Rencontre En Juillet

C'était un peu tristounet au début nos vacances, plus de retraités que de personnes recherchant les rencontres puis un couple de la Manche est arrivé, la dame a fait une approche cuisine et bon mangé avec mon mari qui me sert pendant les vacances, je n'ai pas été dupe, je regardais comment réagissais son mari, il me mâtait à la dérobée, je suis passée à l'action... Ophé

Coup de chance, on désespérait puis ce couple est arrivé, notre âge, quelconque mais apparemment intéressé par de nouvelles connaissances, je voyais bien que le gars mâtais Ophé discrètement, sa femme est venue me parler cuisine pendant un barbuq, elle me collait un peu, j'ai vu qu'Ophé voyait le manège... J.R

Nous avons liés connaissance, le mari, Patrick, n'était ni beau ni laid, sa femme pas mieux mais on s'ennuyait ferme depuis le début, à part nos jeux habituels, on restait sur notre faim, heureusement, cela n'a pas duré, ils nous ont invités à une partie de cartes dans leur bungalow et de suite la partie a été orientée streap, celui ou celle qui perdait, enlevait un vêtement, avec la chaleur, on ne portait presque rien et nous nous sommes vite retrouvés à poil, je savais comment cela allait finir et ma vulve se trempait de désir et de fantasmes... Ophé

Sacré partie de cartes, les femmes étaient chaudes, autant que la région, quand on a commencés à enlever des vêtements, les mains s'égaraient, Monique, la femme de Patrick, avait déjà la fente humide et je suppose qu'Ophé aussi, au vu de ses cuisses écartées sous la table et que le mari tripotait allègrement, j'avais la gaule dans mon slip et quand Patrick à perdu le sien, il l'a baissé, dévoilant un queue en érection, une verge de taille plus que correcte qui a plu de suite à Ophélie, elle me l'a fait comprendre d'un clin d'œil, la Monique à ce moment, ma passée une main à l'entre jambe en me murmurant que je devais être bien monté aussi, elle n'a pas été surprise de sentir que je bandais.

.. J.R

Quand j'ai vu l'objet de Patrick, j'en ai eu envie de suite mais il fallait attendre le suite de la partie et les gages pour espérer pouvoir tâter l'engin, impatiente, j'ai fais le coup de la carte qui tombe au sol pour pouvoir me baisser sous la table et effleurer de la bouche, le gland et le prépuce de Patrick, au passage, j'ai aperçu la main de Monique qui soupesait le paquet de mon homme, je n'étais donc pas la seule à avoir le feu au cul, j'ai humé le dard de Patrick, il sentait l'homme, puis je lui ai tété le prépuce et léché le gland sans le décalotter, rapidement car les participants s'impatientaient, j'étais décidée à tout faire pour perdre et ainsi, être contrainte aux pires des gages, les plus érotiques, les plus vicieux, les plus cochons... Ophé

Ophé était chaude, je l'ai vu faire le coup de "je me baisse sous la table mais ce n'est pas ce que vous croyez", je la connais par cœur, c'était au moment où Monique me pelotait les couilles et le mandarin, il lui restait son slip de bain et je n'ai pas hésité à lui passer une main sous l'élastique afin de lui rendre sa caresse, elle était déjà trempée et ne se gêna pas pour écarter largement les cuisses, fixant d'abord son mari droit dans les yeux, elle fit de même avec Ophélie, provocante à souhait, j'ai porté mes doigts à mon nez après lui avoir doigté la moule, elle sentait bon la femelle qui en veut, avec en plus un léger parfum de pipi qui m'excita au plus au point, je souhaitais secrètement avoir un gage de cunni afin de lui déguster la motte... J.R

Quelle rage, je ne perdais pas, c'est Monique qui enleva son slip de bain avant moi le donnant à J.R qui en renifla l'intérieur et il perdit le sien après, brandissant fièrement à ce moment là, une bite bien raide, sans doute durcie par les massages discrets que lui avait fait Monique sous la table, elle le complimenta d'ailleurs sur les proportions de son engin, je fis de même avec son mari, le prenant dans la main pour la montrer à J.
R, j'avais des idées dégoutantes de gages pour les deux hommes, je me doutais que eux aussi en avaient des bien cochonnes pour nous les filles et je proposais de les écrire, chacun les siennes, sur des bouts de papier pliés que l'on mélangerait ensuite dans la corbeille de fruits au milieu de la table, la pioche à gages... Ophé

