La Vraie Nature D'Amélie 2

J'aimerai construire une histoire avec une ou un complice. J'aime la dimension psychologique. Mes thèmes de prédilection : la frustration, l'humiliation, la domination. Voici un début d'histoire j'attends vos commentaires.


Bien que très jeune, Amélie est mariée depuis 1 ans et demi à Jean-Paul, un homme de 40 ans, grand bourgeois qui lui apporte confort et sécurité, mais ne satisfait absolument pas ses besoins de femmes. Pourquoi s’est-elle mariée si jeune avec un homme qui a le double de son âge et qui surtout est presque impuissant ? La mère d’Amélie était l’investigatrice de ce mariage de raison. Madame Gevensin avait élevé seule sa fille. Cette était la trace de sa seule faiblesse. En effet, Madame Gevensin s’était laissée séduire par un immonde fornicateur. Il l’avait engrossée et
épousée, mais, une fois marié, ce dépravé avait révélé sa vraie nature. Sous prétexte que sa femme était trop prude, il se vautrait dans le lit de putains. Le mariage n’avait duré qu’un an. Amélie était donc le fruit du pêcher. Madame Gevensin allait être punie pour sa faute. Dieu sait à quel point elle s’était consacrée corps et âme à l’éducation de sa fille. Mais cette dernière avait hérité du père le goût de la perversion et du vice. Des sa puberté, les garçons ont commencé à tourner autour d’elle. Malgré une extrême vigilleance, Madame Gevensin surprend régulièrement sa fille à minauder devant les avances des garçons et même d'hommes. Ces derniers sentent bien que les manières effarouchées de la jeune pucelle se cache une nature profondément libidineuse. Et en effet, Amélie est tout à fait consciente de l'effet qu'elle produit sur les hommes et la concupiscence qu'elle suscite chez ces mâles la trouble intérieurement au plus au point. Dans son lit, incapable de trouver le sommeil, elle s'abandonne en pensée à tous ces hommes et s'adonne à des plaisirs solitaires inavouables.
Au grand désespoir de sa mère Amélie embellissait de jour en jour.

Et elle devenait fourbe et dissimulatrice. Et malgré l’extrême vigilance de Madame Gevensin la jeune fille connue le sexe. Et qui plus est de manière précoce. A 16 ans, Amélie n’avait pas su résister aux avances d’un homme marié. Madame Gevensin, se doutait bien que sa fille lui mentait. Un mercredi après midi, elle avait suivi la jeune personne qui prétendait aller à son cours de cheval.
C’était une toute autre leçon que recevait l’adolescente, non pas dans un club équestre, mais dans un petit pavillon de banlieue. La mère avait ouvert brutalement la porte de la maison que par imprudence l’homme avait oublié de fermer à clé. Elle avait surprise sa fille sur le canapé dans la position la plus abjecte qui soit et en train de se faire entreprendre comme un animal. Paradoxalement, plus que l’image, Madame Gevensin fut choquée par le bruit de la copulation : le son mat du martèlement incessant du pelvis de l’homme venant lourdement s’écraser contre le derrière d'Amélie, la répercussion adipeuse des testicules cognant les lèvres du sexe, la résonnance profonde et visqueuse de la hampe fourrageant dans les parois détrempées du vagin. Et les cris de jouissance immonde d'Amélie qui semblaient aller toujours crescendo. La jeune fille était tellement prise par l’orgasme qu’elle ne remarqua pas
immédiatement l’intrusion. Son visage était tournée vers le mur. L’homme fut donc le premier à voir Madame Gevensin. Il poussa un « merde » de surprise et extirpa son braquemard dégoulinant de cyprine du fourreau béant. Il était particulièrement bien bâti et la tige de chair impressionnante ne laissait aucun doute sur la profondeur et la puissance de la copulation qu’il faisait connaître à l’adolescente.
Il fallut deux secondes à Amélie pour prendre conscience de la situation, pour passer de l’état de femme frustrée de ne plus sentir l’engin de son homme lui labourer le vagin à celui de jeune personne surprise par sa mère dans une situation inadmissible. Elle poussa donc d’abord un feulement de profonde insatisfaction et pour inciter le mâle à reprendre vigoureusement possession de sa vulve béante, elle cambra au maximum sa jolie petite croupe épanouie.

Elle accompagna cette pose de femelle demandant la sailli d’un « encoreeee » aigue et impatient sans équivoque sur ces besoins. Puis seulement, elle tourna la tête et croisa le regard de Madame Gevensin. La grimace obscène qui lui ouvrait la bouche se métamorphosa en stupéfaction…
Amélie avait été fouettée jusqu’au sang puis envoyée dans une pension catholique de jeune fille. Madame Gevensin espérait encore que l’adolescente allait apprendre à contenir ses pulsions abjectes. Mais de toute évidence, la jouvencelle était incapable de résister à la tyrannie du sexe. Amélie se fit surprendre plusieurs fois en train de s’adonner à des pratiques saphiques avec des jeunes filles de son âge.
Et quand l’adolescente revenait pour les vacances, Madame Gevensin devait livrer un véritable combat de chaque instant pour écarter les mâles en rut. A plusieurs reprises, elle intervient in extrémise pour arracher Amélie des bras de garçon qui ayant réussi à tromper sa vigilance et s'apprêtaient à profiter des faveurs de la jeune femme. Elle gifle à tour de bras sa fille, la cloître presque, mais elle se rend bien compte que rien y fait : "cette petite à le démon dans le corps". A l'automne, Madame Gevensin entreprend donc de trouver un mari pour Amélie. Si cette dernière est trop faible pour résister au démon de la chair, seuls les liens du mariage peuvent rendre ce vice tolérable. En devenant une épouse, la fornicatrice échapperait ainsi au pêcher.
C’est ainsi qu’à 19 ans, Amélie avait du épouser Jean-Paul Calvasson, dont le père possédait une entreprise de bureautique florissante. Amélie n’avait pas le caractère suffisant pour se rebeller. Et sa mère avait usée de toute son emprise. Elle savait faire culpabiliser sa fille. Et puis, les Calvasson était un bon parti. Bien que très croyants, ils avaient fini par accepter que leur fils épouse une jeune femme déjà déflorée. Amélie était très belle. Il était évident que c’était une femme féconde et qu’elle donnerait de très beaux s.
Ce que les Calvasson ignoraient c’est que
leur fils était pratiquement impuissant et qu’il aurait les plus grandes difficultés à remplir ses devoirs conjugaux et à fortiori à l’engrosser. Frustrée sexuellement, Amélie pouvait juste profiter de son statut social. D’ailleurs, elle possédait une élégance et une classe naturelle et elle apprit vite les manières et les attitudes de la haute bourgeoisie.
La mère Calvasson lui inculqua comment une jeune femme de son milieu devait se comporter. Amélie devint hautaine et arrogante à souhait avec la populasse.

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