Un Chaud Matin D'Hiver

J’étais assise sur la balancelle, ma tête reposant sur les coussins confortables et moelleux. Face à moi le grand lac noir reflétait le disque argenté de la lune ronde. Le silence régnait sur ce paysage de rêve, quand soudain, j’entendis son petit hululement perçant. Je scrutai le ciel étoilé pour tenter de surveiller son approche, mais il me surprit encore une fois.
Sans un bruit, il vint se poser sur l’accoudoir. Et comme chaque soir, il caressa ma joue avec une extrême délicatesse en refermant ses immenses ailes immaculées. Son regard me fixait intensément, et je demeurai un instant hypnotisée par ses grands yeux d’or scintillants. Je fermai mes paupières et tendis timidement ma main vers lui, quand soudain un jacassement rocailleux transperça la nuit………..J’ouvris subitement les yeux et mon sublime oiseau de proie s’envola……..tout comme mon rêve !!!
La pie lança de nouveau son chant aigu. Je me redressai sur un coude. Comme nous avions laissé les volets de la porte-fenêtre ouverts, je la vis se dandiner dans l’herbe humide du matin. Je ne savais pas quelle heure il pouvait bien être, mais les premiers rayons de soleil perçaient timidement la brume automnale. Me revinrent en mémoire la tempête de cette nuit. Non pas dehors, mais celle que nous avions provoquée dans notre lit, et qui nous avait laissés éreintés. D’ailleurs, les vêtements éparpillés partout sur la moquette témoignaient de l’ouragan de nos sens.
Je sentais la chaleur de ton corps contre le mien. Je souris en regardant ton visage emprunt d’une douce quiétude. Ta respiration était lente et régulière. Manifestement l’oiseau ne t’avait pas éveillé comme moi. J’en étais ravie, car je préférai nettement le faire moi-même. J’avais encore terriblement envie de toi, malgré nos joutes de la veille.
Je m’étirai comme un petit chaton et m’éclipsai discrètement de sous nos draps. Je voulais faire un petit brin de toilette, recoiffer mes cheveux ébouriffés après cette nuit de tempête sensuelle.

Je voulais tout simplement être la plus désirable lorsque tu ouvrirais tes paupières sur moi. Après une petite douche rapide, je prenais le temps d’enduire mon corps d’un lait parfumé, de me maquiller.
Quand je revins dans la chambre, tu dormais toujours dans la même position, sur le dos, la tête bien calée dans ton oreiller, tes deux bras relevés. Mon cœur se gonflait de désir chaque fois que je te découvrais ainsi.
Dans l’âtre de la cheminée, quelques braises rougissaient encore. Je déposais dessus, une bûche de chêne et je me glissai de nouveau sous la flanelle chaude, et me lovai tout contre toi. Je me mis à jouer avec la toison de ton torse. Puis je déposai quelques baisers sur ta poitrine, remontant lentement sur tes épaules, ton cou. Tout en bécotant le lobe de ton oreille, je délogeai ta natte de sous ta nuque et je passai son fin plumet sur ma joue, dont le soyeux me rappela étrangement le frôlement d’aile de mon oiseau de rêve.
Je me mis à butiner tes belles lèvres, mais ne voulant pas t’éveiller trop vite, je les abandonnai pour tes paupières, puis le coin de tes yeux. J’effleurai tes tempes, puis mes bécots glissèrent sur tes joues, rasant les commissures de ta bouche, sur ton menton et retrouvèrent leur point de départ. Mes lèvres se firent plus gourmandes, maintenant prisonnier un petit tétin rose qui darda aussitôt sous leur léger pincement. L’un après l’autre, je leur fis fête, les aspirant, les léchant, avant de repartir à l’aventure. Mes mains frôlaient tes épaules, se promenaient dans le creux de tes aisselles puis longèrent tes bras, pendant que ma langue titillait ton nombril. Levant un instant les yeux vers toi, je constatai que tu gardais toujours les tiens fermés, et ton visage tranquille. Mais je n’étais pas dupe………je savais très bien que cette apparence impassible allait bientôt tomber.
