A Voile Et À Vapeur

Je suis à voile et à vapeur, j’aime autant les hommes que les femmes. J’ai de la change, mon mari aime que je sois comme ça. Seulement je suis jalouse, pas question qu’il fasse l’amour avec une autre personne que moi: pas touche à mes amantes. Quand j’ai rendez vous le soir avec une copine, je le lui dit. Il sait que je vais baiser avec une autre. D’avance je devine ce qu’il va faire: il va bander en se couchant, il se branlera plusieurs fois. Au petit matin je serai là, il me baisera aussi. Pour me faire pardonner je le laisserai faire ce qu’il aime, il me sodomisera. Je prendrai mon plaisir aussi: je l’aurai bien pris de l’autre coté avec une langue au moins.
- Tu sais que je me suis branlé cette nuit, je te voyais entre les bras d’une autre. Je sens encore son gout dans ta bouche.
- C’est vrai j’ai bien baisé avec la voisine du dessus, celle qui me fait des avances depuis longtemps. Nous attendons une autre qui habite en face. Bernie, mon amante lui fait des avances. Je crois qu’elle arrivera à la mettre dans notre lit: je te raconterai.
C’est ainsi qu’il accepte que je découche avec d’autres femmes: que je lui dise tout et comment. Le comment il le connais: nous nous suçons les sexes ou le cul. Nous nous branlons toujours, nous suçons les seins durcis par le désir.
Ce mercredi soir, je retrouve Bernie. Comme toujours j’entre sans frapper: elle m’attend. Ce soir elle n’est pas nue ou presque comme presque toujours. Deux autres femmes sont là: elle me les présente
- Voici Marie Laure et Fred, elles sont comme nous. Des copines quoi.
- J’en suis enchantée. J’aimes les filles comme moi.
- Nous perdons beaucoup de temps. C’est vrai vous êtes d’accord pour faire une mini-partouze entre filles ?
- Bien sur, répond la voisine, d’en face, Marie-Laure.
Au moins elle ne fait pas dans le détail, elle me regarde, je lui plais et quand une fille lui plait, elle sait comment faire pour la dévergonder.


Elle vient sur moi pour m’embrasser à sa façon, elle lèche mes lèvres en grand. Je ne suis pas habituée à ce genre de « baiser ». En tout cas c’est drôlement excitant. J’ouvre la bouche au passage pour attr sa langue et jouer avec elle. Du coté de Bernie les choses se passe plus calmement. Un baiser normal semble avoir lieu. Toutefois, Bernie, à son habitude commence à déshabiller Fred. J’ai envie de baiser Marie Laure qui s’attaque à ma poitrine comme si ce genre de caresse devait me laisser froide. Je colle mon pubis contre le sien, deux mains sur ses fesses lui montre bien ce que je veux. Je commence à soulever le bas de la robe légère. Elle me laisse faire: maintenant ses seins sont contre les miens, nos langue naviguent de bouche en bouche. Elle trouve la fermeture de mon petit chemisier, Elle fait vite pour me mettre torse nu. Je ne sais si elle se doute de mon excitation du désir que j’ai de sentir ses mains sur ma chatte. Si j’avais su j’aurai mis un string pour que ma cyprine soit ralenti au lieu de couler entre mes jambes.
Enfin, si j’ose dire, nos bouches se séparent. Maintenant nous embrasons les seins de l’autre. Ses tétons me semblent plus durs que les miens. Comme je connais bien les lieux je l’entraine sur le divan. Nous sommes juste assises quand elle passe une main sous ma jupe. J’écarte les jambes sans attendre qu’elle monte ce qu’elle fait de toute façon. Sa main est douce entre mes cuisses. Plus elle monte plus je mouille: je crève de désir. Enfin je la sens arriver sur ma chatte. Elle ne va nulle part en particulier, sa main est étendue sur toute ma chatte, je sens sa paume contre le clitoris, ses doigts sur l’anus.
Qu’elle me fasse ce qu’elle veut, mais qu’elle le fasse. Je remue mon ventre pour qu’elle se dépêche vite. Ce n’est pas suffisant: je le lui demande:
- Vite branles moi.
- Patientes un peu.
- Non, maintenant. Je t’en supplie.
Elle me rappelle mon mari quand il veut me faire languir sa queue.

Finalement elle vient me masturber. Que sa main est douce sur le clitoris. Elle ne fait pas comme je le fais, elle entoure d’un mouvement tactique, sans le toucher une seule fois. Je sens que je vais éclater de désir, j’ai moralement et physiquement besoin de sa main, de ses doigts de ce qu’elle veut: qu’elle me masturbe, même mal.
Enfin elle effleure l’organe. Quand je la sens sur moi je relève mon bas ventre. Cette fois elle commence à caresser lentement, puis plus vite. J’avais tellement besoin de l’orgasme que j’éclate d’un seul coup en poussant un cri de délivrance. Vite étouffé pas la bouche de Marie Laure
Fred et Bernie sont sur le tapis à l’endroit où normalement je devrais être. Leur relations sont plus normales, elles sont couchées, en 69 bien avancées dans leur amour. Ce que je vois de Fred est aussi excitant que Marie Laure. Je veux masturber Marie Laure: elle me laisse faire quand ma main est sur sa chatte. Son beau clitoris me plait beaucoup. Je le caresse un peu, j’ai envie de la manger. Je me mets à ses pieds, ma bouche l’embrasse partout entre les cuisses. Ma langue lèche tout ce qu’elle trouve. J’arrive sur son sexe, je suis envahie par son odeur entre sucré et salé. Ma langue prend en entier son bouton pour le lécher. Elle tient ma tête pour que je ne parte pas. Mon nez est blotti contre son pubis. Je regrette qu’elle soit rasée.
A tant qu’y être mon doigt par vers son joli et profond puits. J’y ajoute un deuxième, les pulpes vers le hauts. Je vais et vient dans ce vagin bien mouillé. Elle gémit comme un bébé qui a faim. Elle a faim de jouissance. Je vais lui en faire plus, je lui mets carrément deux autres doigts de la main gauche dans le cul. S’en est trop pour cette première fois, elle cri sa jouissance accompagné d’encore, baises moi, encore, n’arrête pas. Bernie curieuse de savoir ce que j’ai fait vient me remplacer.
J’ai juste le temps de me dépêtrer de Marie Laure que Fred est avec moi. Elle aussi voudrai partager avec moi ses plaisirs particuliers.
Je ne savais pas qu’elle avait une telle langue si agile. Notre 69 devient une œuvre d’art. Sa langue a commencé par le vagin, elle l’a mise au fond en tout cas le plus possible. Je ne sais pas ce qu’elle me fait, en tout cas je suis moi aussi sur le point de hurler. Je sens ce plaisir monter de mon sexe par mon dos jusqu’à ma nuque avant de descendre il me semble jusqu’aux pieds pour remonter à ma chatte. C’est mon premier orgasme si profond.
Nous sommes complètement vidées, juste bonne à dormir après des caresse réparatrices.. Vu l’heure je préfère revenir chez moi: un étage est vite descendu. Le reste des orgasmes m’est donné par mon époux. Qu’est-ce qu’il a pu me mettre un peu partout, dans le vagin et le cul. J’ai même eu droit à sa queue dans la bouche. Nous avons fini en 69: cette nuit il ne s’est pas masturbé pour moi.

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