Sur l'idée d'Ophé, chacun s'est mit à écrire des gages sur des bouts de papier et à les plier en quatre pour les mettre dans la corbeille, ça ricanait, ça gloussait, les envies et les fantasmes ne manquaient pas et tout cela mélangé, allait surement amener son lot de surprises croustillantes et révélatrices des envies de nos deux nouveaux amis, pour ma part, j'axais beaucoup sur des gages hétéros, mais je me disais en même temps que si les autres faisaient de même, nous allions provoquer des actes bi, car si Patrick tirait un de mes papier destiné à Ophé ou Monique, où je disais "sucez une verge", comment réagirait t'il, et de même pour moi, je ne parle pas des gages tournants autour de l'anal, bien sur, j'avais aussi inscris des gages menant à des actes lesbiens s'ils tombaient sur les femmes, pour Ophé, je savais que cela irait mais pour la Monique...? J.R

Je me défoulais sur mes petits papiers, pleine d'envies cochonnes et sachant que quand j'inscrivais "sucez une queue" cela pouvait tomber sur la Monique mais aussi sur son mari ou le mien, pareil pour le toucher rectal et la sodomie, bien sur, j'avais inscrit des gages de cunni et de feuilles de rose, espérant me faire brouter par n'importe qui, et n'ayant pas d'aprioris à le faire à Monique, je me demandais quand même ce qu'elle ferait si cela tombait sur elle, cette femme était une cochonne hétéro, c'était certain, rien qu'à la voir mater les bites et toucher celle de J.R, je reconnaissais la femelle en rut, mais pour ce qui était des câlins entre femmes, je ne connaissais pas ses orientations, mais j'avais envie de lui faire goutter à ma chatoune et pourquoi pas, de lui manger le cul.
.. Ophé

C'est Monique qui perdit le premier tour , elle piochât et lu son gage à haute voix, "Montrez votre vulve aux participants", je ne sais pas de qui venait cette idée mais c'était une mise en bouche, si l'on peut dire, elle obtempéra de suite, posant les pieds sur la table et écartant largement les cuisses, comme chez le gynéco, elle avait taillée sa toison en ticket de métro, de sa vulve entre-ouverte bordée de petites lèvres carmin, laissaient échapper un mouillement conséquent à son excitation, plus bas, j'apercevais le bourrelet de son anus épilé aussi, chacun vint regarder à loisir l'entré de son puits d'amour puit la partie reprit... J.R

Le fait d'avoir assistée à l'exhibition de son sexe, m'avait encore donné plus envie de montrer ma fente ou de me la faire tripoter, furtivement, je passais mes doigts sur ma vulve, titillant mon clit au passage, moi aussi je dégoulinais de désir et la parfum de ma chatte me montait aux narines, c'est J.R mon mari qui perdit le deuxième tour, il piochât et annonça bredouillant et gêné, " Embrassez un homme sur la bouche", comme il n'y en avait qu'un, le choix s'imposait mais il faisait traîner les choses, son hétérosexualité le bloquait un peu, il avait déjà fait des fellations à des hommes avec moi mais il n'embrassait jamais, je dû hausser le ton pour qu'il exécute son gage, Patrick non plus ne semblait pas empressé de se faire rouler une pelle par un homme, c'est son épouse qui les amena face à face et les prit par la nuque pour rapprocher les bouches, ils finirent par s'embrasser timidement mais sous la pression des mains de Monique et mes encouragements, les langues pénétraient les lèvres et le patin fut profond... Ophé