Dans la cheminée, le feu crépitait maintenant joyeusement, lançant des éclairs orangés sur les murs de la chambre. La chaleur se faisait plus ardente, aussi je repoussai les draps au pied du lit et d’un mouvement très félin, m’installai à califourchon sur toi.
Mes mains reprirent leur danse sur ton ventre, descendant sur tes hanches, s’aventurant malicieusement à l’intérieure de tes cuisses, les longeant jusqu’au creux du genou. Puis, elles remontèrent en esquissant de sinueuses volutes, attouchant insidieusement ton mat maintenant fort tendu. Je fis coulisser mon bassin tout le long de tes jambes, pour que ma bouche remplace mes mains. Et laissant celles-ci parcourir ton corps, je dessinai du bout de ma langue d’aériennes arabesques dans l’aine, puis furtivement sur ta tige turgescente. Je sentais bien ta respiration s’accélérer, mais tu ne bougeais toujours pas, cependant les discrets tressautements de ta queue sous mes baisers m’indiquaient que ton profond sommeil était feint.
D’ailleurs, tes cuisses s’écartèrent un peu lorsque mes mains se mirent à palper avec tendresse tes bourses pleines, et que je laissais mon médium errer jusqu’à ton anneau que je savais sensible aux effleurements.
Mes baisers se firent plus avides de toi. J’ouvris mes lèvres et les pressai pour branler amoureusement ton épée. Tu laissas échapper un gémissement quand elles gobèrent ta pine sur toute sa longueur. Ma langue s’enroula autour de ton bourgeon gonflé. Tu me laissas l’exciter ainsi un moment, puis tes reins se soulevèrent sensiblement, enfonçant ta raideur au fond de ma gorge. Je devinai ton manège mais, si j’adorai t’amener à la jouissance en taillant savamment ta plume, j’avais d’autres projets pour ton réveil. Mutine, j’affolais encore un peu ta queue bandée pour attiser ton feu, avant de la libérer de sa geôle chaude et humide. Je voulais lui faire goûter d’autres supplices. J’avais une autre prison au climat tout aussi tropical à lui proposer. Et tel un reptile, je serpentai sur ton corps, jusqu’à offrir l’entrée de ma chatte à ton chybre enfiévré.
« Je te veux Fabrice » te murmurai-je à l’oreille, « Huuuum, sens-tu comme je suis déjà toute trempée? » « Ce matin, c’est moi qui vais te baiser, mon amour » te dis-je en m’enfilant ton épée sans coup férir.
« Je vais être ton amazone, mon chéri !! Je veux te chevaucher jusqu’à perdre conscience!! » J’ondulai petit à petit mon bassin, entrainant ta raideur au plus profond de ma grotte. « Huuuuuuuuuuuum, que c’est bon mon chaton !!! » m’avouas-tu alors !! Je savais bien que tu voudrais suivre ma montée du plaisir, et tu me fixais maintenant de tes beaux yeux remplis d’avidité.
