge
Accueillit l’entrée du bourgeon
Au creux de la petite forge
Qui attendait l’intromission

On lui pinçait les mamelons
On lui astiquait le pistil
Et Odile avait des roustons
Qui battaient sa mangue docile

Et les deux blacks la barattaient
Tantôt dessus tantôt dessous
Pour que chacun de leurs jouets
Lustrent l’ourlet et le minou

Elle hurlait sous le saccage
N’en finissant plus de juter
Et au bout de ce surmenage
Il leur fut temps de décharger

Celui qui limait le calice
Se fit emboucher à nouveau
Et l’autre reprit l’orifice
Pour donner le dernier assaut

« Oh tu aimes ça qu’on t’encule »
Scanda-t-il en la besognant
Pendant que son pieu majuscule
Chargeait l’opercule béant

« Vas-y pompe-moi ma chaudasse
Bois mon foutre à pleines gorgées »
Gueulait sous la succion vorace
Le premier qui allait gicler

Odile avala de purée
Les lèvres crispées sur le jonc
Tout un flot à s’en régaler
Qui débordait sur son menton

D’autant que l’autre suborneur
Y allait d’un autre refrain
Pendant qu’il lâchait sa liqueur
A geysers qui brûlaient ses reins

« Tiens il est pour toi mon sirop
Je vais t’en mettre plein le cul »
Et puis il hoqueta des « oohhhh »
En éjaculant tout son jus

Puis ils suivirent à la douche
Pressants d’attouchements osés
La poupée blonde pas farouche
Qu’ils venaient juste d’épingler

Et puis tout en la plantant là
Ils lui lancèrent amusés
On te saute quand tu voudras
Il te suffit de t’attarder


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