Là j'ai gagné le pompon, enfin le premier, rouler une pelle à un mec et devant des dames en plus, il a fallu que je fasse abstraction de mon moi profond, bien que j'ai déjà eu fais des pipes avec Ophé et même, m'être laissé sodomiser par un ami devant elle, ça je ne le fais jamais, heureusement, Monique finie par reperdre au troisième tour et tira un papier qui lui demandait de sucer une queue, elle avait le choix mais il fallait tirer au dès pour désigner l'heureux bénéficiaire de cette caresse bucco-génitale, de plus, d'un commun accord, il fut décidé que pour les caresses en tous genre et les pénétrations, le moment de plaisir serait limité à trois minutes, pas question de jouir tout de suite, il fallait faire durer la partie, je jetais le dès et fit un quatre, Patrick fit un trois et j'emportais le lot du câlin sur ma verge, la Monique ne se fit pas prier et s'agenouilla à mes pieds pour me sucer le gland, elle me décalotta avec ses lèvres en anneau et avala mon dard dans un coulissement appuyé, chaud et humide, elle ne s'arrêta qu'à la lisière de ma forêt pubienne et remonta en me léchant la hampe du plat de la langue, tout en me massant les couilles, là Ophé intervint en disant que le tripotage de boules n'était pas indiqué sur le gage, Monique me pompa pendant le temps qui lui était impartit, elle avait la technique, la douceur, et s'appliquait à chaque caresse, me faisant monter en sensations jouissives.
.. J.R

De voir cette femme accroupie en train de sucer mon mari, me retournait les sens, ma lubrification naturelle dégoulinait hors de ma fente et me coulait dans la raie, furtivement, je passais mes doigts dessus, attendant fébrilement que quelqu'un perde pour que l'on vienne m'éponger, par chance ce fut Patrick qui perdit au tour suivant et tira le papier salvateur "léchez une vulve", pour désigner l'heureuse gagnante de ce cunni, on tira au dès et ce fut moi qui eu le plaisir de me faire manger l'abricot, Monique semblait satisfaite que le sort est désigné son homme pour ce gage, moi ça m'allait, bien qu'une minette faite par elle ne m'aurait pas déplu, je la sentais un peu coincée sur les choses de l'amour saphique et cela m'excitais de penser qu'à un moment ou à un autre, elle finirait bien par devoir me faire plaisir sur un gage entre femmes, en tous les cas, son mari broutait bien, il était à genoux entre mes cuisses largement ouvertes, pieds sur la table, je m'offrais aussi aux regards des deux autres, dommage que le temps impartit soit si court, sa bouche et sa langue faisaient des merveilles, léchant, suçant, mâchouillant mes chairs, me fouillant même dans mon intimité, plusieurs fois il fut rappelé à l'ordre par son épouse car sa langue était attirée par mes trente six plis... Ophé

Pendant que Patrick dégustait la motte de ma femme, mon regard s'était posé sur ses fesses qu'il avait rondes et mignonnes, de sa raie s'échappaient des poils follets et je me surpris à me caresser la verge en m'imaginant le prendre par derrière, Monique qui suivait mon regard, eu un regard surprit et interrogateur envers moi, devinant mes pensées, elle me fit signe que non du doigt et me montra son derrière, invitation muette à venir l'enculer, mais les règles du jeu sont strict, pas de coït en dehors des gages, Ophé soupirait d'aise sous les caresses buccales et linguées de son bouffeur de chatte, elle me fit le signe du pouce en l'air pour me vanter ses mérites, Monique s'était rapprochée afin de profiter du spectacle, elle aussi se passait de temps en temps la main sur le minou, ses cuisses entrouvertes laissaient apparaître des filets de mouille que j'avais envie de laper, quand son mari eu finit son temps de cunni, il se releva, les babines et le visage couvert de jus et complimenta ma femme sur son parfum intime... J.R