Tes mains remontèrent le long de mes hanches et vinrent palper mes seins encore voilés d’un petit boléro de dentelle, noués juste sous eux. Tu les palpas avec délicatesse, puis tes doigts s’approchèrent des petites fraises bien dardées. Je lus alors la surprise dans ton regard. Tes doigts prirent d’assauts le nœud du petit cache-cœur et eurent tôt fait de le vaincre. Tu écartas les pans du chemisier faisant jaillir ma poitrine parée d’un inattendu et sensuel bijou. « Oooooh ! Qu’ils sont beaux mon chaton, ta féminité me comble ma chérie !! »Me dis-tu en les prenant dans tes paumes. Ce contact attisa encore mon envie de toi. Je portai alors mes doigts à tes lèvres et tu compris mon désir. Quand, les uns après les autres, tu les eus léchés avec application, j’accélérai l’onde de mon bassin tout en commençant à me caresser, mon regard toujours rivé au tien. Mes balancements prirent de l’amplitude, mes doigts tourbillonnant sur ma petite perle en érection. Tes mains agrippées à ma croupe, tu t’enfonçais au fin fond de ma chatte en feu…..Je te sentais malaxer mes rondeurs, ce qui eut pour effet accen le flux de mon jus de fille. Je me sentais fondre sur ta bite toujours plus frénétique. Mes doigts continuaient leur danse folle sur mon clito………
« mhhhh, mon chaton, branle toi ……..……fais toi du bien…..…., huuuuuum, tu me donnes envie de te pilonner, mon bébé d’amour !!! »
« Oh oui Fabriiiiiiiiice, contine, défonce moi fort mon chéri……..je viens……….oui je viens………..ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii……… » Et tout mon être se tendit sous l’intensité de cette vague de plaisir qui venait de s’abattre sur moi, m’arcboutant sur ton axe maintenu ferme…….
.et je te sentais toujours me limant encore et encore pour me pousser à libérer la vague suivante………….mais je voulais aussi aviver le brasier en toi.
Aussi, je me soulevai pour me délivrer de toi. Je vis un court instant une lueur d’étonnement et de déception sur ton visage. Mais tu compris immédiatement mes desseins, quand j’accueillis ton dard tout huilé de mon élixir, dans la raie de mes fesses et que je me mis à le masser divinement. Je me sentais vibrer et m’ouvrir sous ces caresses mutuelles. Tu me pétrissais maintenant mon cul sans vergogne, et ton bourgeon devenait de plus en plus audacieux à l’entrée de mon petit pétale brun.
«Oui mon trésor, je te veux partout ce matin, je vais m’empaler sur toi……..Je veux te sentir bien serré dans mon cul que tu aimes tant…………. » Et me penchant sur toi, mes lèvres effleurant les tiennes, je fis fuir toute retenue pour te dire d’une voix un peu cassée « Encule-moi Fabrice, j’en ai envie »
Et en même temps, je stoppais mon mouvement sentant ton gland à l’entrée de mon huis, et mes yeux dans tes yeux, j’appuyais ma rondelle palpitante sur lui jusqu’à le happer dans mon étroit fourreau. Nos deux plaintes jaillirent de concert, nos soufflent se firent plus courts, plus haletants…..
Tu t’immisçais avec une infinie douceur dans cet étui soyeux, lentement, jusqu’à la garde, puis tu te retirais complètement pour recommencer cette divine pénétration qui nous faisait si agréablement gémir. Puis tu dus lire dans mes yeux mon désir devenir insoutenable, car après une ultime possession, nos deux bassins s’accordèrent avec harmonie dans de voluptueux va-et viens……….Tes mains restaient cramponnées à mes hanches, et les miennes se crispaient sur elles
Tu lâchas un instant mon regard pour regarder les petites chaines dorées qui ballottaient à la pointe de mes tétons, au rythme de notre corps à corps………qui s’accélérait insensiblement……….…….. pour finir dans un tempo endiablé, où ton bassin claquait contre ma croupe………….Nos voix se mêlaient, s’invectivant de mots plus verts pour exacerber notre envie maintenant animale……..A chacun de tes coups de boutoir, mon clito s’échauffait contre ton bas-ventre, je discernai l’onde tenailler mes entrailles et quand je ressentis les premiers tressautements de ta trique contre mes parois, l’effet fut fulgurant………mon con s’inonda à l’instant même où j’accueillis ton flot, et nos râles se transformèrent en cris d’extase pure.
