Club D'Abattage 3

-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --

Ils ré-enfilent leurs tenues de travail et s’en vont. Je me relève tant bien que mal et me dirige vers les chiottes pour me nettoyer un peu mais, au même moment, la porte s’ouvre sur un barbu monumental, genre bûcheron, avec des mains de géant, un regard de tueur. Il me barre le passage, j’ai un moment de frayeur… Il pose ses énormes paluches sur mes épaules et appuie vers le bas… Je comprend… Vaincu, soumis, je tombe à genoux et ouvre la bouche. Il baisse son pantalon et me présente un gourdin monstrueux surplombant deux couilles de taureau. Demi molle, j’essaie de la prendre dans la bouche mais n’y arrive pas. Je force sur l’ouverture des mâchoires au maximum mais rien à faire, c’est une vraie batte de base-ball. Je lèche le gland avidement, joue avec ma langue le plus possible, fais de petits va et vient sur l’énorme tige qui me remplit la main mais il il s’impatiente. Il m’appuie derrière la tête et force. L’énorme gland me rempli totalement la bouche. Je suffoque, il me tape dans le fond de la bouche en forçant mais rien à faire, ça ne peut pas passer dans la gorge. Il sort sa queue, me fout plusieurs biffles et se dirige vers Matteo… Au même moment, la porte s’ouvre à nouveau sur trois blacks dans la même tenue de travail que les trois Portugais qui viennent de partir. Ils ont une trentaine d’année, plutôt grands et minces. Ils se dessapent tranquillement en mattant le pauvre Matteo subir la même chose que moi il y a une minute. Le géant barbu l’a fait s’allonger sur le lit, la tête renversée en arrière, et tente de lui forcer la gorge en lui plaquant son énorme paluche sur le torse. L’excitation que ça procure aux nouveaux arrivants est visible. Je vois arriver trois monstrueuses bites noires déjà bien dressées. L’un des trois parle aux deux autres en wolof. Ils sourient, comme si ce qu’il leur dit leur plaisait, leur faisait plaisir… Le plus grand des trois se dirige vers moi et m’att par la laisse.

Il me relève, passe une main derrière moi et m’enfonce un de ses longs doigts noirs dans le cul. Il me traîne par le cul, un peu comme un pack de bière, me jette sur le lit et se plaque derrière moi. Dans le même temps, un des deux autres fait le tour du lit, se met à genoux dessus et récupère la laisse pour me tirer la tête vers sa bite. Il me prend la bouche et me tire par les cheveux pour mieux s’enfoncer dans ma gorge pendant que le grand derrière moi me rentre dans le cul d’un coup violent. Sa bite est très longue et me ravage le ventre. Je ne peux même pas crier, j’ai la gorge empalée par l’autre qui me maintient le menton plaqué sur ses couilles. Bourriné des deux côté, je me laisse aller à prendre un pied immense entre ces deux énormes bites noires. Je subis un double piston en règle, l’un s’enfonce dans mon cul, me poussant en avant sur la bite de l’autre qui se fiche au fond de ma gorge. Je prend tellement de plaisir que je perd tout repère, je ne sais plus où je suis… Jusqu’à ce que me ramène au réel un hurlement suraigu. Juste à côté de moi, le petit Matteo pousse un cri continu jusqu’à ce qu’il soit étouffé lui aussi par une grosse bite noire enfoncée jusqu’au couilles. S’il a gueulé autant c’est que… Wouah… le géant barbu l’encule… Des larmes lui jaillissent des yeux, il bave, ses gémissement sourds sont rythmés par les coups de reins violents qu’il encaisse. Je prend un pied géant à être doublement limé par ces deux blacks. La baise est virile, violente. D’un coup, les deux arrêtent de me pilonner et sortent de moi. Je me sens comme un poupon de chiffon jeté. Je n’ai pas le temps de réaliser ce qu’il se passe que je me retrouve sur le dos et que l’équipage s’est inversé. Les jambes en l’air, les mollets sur les épaules démesurées du barbu, je le sens pousser, pousser et… Aaaaahhhhrg !!! J’ai l’impression d’être éventré… Ses coups de reins m’arrachent des hurlements, je pleure de douleur et de bonheur mêlés. Son sourire éclatant dans sa barbe noire irradie quand il s’enfonce en moi et m’écartèle le bas ventre.
La jouissance est telle que je perd quasiment connaissance. Une longue bite noire et dure me ramène au réel en s’enfonçant dans ma gorge, me provocant des hauts le coeur. Le barbu accélère la cadence, il me disloque carrément. Son sourire s’élargit encore et un feulement de bête sauvage, à faire trembler les murs, sort de sa bouche quand il m’inonde les intestins. Il sort de mon cul en me laissant tel un mannequin désarticulé. La longue tige noire qui m’empêchait de hurler sort de ma gorge. Le mec vient prendre la place du barbu entre mes cuisses et me rentre dans le cul d’une traite, me pilonne quelques minutes frénétiquement et me crache dans le fond aussi en grognant. Le petit Matteo pleure comme une fille. Les deux blacks se relaient dans son cul. Ils l’agrippent par les épaules et tapent, tapent, tapent à grand coup de reins chacun leur tour jusqu’à lui jouir dedans en grognant eux aussi.

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