Leslie Hd13

Leslie HD13 –Voisin, suite

Voilà un mois que je l’observe et cinq filles différentes sont passés chez lui.
Je ne sais pas s’il sait que je l’observe, mais en tout cas il ne se prive pas de m’offrir à chaque fois un moment de bonheur.
Il ne se cache pas, comme s’il voulait me faire entrer dans son intimité et parfois, lorsqu’il regarde vers chez moi avec un petit sourire, je pense qu’il sait que je suis là à l’observer.
La femme est revenue deux jours après, une nouvelle fois elle lui a fait une fellation, et puis plus rien le restant de la semaine.

C’est, la semaine suivante que je l’ai revue avec une autre jeune-fille d’à peine vingt ans. Dans un premier temps c’est elle que j’ai vu dans la cuisine, se servant une boisson complètement nue.
Toute menue, blonde aux cheveux longs, les attaches fines et les hanches étroites, des petits seins qui lui donnaient l’air d’une jeune pucelle, d’autant qu’elle avait son minou entièrement épilé.
L’homme est arrivé avec une belle érection, elle l’a embrassé en lui tenant la queue, puis elle lui à chuchoter quelque chose à l’oreille, l’homme acquiesça et ma fille s’allongea sur la table de la cuisine, les pieds posés sur le bord, les cuisses largement écartées.
Il ne faisait aucun doute que l’homme allait la prendre là, à sa demande, qu’elle cochonne ai-je pensé, mais ils allaient m’offrir un joli spectacle.
L’homme s’est approché de la fille, debout, en se mettant entre ses jambes, je voyais le sexe raide de l’homme à la hauteur du minou de la donzelle, il allait la pénétrer sans autres formes de procédures, là sur la table de la cuisine comme une chienne en chaleur.
Il s’enfonça en elle d’un coup de reins, la faisant grimacer de douleur, la main de la jeune-fille posée paume contre le ventre de l’homme lui signifiait certainement d’arrêter.
L’homme dit quelque chose, certainement du genre :
- Tu l’as voulue et bien tu l’as !
Mais ne se retira pas, bien au contraire il se m’y à la limer à grands coups de reins, tel un taureau en rut, et à la forme que faisait la bouche de la jeune–fille, on devait entendre des :
- Ohhh !
Et des :
- Ahhh !
A mon avis il l’a bien baisé, mais n’était-ce pas ce qu’elle avait voulu, toujours est-il qu’après l’avoir copieusement baisé de son gros sexe, elle n’a pas demandé son compte et est partie rapidement.


Je ne l’ai jamais revue.
C’est drôle comme certaines filles rêvent de se faire mettre par des gros sexes, et fantasment sur les blacks, mais quand elle passe à l’acte, c’est autre chose, elles gueulent et pleurent en appelant leur maman, et encore là une chance pour elle, il ne l’a pas enculée.

La grande brune délurée qui a suivie, ce fut une autre histoire, ça a duré un week-end complet du vendredi soir au lundi matin, le climat étant favorable, j’ai assistée aux ébats les fenêtres ouvertes, c’est les voisins qui ont dû être contents.
Un peu junkie les cheveux courts décolorés noir bleuté, elle avait un certain charme, un joli tatouage dans le dos représentant un dragon dont la queue finissait à la naissance de sa raie des fesses,
C’est à ce moment-là que je me suis doutée que j’avais été découverte, car l’homme ne se priva pas de faire l’amour le plus souvent possible dans la cuisine, avec un petit sourire le visage tourné vers chez moi.
Durant tout le week-end elle s’est fait mettre par tous les trous en gueulant, une cochonne de première qui en redemandait à chaque fois, c’est comme cela que j’ai constaté que cet homme était très endurant.
Le lundi matin quand elle est partie après s’être fait sodomisée une dernière fois, elle à du partir avec un souvenir inoubliable et un terrible mal du cul.

Après la brune, je voulais passée à autre chose, plus concret, être à la place de ses filles et gouter au sexe de cet homme, dont je ne connaissais rien sinon que son physique et ses exploits sexuels dans la cuisine d’en face.
Mes masturbations solitaires le cul, plugé par mon rosebud ne me suffisait plus, il me fallait aller plus loin, le connaitre et le rencontrer.
Curieuse, j’ai relevé son nom sur sa boite aux lettres, il se prénommait Yves.
Un jour par hasard nous nous sommes croisés dans le hall de l’immeuble, un bonjour échangé et un sourire de sa part m’ont mis le feu au ventre.
Puis les évènements se sont précipités, deux jours après, alors que je relevais mon courrier, il était là, près de moi devant sa boite aux lettres, encore un :
- Bonjour, Mademoiselle.

S’il savait…
Un sourire et un compliment :
- Vous êtes très belle, je dirais même désirables.
Le feu aux joues me gagne et ne peux que balbutier un :
- Merci, cela me touche.
- A bientôt.
Puis il disparait.

Contact établit, nous avançons me suis-je dis.

A suivre…

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