Nous restâmes longtemps vrillés l’un à l’autre, presque hébétés par la puissance de notre orgasme……..cherchant à calmer notre respiration saccadée, et dans un souffle……… nous échangeâmes dans un accord parfait, ce simple mot, mais pourtant chargé de toute notre émotion………
« je t’aime »

Nous avions dû nous endormir de concert, dans les bras l’un de l’autre. Le soleil se faisait maintenant plus haut quand j’ouvris de nouveau les yeux. Tu n’étais plus à mes côtés et j’entendis alors le bruissement de l’eau dans la salle de bain.
Je m’étirai comme un petit félin avant de me sortir des draps encore empreints de ta chaleur. Ton parfum flottait toujours sur ton oreiller. Je traversai la chambre avec pour idée de te rejoindre sous l’eau tiède. Je t’entendis siffloter, tu me tournais le dos quand je pénétrai dans la grande douche à l’italienne. Je t’enserrai aussitôt de mes bras en me plaquant dans ton dos, le parcourant de tendres baisers. Tu te retournas et pris mes lèvres avec une avidité dévorante, pour un profond et voluptueux baiser.
« Huuuuuuuuuuuuuum ma petite sauvageonne, j’adore quand tu me baises ainsi le matin au réveil !!! Nous allons chercher le petit déjeuner et ensuite je m’occupe de toi mon chaton joli. Je veux te faire hurler de plaisir !!! » Et m’attrapant les fesses de tes deux mains, tu glissas tes lèvres jusqu’à ma chatte pour déposer un baiser tout aussi passionné, suivi d’une série de coups de langue en rafale, qui m’arracha un gémissement de ravissement. « Ce n’est qu’un acompte mon bébé d’amour, mais tu ne perds rien pour attendre !! » Tu t’étais déjà relevé et tes mains s’activer sur tout mon corps avec la fleur de lavage toute mousseuse. Ma chatte déjà frémissante par tes divins attouchements, s’enflamma davantage encore sous les lancinants aller et venus du froufroutant tissu parfumé. Tu te plaças derrière moi pour poursuivre ma toilette, frottant vertement ta bite bien dressée dans la raie de mon cul. Tes doigts prenaient ouvertement la relève de la fleur, sur ma faille et mon petit pistil enfiévré. Je fus surprise par la vague qui déferla bientôt, me faisant lâcher un cri de plaisir et d’étonnement devant la violence de cette jouissance si rapide. « OuiiiiiiiiiiiiiiiiFabriiiiiiiiiiiice……………………. » « Hé bien mon poussin, tu m’as l’air en pleine forme ce matin encore » me dis-tu dans un grand éclat de rire. Et tu dirigeas la pomme de douche sur mon dos pour chasser toute la mousse de ma peau. Tu saisis une grande et moelleuse sortie de bain et m’enveloppa tendrement avec, frictionnant délicatement pour bien me sécher. Je me suspendis à ton cou, j’avais une folle envie de bécoter tes lèvres. Tu me laissas faire, puis tu te séchas aussi. Je pris ma brosse à cheveux, et je commençais à brosser ta longue chevelure, démêlant tes fins cheveux pour les séparer en trois brins que je nattai bien serré, puis j’enroulai un élastique turquoise pour maintenir ta tresse. Mes lèvres vagabondèrent un instant sur tes épaules, mes mains descendirent sur tes hanches, glissèrent vers ton ventre en direction de cette arrogante pine qui me faisait envie. Tu te laissas branler un instant. « huuuuuuuuuum ma chérie, les boulangeries vont être toutes fermées si nous continuons ainsi !!! » « Ha, mais c’est que tu préférerais un croissant à une sucette » demandais-je en pouffant de rire, et je filai me vêtir dans la chambre pendant que tu te rasais.