Nous avions de la chance depuis le début de la partie, les gages étaient variés, nous n'étions pas encore tombés deux fois sur le même, encore que, cela serait amusant si la personne était du même sexe, j'en était là de ma réflexion quand, ayant perdu, mon mari retira un papier lui ordonnant de "sucer une queue", il n'avait pas le choix et devait faire plaisir à Patrick, la partie devenait très chaude, il avait la bite en l'air, signe qu'il avait des envies, J.R ne protesta pas, vint se mettre à genoux devant la verge dressée et se mit à en sucer le prépuce, Patrick eu un regard étonné, la facilité avec laquelle se soumettait mon homme à ce gage bisexuel, le surprenait, mais quand la bouche le décalotta, il ferma les yeux pour savourer l'exquise caresse, Monique était collée à moi pour assister à la fellation, trop proche même, je ne pus résister à l'envie de lui toucher discrètement les fesses, nos maris ne voyaient rien de notre manège, mes doigts glissières dans sa raie, effleurant l'anus et s'engouffrèrent dans son puits ruisselant après lui avoir caressés les petites lèvres et titillés le clit, elle sera les cuisses mais ce n'était pas par refus de l'attouchement, c'était pour garder ma main en elle, notre taux d'excitation était élevé, mon mari faisait une pipe à un homme, l'autre soupirait d'aise, Monique me passa aussi une main entre les fesses, à la différence qu'elle m'enfonça son pouce dans l'anus, chose que je n'avais pas osé lui faire, pensant qu'elle était farouche comme une pucelle du Léon (en Bretagne), puis elle me branla doucement, cette femme allait me surprendre, elle cachait bien ses envies depuis le début et maintenant, elle donnait le coup d'envoie des échanges lesbiens... Ophé

Par le passé, c'est Ophélie qui m'avait amenée à prendre en bouche le sexe d'un homme, nous le faisions de concert, ce qui facilitait la choses, depuis, j'avais sucé seul, mais toujours en sa présence, j'avais avalé du sperme une fois, et là, m'appliquant à bien faire sur cette grosse queue qui sentait un peu le pipi, je me mis à ressentir l'envie d'y goutter aussi par derrière, je n'étais plus vierge rectalement depuis la fois où Ophé m'avait convaincue de me laisser prendre par un homme à la place de son gode, et depuis, la chose s'était renouvelée pendant nos soirées avec un couple d'amis et même une fois en forêt avec un ami chasseur qui nous avait sodomisé chacun notre tour, Ophé aime me voir me faire saillir, elle aime aussi me voir dépuceler un anus vierge, de femme ou d'homme, de me remémorer cela me faisais pomper Patrick avec vigueur mais ce fut la fin des trois minutes et il en fût déçu, comme il me le dit, "Dommage...la purée montait", en me relevant, je vis que les femmes étaient très proches et que leurs mains s'étaient égarées, je fis mine de rien, la situation devenait trop bandante... J.R

Monique m'avait chauffée les sens, tous mes orifices réclamaient la présence de quelque chose d'envahissant, s'en était pareil pour qui avait eu le droit à la visite de deux doigts dans son petit trou et j'avais pu m'apercevoir à quel point elle était accueillante de ce côté là, malheureusement le hasard avait ramené plusieurs fois les mêmes gages que précédemment, bien que changeants de perdant, nous réclamions des pénétrations profondes et en tous genres, Patrick avait sucé J.R, Monique m'avait mangée la figue, très douée d'ailleurs cette dame, j'avais pompé mon mari, Monique le sien, exhibition de chattes et d'anus, nous jetions les papiers afin d'éviter les doublons, enfin, les trucs nouveaux sont arrivés, Monique a dû se mettre un doigt dans le cul et se fouiller devant tous le monde, j'ai dû uriner dans une choppe et en boire, Patrick a gagné un touché rectal fait par moi sous les yeux attentifs et envieurs de mon homme, Monique encore, a tirée un gage d'anulingus et c'est J.R qui en a profité, se faisant lécher le petit trou avec délectation... Ophé

Enfin les gages de pénétration ont été tirés, je venais de recevoir une délicieuse feuille de rose de la part de Monique quand elle a reperdue en sortant un papier lui ordonnant de se faire prendre la chatte, j'étais à point et je l'ai sabrée sur la table, un vagin dégoulinant de désir mais bien serré, en jetant un coup d'œil sur mon épouse et Patrick, j'ai vu qu'ils se pelotaient l'un l'autre, Ophé le branlait en lui caressant les fesses et lui aussi lui tripotait le derrière, j'étais bien dans la Monique et j'ai senti ma sève me chatouiller les couilles au moment de la fin des trois minutes, je savais que si une autre pénétration se présentait, je risquais de ne plus me retenir et de lâcher ma purée, ce fut Patrick qui tira un gage pas ordinaire, "enfilez-vous un goulot de bouteille dans l'anus", il demanda de l'aide et bien sur Ophé s'empressa de lui rentrer la chose dans le cul après l'avoir lubrifiée avec de la vaseline, son épouse regardait la scène avec les yeux exorbités de la femme qui voit son mari se faire mettre pour la première fois, en lui passant ma main entre les cuisses, elle me murmura qu'elle avait envie de se faire baisser par tous les trous... J.R