J’en profitai pour passer des dessous que tu ne connaissais pas et je savais que tu serais tout émoustillé en les découvrant un peu plus tard. Quand tu entras à ton tour dans la pièce, tu apprécias du regard, ma petite jupe noire à plis, et le pull court rose fuchsia. J’hésitais entre mettre des bottes et mes bottines. Tu me dis préférer les secondes. Tu t’habillas de ton pantalon de velours noir et de ton ravissant pull gris chiné qui mettait si bien en valeur ta blanche chevelure.
Je passais mon gros blouson chamois, car le soleil s’accompagnait à cette époque de quelques gelées.
Et c’est main dans la main, que nous nous rendîmes au village pour acheter les viennoiseries de notre petit déjeuner. Nous remarquions, que ma petite jupe dévoilant mes jambes gainées d’un voile satiné noir, faisait se retourner quelques personnes, ce qui nous amusa grandement. « Tu es belle mon Odile, et je t’aiiiiiiiiiiime » me susurras-tu à l’oreille en me déposant par la même occasion un délicieux baiser dans le cou. Comme le temps était vraiment clément pour ce mois de décembre, je te proposai de passer par l’autre côté du village pour rentrer, pour aiguiser notre appétit !!! Mais j’avais bien une autre interprétation de l’appétit !!! Le chemin était légèrement plus long et il passait dans un bois, près de la rivière. Du chemin, nous ne voyons nulle habitation. Tu me tenais maintenant par les épaules, mon bras ceignant tes reins. Je me mis à caresser insidieusement tes fesses, que je sentais si fermes sous le velours. Nous arrivions près d’un énorme chêne sans nul doute plus que centenaire au vu la circonférence impressionnante de son tronc. Je me plaçai devant toi, te stoppant dans ta marche et j’embrassai avec fougue tes lèvres qui ne se firent pas prier pour jouter aussitôt avec les miennes. Tu m’enlaças tout contre toi, et je sentis bien que tu plaquais volontairement ton bas ventre contre le mien pour que je me rende compte de la puissance de ton désir qui manifestement ne t’avait pas quitter depuis que nous étions sortis de nos ablutions. Nos baisers devenaient de plus en plus intenses, profonds, nos mains se déchainèrent tout à coup comme si elles découvraient nos corps pour la première fois. Tu me fis reculer de quelques pas, et m’adossas au majestueux chêne, tout en baisant toujours frénétiquement ma bouche, puis s’en crier gare, tu ouvris mon blouson, et pelota mes seins sans vergogne. « Ooooooooh mon chéri, oui, je te veuuuuuuux…….. » et je frottai mon ventre contre cette protubérance maintenant évidente sous le tissu velouté. Tu laissas folâtrer tes mains sur le court pull rose, puis elles se coulèrent sur le sous pull noir et se faufilèrent bientôt en dessous, remontant lentement sur ma peau jusqu’aux deux petits oiseaux blottis dans leur nid. Tu fis rouler mes tétons entre pouce et index par-dessus le fin voile des bonnets. Ils se tendirent aussitôt sous l’effet conjugué des pincements légers et du froid de l’air. Tu soulevas entièrement le pull, laissant apparaître le soutien-gorge en satin rouge dont les triangles de voile noir s’ouvraient grâce à une petite attache style porte-jarretelle. Tu libéras ainsi les pointes de mes seins pour les sucer goulûment à tour de rôle. Tu m’arrachas des gémissements de béatitude. Mon envie était de plus en plus pressante. Tu le sentis dans ma manière de plaquer mon bassin contre toi……….
Tu me lâchas un sein, pour passer ta main libérée le long de mes hanches, jusque à la lisière de la jupe, puis tu remontas doucement dessous et poussa un petit râle de plaisir en sentant la peau fraiche de mes fesses au dessus du bas. « Je ne pensai pas que tu mettrais des bas avec cette jupe, joli chaton !! » « Ce ne sont pas des bas mon chéri » mais à peine t’avais-je répondu que tu remontais encore plus haut ta main découvrant les découpes du collant porte-jarretelles. Tu t’accroupis alors devant moi, soulevant ma jupe. « wouah, c’est ravissant ma poupée d’amour, oh oh, mais que vois-je aussi là !!! » Et tu déposas un long baiser appuyé sur ma chatte toute humide. Je me cambrai alors pour t’offrir ma minouche à ta gourmandise. Tu passas ta bouche, tes doigts sur la dentelle noire du boxer avant d’entreprendre de descendre petit à petit le zip qui défendait l’entrée de mes sanctuaires. Ta langue suivit la progression de la fermeture, je gémissais de plus en plus sous l’affolante caresse. Enfin, ma féminité languissante fut entièrement livrée à ton regard, tu la fouillas soudain de ta langue, déclenchant des vibrations dans tout mon être. Ta muqueuse me fouettait, me lapait, me pénétrait tour à tour, tes mains pétrissaient mes rondeurs jumelles, les malaxaient, les écartant insensiblement. Je positionnais ma jambe droite sur un tronc coupé, écartant ainsi subrepticement le compas de mes jambes, pour ressentir plus intensément tes assauts linguaux. Tout mon corps ondoyait maintenant, et tu m’encourageais de tes mots incendiaires « oui chaton, viens ma belle, jouis, ouiiiiiiiii et je vais te baiser ensuite, te pilonner comme tu aimes …….. » Ma seule réponse fut ce cri rauque qui jaillit du plus profond de ma gorge, sous la force de la jouissance. Et sans me laisser reprendre mon souffle, tu baissas la glissière de ton pantalon, sortis ton mandrin de ton boxer et tu m’empalas de toute la longueur de ta queue. « ouiiiiiii, défonce moi chéri, oh, comme c’est boooooooooooon » et une seconde vague de plaisir déferla me laissant encore haletante. Tu étais toujours en moi, me limant tout doucement maintenant. « Tu en veux encore ma poupée, d’amour ? huuuuuuuum oui, je le vois dans tes yeux ma chérie. Ouiiiiiiiii, je vais te baiser encore mon trésor, ta petite perle frémit toujours, gourmande que tu es……….. »
Je savais que tu n’avais pas joui et j’en devinai bien la raison. Alors te regardant droit dans les yeux, je te retirai de ma minouche et me retournai, calant mon cul contre ton épée toute luisante de cyprine. Mes ondulations te provoquèrent.
« Huuuuuuuuuuuuum ma petite chatte, dis moi ce dont tu as envie………veux-tu que je te baise ou que je t’encule mon chaton ? » Je souris devant ta demande, et je compris que tu voulais que je devienne incendiaire pour attiser ton envie jusqu’à l’incandescence.
« Tu sens comme ma petite bague frémit Fabrice ? Encule-moi fort mon amour, j’en ai enviiiiiiiiiiiiiiiie…….. »
Alors d’un trait tu enfournas ta trique dans mon petit tunnel qui s’ouvrit sans attendre. Tu me maintenais fermement les hanches, et je gémissais sous chacun de tes coups de boutoir. Une de tes mains vient attr la mienne pour l’amener branler de concert mon clito toujours en feu. Tes plaintes se joignirent aux miennes, « Comme je suis bien dans ton cul Odile, oui, serre moi bien fort, je vais venir ma chérie, oui continue, branle toi avec moi………. » Je sentais les palpitations de ta bite, annonciatrices du flot libérateur, j’accélérai encore la cadence de ta saillie par le balancement de mon bassin et l’extase nous prie ensemble, mêlant nos jus et nos plaintes orgasmiques. Ce fut d’une force encore jamais connue, et cela nous laissa un moment pantelants, toujours vrillés l’un à l’autre. Puis la tendresse reprit le dessus. Tu remis amoureusement de l’ordre dans ma tenue, me dévorant des yeux. Je t’aidai à mon tour, et après un langoureux baiser nous reprîmes notre chemin pour rentrer au gîte, ivres de bonheur.





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