J'ai eu le privilège de sodomiser Patrick avec un goulot de bouteille, c'est un truc qui me chauffe terriblement, défoncer un anus d'homme avec mes doigts, un gode ou des objets, j'aime l'entendre couiner, dire "doucement", "aille", "c'est gros", Patrick est étroit, j'ai vu de suite au regard de sa femme et à l'étroitesse de sa rondelle, qu'il n'avait pas dû encore passer à la casserole avec un homme, j'espérais secrètement qu'il finirait par tirer un billet avec une sodomie par mon mari, remarquez que moi aussi j'attendais de me faire enculer avec impatience, Patrick m'ayant doigté l'anus pendant que mon mari fourrait son épouse, tous le monde était chaud et nous avons arrêtés de jouer aux cartes pour ne plus que tirer des billets au hasard, et là, la débauche a atteint des sommets, je me suis fait uriner dessus par Monique accroupie au dessus de mon visage, la salope, elle poussait en même temps, je voyais son trou de balle s'ouvrir vers moi, je me suis dis qu'elle allait me lâcher un étron sur la figure mais rien n'est sortit, c'est mon homme qui a tiré le premier billet de sodo entre hommes, "donnez votre trou à une verge", Patrick hésitait, gêné d'avoir à sodomiser un monsieur, nous l'avons aidé avec Monique, lui astiquant le morceau pour bien le durcir et le diriger dans le cul de mon chéri... Ophé

Comme je l'ai déjà dis, Ophé m'avait habituée aux pénétrations anales avec godes, seul le fait que se soit un homme qui me sodomise me gênait un peu, mais l'ambiance était trop chaude pour refuser et les femmes étaient si salopes, si pleine de bonne volonté, la chose m'a écartelée le sphincter, je l'ai sentis entrer au ralentis, guidée par les femelles en rut, Patrick s'excusait du bout des lèvres, trop content de me rendre la monnaie de ma pièce, il m'a défoncé, comme si mon cul était un vagin et moi une femme, il m'a ramoné en profondeur, j'ai eu un peu mal mais les mains féminines me massaient les couilles et la verge, je bandais un peu mou...J.R

Quand j'ai vus la verge de Patrick pénétrer l'anus de mon homme, une vague de chaleur m'a balayée le bas ventre, vois un hétéro se faire prendre par derrière, c'est une vision excitante, les vas et viens de la queue dans son cul aussi, j'étais comme folle de plaisir, Monique faisait des commentaires graveleux,

- Regarde les deux Pd comme ils aiment s'enfiler... ton mari est une belle salope...un garage à bite...il aime ça en plus...écoute le couiner...

- Bouffe moi la chatte vicelarde...lui ai-je répondue et le trou de balle aussi...

Elle s'est appliquée, façon goulue, une broutteuse vorace, elle alternait les doigts devant et derrière, elle cherchait même à me rentrer une main dans la fente, j'ai jouis en lui pissant dessus, peut après, Patrick est sortit du cul de mon mari pour lui lâcher la purée sur les fesses, Monique et moi avons léchés le tout, Monique, la dégueu, lui à même nettoyée la verge avec la bouche.

Pour la faire jouir à son tour, on s'est mis tous les trois sur elle, elle a ramassé, par tous les trous et pas que du normal, elle a finie empalée sur une bouteille de vin, dans les fesses, pendant qu'on la branlait fortement, elle a pissée aussi, en gueulant de plaisir.

Nous avons continués les vacances en nous faisant des soirées chaudes et humides, je me suis fais des petits plaisirs seule avec Monique, et les hommes ont apparemment fait pareil...

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